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De la Saint-Pierre au Crotoy à la Randonnée de la Ruenne... coup d'oeil sur les animations du week-end dans le Ponthieu-Marquenterre

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Le groupe crotellois des Z'harengs se produira à Rue ce samedi 29 juin au soir

Le groupe du Crotoy des Z’harengs se produira à Rue ce samedi 29 juin au soir (©Johann Rauch / Journal d’Abbeville)

 

Pour ce week-end des 29 et 30 juin quelques idées sorties sympa sur le Ponthieu-Marquenterre.

 

Samedi 29 juin 2019

A Fort-Mahon-Plage ce sera « ambiance caliente » à fond, et ambiance de circonstance avec une journée Latino.
Au casino Vikings : de 14h à 14h30, le cours de Bachata débutants avec Magali, puis show Salsadingues.

Place Claude-Baillet (Salle Polyvalente selon météo) : 14h à 15h : Cours de Salsa débutants avec Cédric de Salsapills, 15h : Show des Nova Girls, 15h30 à 16h30 : Cours de Bachata débutants avec Cédric, 16h30 : Show des Killpills (danse en couple), 17h à 18h : Cours de Salsa niveau intermédiaire avec Cédric, 18h : Cours de Salsa et Bachata en duo avec Prisca Dilousia. 19h : Show des trois groupes Salsapills (Salsadingues, Nova Girls et les Killpills) 19h30 Concert Cubain dansant avec le groupe Rayo de Son

Au restaurant de la Hutterie : A partir de 18h, Show Mojito Party avec un barman jongleur !

 

A Rue : dès 18h, place de Verdun concert pop-rock (gratuit) du joyeux groupe crotellois des Z’harengs. Une formation toute en convivialité et créativité…

 

La messe Saint-Pierre un événement traditionnel au Crotoy (photo d'archive)

La fête Saint-Pierre un événement traditionnel au Crotoy, en baie de Somme, ce dimanche 30 juin 2019 (photo d’archive) (©Johann Rauch / Journal d’Abbeville)

 

Dimanche 30 juin 2019

Les sportifs pourront rejoindre la ville de Rue dès 8h30, pour les inscriptions à la randonnée de la Ruenne. Ouvert à tous, départs Place de Verdun  itinéraires de marche sur 8 ou 12 km (départs 9h30, 3 euros), trail même parcours (départ s dès 9h15, 3 euros), et VTT 30 et 40 km avec passage en baie de Somme (départ 9h, 4 euros). Info :au 03 22 25 92 83. 

 

Puis, direction Le Crotoy pour la fête patronale Saint-Pierre organisée par l’association des marins et des anciens marins (AMAM), la ville du Crotoy et la participation de l’harmonie municipale des Amis réunis.

Selon la tradition, une messe sera dite en l’église Saint-Pierre du Crotoy, dès 10h, puis vers 11h procession traditionnelle via le port et le calvaire des marins (Gratuits).

 

La messe Saint-Pierre un événement traditionnel au Crotoy (photo d'archive)

La messe Saint-Pierre un événement traditionnel au Crotoy (photo d’archive) (©Johann Rauch / Journal d’Abbeville)

L'abbaye et les jardins de Valloires proposent des balades musicales

L’abbaye et les jardins de Valloires proposent des balades musicales (© Johann Rauch / Journal d’Abbeville)

 

Enfin, cap sur la superbe et verdoyante vallée de l’Authie, du côté d’Argoules, puisque les jardins et l’abbaye de Valloires ouvrent leurs portes conjointement ce dimanche pour l’opération des « Balades musicales« . 

De 10 à 18h, on pourra sillonner la magnifique abbaye cistercienne et les jardins au fil de la musique de groupes et artistes de musique classique. (14.90 euros adulte, 9 euros enfant). A 18h30, concert du groupe coup de coeur de l’édition 2018 (possibilité d’accéder uniquement à ce concert pour 5 euros par personne).

Déjeuner à la « table du jardinier » 15 euros, dîner à l’abbaye de Valloires 25 euros (sur rés. : 03 22 29 62 33)

 

 

Balade musicales y compris dans les appartements de l'abbaye, une (re)découverte toute en musique

Balade musicales y compris dans les appartements de l’abbaye, une (re)découverte toute en musique (©Johann Rauch/Journal d’Abbeville)


Toulouse. Une trentaine de magnolias bientôt plantés rue Alsace-Lorraine

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Comme l'indique ce visuel de projection du projet, La rue Alsace-Lorraine arborera dès l'automne 2019, une trentaine de Magnolias Grandifllra acclimatiés aux terres et à la météo toulousaine.

Comme l’indique ce visuel de projection du projet, La rue Alsace-Lorraine arborera dès l’automne 2019, une trentaine de Magnolias Grandiflora acclimatés aux terres et à la météo toulousaine. (©Maire de Toulouse)

La rue Alsace-Lorraine va encore changer de physionomie. Le maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc a annoncé vendredi 28 juin 2019 la plantation de 29 Magnolias Grandiflora le long de de la célèbre artère piétonne et commerçante du centre-ville. Et de préciser :

Cet aménagement, entrant dans le cadre de l’action d’embellissement et de végétalisation sera effectué cet automne pour une livraison en novembre 2019

Des arbres plus robustes et mieux adaptés

Ces Magnolias viendront remplacer les Lilas d’Inde, autrement appelés Lagerstroemia indica, actuellement plantés sur l’artère. « Une essence qui peine à se développer, admet Jean-Luc Moudenc. Ses arbres ne seront pas jetés mais replantés dans divers parcs et jardins, endroits plus adaptés à leur épanouissement ». 

Selon les services de la ville, le magnolia, plus robuste est une espèce plus adaptée aux conditions urbaines et à la météo toulousaine. 

5 à 6 mètres de haut et des arbustes autour

Ce sont des spécimens de deuxième grandeur qui ont été choisis pour cette opération. Les arbres mesureront 5 à 6 mètres de haut dès la plantation et présenteront une circonférence de 40 à 50 cm de tronc. 

Chaque arbre sera cerné de végétaux en remplacement des actuelles dalles en granit. Jean-Luc Moudenc précise :

Ce bouquet végétal, de 2,5 m de diamètre et de 50 cm de haut, se composera d’une quinzaine d’arbustes persistants et sera protégé de lisses en inox brossé avec une plainte pour guider les personnes malvoyantes. 

Coût de l’opération : 600 000 euros. 

Nogent-le-Rotrou : Saison riche pour le Judo-club Nogent

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Les élus ont rejoint les dirigeants et judokas sur le tatami pour refermer une saison sportive très positive.

Les élus ont rejoint les dirigeants et judokas sur le tatami pour refermer une saison sportive très positive.

Vendredi, au dojo, le bureau a dressé le bilan de la saison écoulé. En présence des adhérents et de leur famille, le bureau a présenté son rapport d’activité. Après le mot d’accueil du président, Laurence Leduc est revenue sur les manifestations menées par le club. 151 licenciés, dont 32 au Dojo de Soizé constituent les effectifs.

« 79 % d’entre eux sont des jeunes, nous sommes actuellement dans une très bonne dynamique », précise la secrétaire.

Une galette des rois, une sortie au parc Tépacap, le rituel Noël en guise de divertissement, ainsi qu’une saison sportive bien remplie. Journée d’intégration le 22 septembre 2018, tournoi du club le 20 octobre suivant qui a réuni 355 judokas issus de l’Orne et d’Eure et Loir.

Présence remarquée en compétition

Parallèlement, trois stages multisports se sont déroulés le 30 octobre, le 21 février et celui du 16 avril à Authon-du-Perche. Entre ceintures noires et performances en compétition, il y avait bien matière à récompenser le judo-club Nogent (JCN) en ce 18 janvier à la salle Pierre Mendès France. Trois qualifications aux « France » ainsi que de nombreux podiums au niveau départemental, sont à mettre au compteur d’Allain Wayne, Elliot Perriot, Axel Leduc, Romain Debray et Robin Beaumont. Romane Leveau atteignait les 1/8 de finale de la Coupe de France Espoirs…

Romane Leveau en 1/8 de Coupe de France Espoirs

Rappelons également les animations « Samouraïs » organisées le 1er décembre, le 9 mars et le 4 mai. Onze Poussins ont par ailleurs arboré les couleurs de leur club au cours des cinq tournois de préparation, le JCN étant toujours aussi attentif à la promotion du judo pour les « petits ».

De son côté, la commission des comptes a présenté un rapport financier favorable, démontrant une gestion rigoureuse. Jean-Pierre Boudrot, Harold Huwart et Pascale de Souancé ont assisté à cette grande réunion annuelle de fin de saison qui s’est vue refermée par une remise de nouvelles ceintures et des récompenses légitiment acquises par leur récipiendaire… Le président Robert Billardelle et l’entraîneur Luc Garot peuvent envisager la rentrée le plus sereinement possible.

Dans le Perche, une soirée lyrique et un brillant récital de piano, avec les Musicales

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Tanguy de Wiiliencourt.

Tanguy de Wiiliencourt.

Samedi 29 juin – 20 h 30 – Église de Pervenchères,

Helen Kearns, soprano François Dumont, piano.

Le samedi 29 juin à 20 h 30, à l’église de Pervenchères, c’est à une soirée lyrique, que le public des Musicales est convié.

La soprano irlandaise Helen Kearns et son époux, le pianiste François Dumont, que le public percheron a découvert l’an dernier dans un très beau récital J.-S. Bach, proposent une restitution de l’ambiance d’un salon musical parisien de la fin du XIXe siècle. Avec une première partie centrée autour de ces bijoux du romantisme que sont les Nocturnes de Chopin.

La seconde partie sera consacrée à des mélodies anglaises que Charles Gounod a composées pendant son séjour à Londres et à des chants populaires britanniques arrangés par Benjamin Britten.

 

– Dimanche 30 juin – 18 h – Église Saint-Aubin de Tourouvre au Perche

 Tanguy de Williencourt, piano.

Les Musicales proposent un récital de piano par un artiste particulièrement inspiré : Tanguy de Williencourt, dont les critiques s’accordent à louer une technique parfaite alliée à une sereine musicalité.

Le programme est particulièrement bien construit et équilibré.

Deux compositeurs connus (Liszt et Ravel) seront associés chacun à deux compositeurs anglais ayant écrit dans le même style (Arnold Bax et Benjamin Britten). Cette mise en miroir sera l’occasion de découvrir deux chefs-d’œuvre injustement méconnus.

Tanguy de Wiiliencourt.

Tanguy de Wiiliencourt. (©Les Musicales)

Pratique : Renseignements et réservations : à l’office de tourisme du Pays de Mortagne ; par téléphone : 02 33 83 34 37 ; sur www.fnacspectacles.com ou sur www.francebillet.com. Tarif : 22 €. Tarif réduit accordé à partir de quatre concerts réservés : 16 €. Tarif enfant (jusqu’à 15 ans) : 5 €.

Deux cents cavaliers d'endurance équestre à Fougères

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Plus de 200 cavaliers sont attendus pour les épreuves d'endurance équestre à Fougères

Plus de 200 cavaliers sont attendus pour les épreuves d’endurance équestre à Fougères (©DR).

L’association Cheval endurance fougeraise se prépare à accueillir environ 90 cavaliers professionnels et amateurs français, espagnols, italiens, mais aussi des cavaliers des Émirats-arabes-unis, samedi 29 juin pour la course internationale. Le départ aura lieu à 7h30 sur le site du Gué aux Merles à Landéan, près de Fougères. Deux distances sont au programme : une CEI* de 90 km et une CEI** de 120 km.

Pour la CEI* : premier parcours de 35 km pour se rendre au Rocher Portail, deuxième parcours de 36 km pour un retour au Gué aux Merles, troisième parcours de 20 km sur les circuits habituels autour de Fougères, contrôle vétérinaire final pour valider la qualification du cheval.

Pour la CEI** : premier parcours de 35 km pour se rendre au Rocher Portail, deuxième parcours de 36 km pour un retour au Gué aux Merles, troisième parcours de 30 km sur les circuits habituels autour de Fougères, quatrième parcours de 20,5 km, contrôle vétérinaire final pour valider la qualification du cheval.

L’arrivée des premiers cavaliers est prévue vers 15h. Le samedi, de 7h35 à 14h30, les cavaliers emprunteront 4 km de voie verte entre Villerbue, en Lécousse et La Renoulière, en Saint-Germain-en-Coglès.

Cheval endurance fougeraise prévient :

Pour éviter tout risque d’accident, la préfecture a décidé d’interdire l’accès de ce tronçon de 4 km aux usagers de la voie verte. Cet arrêté préfectoral sera affiché aux points d’accès de Villerbue, la barrière de l’étoile, La Galoderie, Clinchard, Le Haut clinchard, Les Poiriers et la Renoulière ».

120 cavaliers dimanche

Lors des courses nationales du dimanche 30 juin, le club attend environ 120 cavaliers de clubs et amateurs qui emprunteront les circuits habituels sur les communes de Landéan, Laignelet, Fleurigné, Beaucé et Fougères.

Épreuve 80 Km en vitesse imposée : départ individuel ou en petits groupes à 8h. Épreuve 60 km en vitesse imposée : départ à 9h, épreuve 40 km en vitesse imposée : départ à 10h, épreuve 30 km en vitesse imposée : départ à 11h, épreuve 20 Km en vitesse imposée : départ à 11h30, épreuve 10 km en vitesse imposée : départ à 13h.

La sécurité des traversées de route sera assurée par des signaleurs et des panneaux suivant l’arrêté de la sous-préfecture et de l’agence départementale du pays de Fougères. Le site du Gué aux Merles sera ouvert gratuitement au public, un service de bar et restauration rapide est prévu tout au long de ces deux jours.

Le club recherche encore des signaleurs pour assurer la sécurité sur les traversées de route le samedi et/ou le dimanche.

Renseignements : Jean-Pierre Domenjoz au 06 03 00 43 54.

À l'Institut Médico Éducatif d'Écouis, dans l'Eure, la CGT a déposé un préavis de grève pour ce mardi 2 juillet

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Les représentants syndicaux CGT de l'Institut Médico Éducatif d'Écouis dans l'Eure ont déposé un préavis de grève, reconductible, à partir de ce mardi 2juillet 2019 à 9 h.

Les représentants syndicaux CGT de l’Institut Médico Éducatif d’Écouis dans l’Eure ont déposé un préavis de grève, reconductible, à partir de ce mardi 2juillet 2019 à 9 h. (©L’Impartial)

Les représentants syndicaux CGT de l’Institut Médico Éducatif (IME) d’Écouis, dans l’Eure, ont déposé un préavis de grève reconductible, à partir du mardi 2 juillet 2019, avec un rassemblement devant le château de l’IME d’Écouis de 9 h à 16 h.

Dans un courrier transmis aux parents, ils expliquent que :

Notre travail consiste à accueillir vos enfants, à prendre soin de chacun, à les accompagner dans leur quotidien et leur projet de vie. Pour se faire, nous devons disposer de moyens humains et financiers.

Dégradation des conditions de travail

Ils dénoncent une dégradation des conditions de travail qui impacte de fait la qualité de l’accompagnement proposé aux enfants.

Le syndicat dénonce le fait que de nouveaux choix politiques ont engendré de profonds changements dans l’établissement comme le non-remplacement du personnel en arrêt maladie, en formation ou encore partant en retraite, mais aussi les postes supprimés ou gelés.

Un manque de personnels

À cela s’ajoute le manque de personnels.

Les professionnels manquants à l’Ime d’Écouis sont maintenant nombreux : 2 à 3 postes d’éducateur, dont un chargé du service de suite, un psychologue, un psychiatre, une infirmière, une assistante sociale, deux cadres socio-éducatifs remplacés par des coordinateurs à temps partiel, une demi-poste d’orthophoniste laissé vacant ou encore des chauffeurs à remplacer régulièrement, au détriment d’un travail pluridisciplinaire essentiel à la qualité de la prise en charge des enfants.

De nombreux points noirs

Le syndicat CGT soulève d’autres problèmes consécutifs à la dégradation des conditions de travail et du manque de personnel :

– l’arrêt des séjours éducatifs en juillet.

– Après la fermeture de l’internat des Andelys, la fermeture de l’internat d’Écouis durant le mois de juillet.

Une enquête est en cours, excluant la participation des professionnels et la parole des parents pour déterminer l’avenir de ce dernier.

– l’application de la politique d’inclusion scolaire, préconisant l’intégration des enfants dans en milieu scolaire ordinaire, sans moyen supplémentaire.

– l’élargissement du secteur géographique et l’augmentation du nombre de jeunes suivis au SESSAD, sans recrutement de professionnels qualifiés supplémentaires.

– la demande réduction des dépenses pour les ateliers cuisine et pâtisserie.

– le transport réalisé par les éducateurs ou cadres au détriment des réunions de service.

– la grande instabilité dans l’organisation des transports, entraînant une perte de repères pour les jeunes, les parents et les professionnels.

Samedi 29 juin : Les céréales à l'honneur au domaine de La Roche-Jagu

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Le paysan-boulanger Julien Duclos à la manoeuvre lors du battage des céréales anciennes, l'été dernier.

Le paysan-boulanger Julien Duclos à la manoeuvre lors du battage des céréales anciennes, l’été dernier. (©La Roche-Jagu)

Le domaine départemental de la Roche-Jagu en Ploëzal (Côtes d’Armor) propose un après-midi sur le thème des céréales et de la fabrication du pain, le samedi 29 juin 2019.

Les semences paysannes, trésors de biodiversité, méritent d’être mieux connues du public.

Lire aussi : Un paysan-boulanger s’installe à Plourivo

17 variétés de céréales en culture

L’équipe des jardiniers du parc et quatre paysans-boulangers du territoire de la Roche-Jagu ont travaillé ensemble à la réalisation de parcelles expérimentales de céréales anciennes que l’on peut découvrir en se baladant dans le parc.

L’objectif est de participer à la conservation et à la promotion de variétés anciennes en voie de disparition, telles que le blé Poulard, l’orge du Finistère, le blé tendre barbu, etc.

Savoir-faire de passionnés

Il sera possible de rencontrer les paysans-boulangers : Bastien Moreau (La Ferme des Hautes-terres à Plougrescant), Yvin Chambard (ferme Talvera à Saint-Clet), Morvan Le Coz (ferme Le pain des champs à Saint-Gilles Pligeaux) et Julien Duclos (ferme à Plourivo) seront présents durant l’après-midi pour discuter avec le public, expliquer leur métier et leur savoir-faire.

Lire aussi : Une semaine d’actions pour les semences paysannes

Dégustations

L’équipe du domaine servira de guide pour la grainothèque, la découverte et la visite guidée des parcelles expérimentales.

Des dégustations des différentes variétés de pains des quatre boulangers seront enfin proposées ainsi qu’une vente sur place de leurs pains biologiques.

Samedi 29 juin de 15h à 18h. Accès libre en continu. Dégustation et vente de pains biologiques sur place. Renseignements au 02 96 95 62 35.

Quatre paysans-boulangers, des jardiniers et les animatrices nature du domaine accueilleront le public le 29 juin.

Quatre paysans-boulangers, des jardiniers et les animatrices nature du domaine accueilleront le public le 29 juin.

VIDEO. Avant France-États-Unis en Coupe du monde, Liberté a testé la popularité des Bleues à Caen

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Les habitants et les habitantes de Caen (Calvados, connaissent-ils les joueuses de l'équipe de France de football ?

Les habitants et les habitantes de Caen (Calvados, connaissent-ils les joueuses de l’équipe de France de football ? (©Liberté Caen)

L’Equipe de France féminine de football a l’avantage de disputer la Coupe du monde à domicile. De quoi développer la popularité des Bleues qui sont parvenues à s’extirper du premier tour, avant de battre le Brésil en hutièmes de finale (2-1), sur un but décisif d’Amandine Henry. La rédaction de Liberté à Caen (Calvados), a voulu tester ce vendredi 28 juin 2019, jour de quart de finale contre les Etats-Unis, l’estime du grand public pour les footballeuses tricolores. La question était la suivante : pouvez-vous nous citer trois joueuses de l’équipe de France de football. Les réponses :

Les tricolores se lanceront dans leur quart de finale à 21h au Parc des Princes. Une victoire est nécessaire pour gonfler le palmarès du football français, mais aussi pour développer un peu plus encore la popularité des Bleues.

Lire aussi : France/États-Unis : le président américain du Havre AC livre ses pronos !


Vidéo. Le Stade Belvèsois a trouvé une nouvelle solution pour trouver un pilier !

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La nouvelle technique de Belvès pour recruter un pilier ?

La nouvelle technique de Belvès pour recruter un pilier ? (© Capture écran YouTube Ohvalie)

On a beau faire une belle saison, la période des mutations reste importante. Le poste de première ligne doit apparemment être renforcé du côté de Belvès (Dordogne, Fédérale 3). Alors deux joueurs ont développé une technique révolutionnaire. Maxime tente de regonfler son pote Corentin… On vous laisse apprécier la tentative !

La belle saison de Belvès

Le Stade Belvèsois a réalisé une magnifique saison en Fédérale 3. Premier de la poule 10 à la fin de la phase régulière, les Dordognots sont allés jusqu’en demi-finale. Ils se sont inclinés face à Auch dans les arrêts de jeu (22-27), futur champion de Fédérale 3.

Tri sélectif : La répression après la prévention à Hornoy-le-Bourg

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Il est désormais interdit de jeter à la poubelle papier et cartons. Ils doivent être apportés aux bornes de collecte sur l'ex-canton d'Hornoy-le-Bourg (Somme).

Il est désormais interdit de jeter à la poubelle papier et cartons. Ils doivent être apportés aux bornes de collecte sur l’ex-canton d’Hornoy-le-Bourg (Somme). (©Le Réveil de Neufchâtel)

Le tri est devenu essentiel aujourd’hui pour la protection de la planète. Et les habitants de la Communauté de communes Somme Sud-Ouest (CC2SO) ne font pas exception à la règle. Depuis le 1er janvier, la collecte en apport volontaire est devenue obligatoire. Des colonnes ont été installées à côté de celles réservées au verre depuis de nombreuses années. Plastique, emballage, papiers, cartons ne doivent plus terminer au fond des poubelles mais dans les bacs de recyclage de la société Trinoval. Conscients qu’il faut du temps pour changer les mentalités, les responsables de l’entreprise basée à Thieulloy-l’Abbaye, près d’Hornoy-le-Bourg (Somme) ont décidé de lancer une importante campagne de sensibilisation et d’informations pour expliquer que depuis le début de l’année, il n’est plus possible de déposer papiers et cartons parmi les ordures ménagères habituelles. Le rappel d’Aurore Denogens, assistante de communication pour Trinoval :

On a commencé à informer les habitants de notre territoire dès le mois de septembre. Nous avons organisé des rencontres avec les maires pour choisir les lieux où nous pourrions installer les points de collecte. Nous avons diffusé l’information sur les réseaux sociaux ».

Une application pour vos téléphones

Trinoval diffuse chaque mois un magazine, Tricycle entièrement consacré à ses activités. Une édition spéciale a même été éditée et distribuée dans chaque foyer pour expliquer que désormais papiers et cartons doivent rejoindre les bornes de collecte.

Pour faciliter le tri des habitants, nous avons créé en novembre 2018 une application pour smartphone afin de permettre à tous de géolocaliser ces collecteurs. Il y a même des alertes sur cette application pour leur permettre de connaître les jours de collecte ».

« Nous y avons mis de gros moyens »

Les responsables de Trinoval ont donc fait les choses en grand. «

On a vraiment fait ce que l’on pouvait, estime encore la responsable de communication. Nous y avons mis de gros moyens. Nous avons même accordé une période de tolérance afin de permettre aux habitants d’être sensibilisés et de s’habituer à ce changement ».

Des animateurs parcourent le territoire pour livrer l’information dans les écoles et sensibiliser ainsi les enfants à la nécessité du tri. Trinoval a même réservé des stands sur certains festivals, comme Samarock tout récemment pour toucher le maximum de personnes.

« Il va falloir changer les mentalités »

Des efforts importants qui n’obtiennent pas encore les résultats escomptés. Visiblement, le message a toujours du mal à passer dans toutes les familles. Et il n’est pas rare que les rippers se retrouvent avec des sacs d’ordures où ont été mélangés papiers et cartons. Qu’à cela ne tienne, reprenant leur bâton de pèlerin, les agents d’information de Trinoval ont décidé d’innover une nouvelle fois. Comme le confirme la responsable de communication :

Au départ, afin d’informer, nos agents ont accroché aux poubelles 27 000 cravates de couleur bleue pour rappeler les consignes. A partir de la mi-mars, ce sont des cravates orange qui ont été distribuées pour ceux qui ne respectaient pas encore les consignes. On peut comprendre que les gens ont du mal à s’habituer mais il va falloir changer les mentalités ».

Les cravates rouges

Le but, encore préventif, était simplement d’avertir les gens qu’ils ont commis des erreurs afin qu’ils ne les reproduisent plus.

Mais cela n’a pas toujours suffi et désormais, il y a des cravates rouges. Cela veut dire que nous ne collectons plus les bacs des habitants qui y déposent encore papiers et cartons ».

Après la pédagogie et la prévention, place désormais à la répression.

Lire aussi : La Com’com Somme Sud–Ouest achète une éolienne à plus d’un million d’€ près de Poix-de-Picardie

Seine-et-Marne. Elle coupe ses cheveux pour la bonne cause à La Ferté-sous-Jouarre

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Les mèches coupées ont symboliquement été remises à Joël Lecarre, bénévole de la ligue contre le cancer.

Les mèches coupées ont symboliquement été remises à Joël Lecarre, bénévole de la ligue contre le cancer. (©Le Pays Briard)

À 18 ans, la jeune fille a enfin pu réaliser une action qui lui tenait à cœur : faire don de ses mèches pour aider les personnes atteintes d’un cancer.

Réalisée dans le salon de coiffure d’Isabelle Ventouratos, cette action s’est faite en présence de Joël Lecarre, bénévole à la ligue contre le cancer mais aussi de la famille de la jeune fille.

Les cheveux récoltés ont été envoyés à l’association « Solid’hair » et devraient être vendus au kilo à des perruquiers professionnels. L’argent de cette vente devrait permettre d’aider financièrement l’achat des prothèses capillaires pour les personnes atteintes d’un cancer et dont les revenus sont modestes.

Une envie d’aider son prochain

Cette décision, Alexandra ne l’a pas prise tout de suite. C’est en début d’année, et plus précisément dès janvier, qu’elle a commencé à y penser. Elle s’explique : « Je ne me suis jamais vraiment coupé les cheveux et ils étaient très longs. Cela faisait longtemps que je souhaitais changer de tête.

Un jour j’ai entendu parler des perruques faites avec de vrais cheveux, pour les personnes atteintes d’un cancer et je me suis intéressée de plus près au sujet. »

Aider là où il y en a besoin

La jeune fille se renseigne alors, petit à petit, sur la démarche à suivre. Elle décide finalement de se lancer, séduite par l’idée de l’événement « Octobre Rose » qui aide les malades du cancer.

Elle fixe alors la date au mardi 25 juin, après ses dernières épreuves du bac. « C’était l’occasion de marquer la fin du lycée. Même si je ne connais aucune personne atteinte de la maladie, je sais à quel point c’est dur pour eux et je voulais faire une bonne action ! »

Un projet spécifique pour l’avenir

Pour cette jeune fille déterminée et volontaire, faire don de ses cheveux représente ce qu’elle a toujours aimé faire : aider les gens de toutes les manières possibles et imaginables. Pour poursuivre son projet, Alexandra prévoit d’ailleurs d’étudier en PACES, la première année commune aux études de santé, à Reims. « Mon souhait, c’est de devenir médecin de campagne. Je veux trouver les qualifications nécessaires pour combler le vide, et aider là où il y a besoin ! »

Après ce moment de partage, Alexandra espère aider, plus tard, d’autres personnes.

Toulouse. Gilets jaunes : plusieurs centaines de manifestants, des magasins envahis

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Plusieurs centaines de manifestants se sont retrouvés dans Toulouse samedi 29 juin, pour l'acte 33 de la mobilisation des Gilets Jaunes.

Plusieurs centaines de manifestants se sont retrouvés dans Toulouse samedi 29 juin, pour l’acte 33 de la mobilisation des Gilets Jaunes. (©Capture d’écran Facebook/ Gilets Jaunes Toulouse)

Les gilets jaunes se sont de nouveau mobilisés ce samedi 29 juin 2019, à Toulouse. Plusieurs centaines de manifestant se sont retrouvés dans le centre-ville de la Ville rose, pour l’acte 33 de cette mobilisation sociale débutée en novembre dernier.

Rassemblement à Jean-Jaurès

Un rassemblement était programmé à 14 heures au métro Jean-jaurès. Les gilets jaunes avaient appelé à manifester «contre les violences policières et la répression du mouvement, en soutien à tous les blessé-e-s et les mutilé-e-s par la police, qu’ils soient gilets jaunes ou non.»

Des magasins envahis

 Vers 15 heures, les manifestants ont envahi les enseignes Free et Zara, situées rue Alsace-Lorraine. Les manifestant ont, comme la semaine passée, fait une halte symbolique devant le magasin Primark, rue de Rémusat, en scandant des slogans anticapitalistes.

Pas de blessés, ni d’interpellation

La manifestation s’est dispersée aux alentours de 18h30. Dans un premier bilan, la préfecture indiquait qu’aucun blessé n’avait été signalé, ni aucune interpellation. Il n’y pas eu non plus de dégradation.

VIDEO. Canicule : le lac de Pont-l'Evêque attire la foule

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Beaucoup de monde, samedi 29 juin 2019, au lac de Pont-l'Evêque (Calvados).

Beaucoup de monde, samedi 29 juin 2019, au lac de Pont-l’Evêque (Calvados). (©Le Pays d’Auge)

Samedi 29 juin 2019, c’est aussi la canicule en Normandie. Si les plages de la Côte fleurie ont été prises d’assaut, un autre endroit a attiré les baigneurs : le lac de Pont-l’Evêque (Calvados).

La petite plage et la partie en herbe, ombragée, ont fait le plein. Les activités nautiques ont aussi rencontré un franc succès.

Un peu de fraîcheur sur les parties ombragées du lac de Pont-l'Evêque (Calvados).

Un peu de fraîcheur sur les parties ombragées du lac de Pont-l’Evêque (Calvados). (©Le Pays d’Auge)

Pour tous renseignements sur le lac de Pont-l’Evêque, rendez-vous sur le site www.lacedepontleveque.com.

Lisieux : la salle de sport Esprit2Corps déménage en septembre, avec des nouveautés

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L'équipe de la salle Esprit2Corps a organisé une visite de chantier vendredi 21 juin 2019.

L’équipe de la salle Esprit2Corps a organisé une visite de chantier vendredi 21 juin 2019. (©Le Pays d’Auge)

Le chantier de la nouvelle salle de sport Esprit2Corps à Lisieux (Calvados) bat son plein. La structure va déménager à près de 500 mètres de sa salle actuelle, dans les ex-locaux de Calvados Auto Rétro, rue Édouard Branly, en face du garage Fougeray. 

Un moyen d’offrir beaucoup plus de confort à ses 1 000 adhérents, qui sont aujourd’hui un peu à l’étroit, et de pouvoir en attirer de nouveaux dans des conditions idéales. Esprit2Corps va doubler sa surface, passant de 500m² à 1000m².

Il s’agit d’une grande étape dans la vie de la salle de sport ouverte depuis 15 ans à Lisieux, et de son responsable, Emmanuel Hesry. Il s’est associé dans ce projet avec Eric Grimaldi, le propriétaire du bâtiment.

Un investissement important

Le coût de la rénovation est estimé à 600 000 €. Les travaux doivent se terminer fin juillet 2019, pour une ouverture prévue en septembre 2019.

Esprit2Corps va investir 200 000 € pour se doter de matériel haut de gamme, avec des « machines utilisées par les athlètes pour s’entraîner aux Jeux Olympiques ».

Une visite de chantier organisée vendredi 21 juin 2019 a permis de présenter le nouveau terrain de jeu d’Emmanuel Hesry et de ses trois employés. Les sportifs pourront profiter de plusieurs espaces distincts.

Plus de place et de sécurité, jeux de lumières, des vélos…

La pièce centrale servira pour différents types d’entraînements avec du cardio et de la musculation

« Les pièces sont plus grandes, ce qui permet d’avoir plus de sécurité, assure Emmanuel Hesry. Avant les personnes devaient passer entre les machines de cardio pour aller s’entraîner aux haltères, maintenant tout est organisé pour qu’il n’y ait plus ce problème ».

Les travaux doivent être terminés fin juillet 2019.

Les travaux doivent être terminés fin juillet 2019. (©Le Pays d’Auge)

Les habitués des cours collectifs sentiront aussi une nette différence, avec une salle spécialement aménagée de 180 m² : 

« Nous avons travaillé sur une pièce longue et large pour ne pas être serré. Et au plafond, nous avons mis des dalles qui changent de couleur en fonction du rythme ».

Une salle en forme de petit amphithéâtre sera mise en place. Ici, pas de tables comme à la fac mais une quarantaine de vélos pour des cours de RPM intenses et en musique.

Et des nouveaux cours

La dernière pièce consacrée au sport sera séparée en deux, avec d’un côté un coin pour les abdos, les sacs de frappes et les cours individuels ou en petit groupe.

Et de l’autre, un espace pour le cross-training, une discipline qui allie gymnastique, haltérophilie et musculation et « qui marche énormément en ce moment ». 

Le cross-training fera partie des nouveaux cours proposés par Esprits2Corps. Citons aussi le HBX (avec des sacs de boxe), les Pilates, le swiss ball, la zumba, la danse africaine et peut-être des cours pour les enfants du 6 à 12 ans. En plus des entraîneurs, des personnes qualifiées dans des disciplines bien définies viendront donner quelques cours dans la semaine.

Une salle de 180 m² sera dédiées aux cours collectifs.

Une salle de 180 m² sera dédiées aux cours collectifs. (©Le Pays d’Auge)

Espace détente, wifi et tarifs inchangés

La salle de sport sera ouverte 7 jours sur 7 et bénéficiera du wifi, sans oublier un coin détente, où les adhérents pourront se retrouver. Esprits2Corps reçoit des personnes de 15 à 87 ans :

« Pour nous le suivi de A à Z est primordial, souligne Emmanuel Hesry. On ne laisse pas un adhérent tout seul, on prépare un programme et une fiche de suivi, qu’on revoit toutes les 6 semaines pour voir l’évolution et réadapter l’entraînement ».

L’équipe précise par ailleurs que le prix des abonnements ne changera pas. Des offres spéciales seront proposées pour l’ouverture, à la rentrée.

 

Contact : 02 31 63 65 97. Facebook : Esprit2Corps.

Lot et Garonne : quatre blessés dans une collision

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Les pompiers sont intervenus à Clairac, cet après-midi.

Les pompiers sont intervenus à Clairac, cet après-midi. (©Le Républicain/illustration)

Ce samedi 29 juin 2019, en fin d’après-midi, au lieu-dit Hameau de Marsac, à Clairac, sur le CD 911, deux voitures sont entrées en collision.

L’accident a fait quatre blessés, dont deux personnes gravement touchées.

Lire aussi : Lot-et-Garonne : un incendie maîtrisé à la manufacture des tabacs de Tonneins

Transportés à l’hôpital de Marmande

Les pompiers de Tonneins et Clairac ont transporté les victimes à l’hôpital de Marmande.

La circulation a été ralentie, durant l’intervention des pompiers et du SMUR.


Toulouse. Une gigantesque boîte de nuit à ciel ouvert vient d'ouvrir dans un lieu mythique

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L'établissement est situé à côté de l’Esméralda et du Zapata.

L’établissement est situé à côté de l’Esméralda et du Zapata. (©DR)

Voici une nouvelle adresse pour sortir cet été à Toulouse. Une discothèque à ciel ouvert vient d’ouvrir le 19 juin 2019, avec une terrasse d’environ 1000 places, face à la Voile Blanche, à côté du lac de Sesquières

Lire aussi : Toulouse. Une gigantesque boîte de nuit à ciel ouvert s’installe dans un lieu mythique

Esprit paillote

D’importants travaux ont été réalisés dans ce lieu mythique qui était fermé depuis deux ans. « Nous commençons par rouvrir la Terrazza, une discothèque à ciel ouvert dans un esprit paillote », détaille Yanis, le directeur de la Terrazza. Une autre ouverture est prévue dans la foulée… De gigantesques travaux sont en cours à l’intérieur de l’ancien Live, avant une ouverture programmée mi-octobre.

De gigantesques travaux sont en cours à l’intérieur de l’ancien Live.

De gigantesques travaux sont en cours à l’intérieur de l’ancien Live. (©Actu Toulouse / H. – O. D.)

Une salle de concert à l’intérieur

Dans l’ancienne grande salle du Live, la capacité sera d’environ 2 000 places. Des « Showcase DJ » sont prévus, mais aussi des concerts :

Nous avons prévu une scène pour accueillir de grands concerts en début de soirée.

Un lieu mythique

L’endroit est mythique. Le bâtiment est connu des Toulousains grâce à La Dune, un club qui a fermé ses portes en 2015 pour laisser place au Live. 

La terrasse est située face à la Voile Blanche, à Toulouse.

La terrasse est située face à la Voile Blanche, à Toulouse. (©DR)

Un premier événement est prévu le dimanche 7 juillet, de 17h à 4h du matin, pour la troisième édition des Robins du bois. La bande quitte Les Jardins de l’Olympe, près du pont de Blagnac, et s’installe à La Terrazza, avec les Beatmakers de la Fine Equipe. L’entrée est gratuite.

Lire aussi : Un festival tous les dimanches de l’été à Toulouse avec Les Robins du Bois

Un showcase est organisé le 19 juillet avec la chanteuse Eva Queen, l’un des phénomènes de la pop urbaine française. 

Infos Pratiques :
La Terrazza
26, allée des Foulques.
31200 Toulouse
Ouvert du mercredi au dimanche, de 23h à 6h du matin.

Journaliste à Voix du Jura, j’ai joué mon propre rôle dans la série « Meurtre dans le Jura »

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C’est dans la salle des commandes que se déroulera la majeure partie de ma scène.

C’est dans la salle des commandes que se déroulera la majeure partie de ma scène. (©Joffrey Fodimbi)

Comme vous le savez, samedi 18 mai 2019, je me suis rendu à Arinthod pour le casting de la série « Meurtre dans le Jura » diffusée sur France 3. Afin d’en rédiger un article, certes, mais également avec l’objectif de passer moi-même le casting, dans l’espoir de pouvoir faire un second article, me permettant de vous emmener dans les coulisses de la série.

Lire aussi : À Arinthod, j’ai passé le casting pour la série « Meurtre dans … » diffusée sur France 3

Et c’est chose faite ! Le 29 mai 2019, Marie Pairis, la directrice de casting m’appelle : « Bonjour Joffrey, je vous appelle pour vous dire que, plus que figurant, j’ai pensé à vous pour un rôle de silhouette ; celle du journaliste local. Rendez-vous le 21 juin. »

Quelle surprise, plus que simple figurant, je serai donc une silhouette, soit un tout petit rôle visible, par opposition au figurant qui, lui, se fond dans le décor.

Le 14 juin 2019, un second appel, c’est Magali, la costumière. « Avez-vous une petite veste légère ? Un jean et des baskets ? Un sac à dos ? » Ça tombe bien, elle décrit parfaitement la manière dont je m’habille au quotidien.

Le 20 juin 2019 enfin, veille du tournage, Marie Pairis m’envoie un SMS pour m’indiquer l’heure et le lieu du rendez-vous.

Direction le HMC

Vendredi 21 juin 2019, 8 h, j’arrive donc à Chassal après une heure de route depuis Lons-le-Saunier. La scène du jour se tournera à la centrale hydroélectrique de Porte-Sachet, située sur la commune de Lavans-lès-Saint-Claude.

Mais avant cela, je dois faire une étape par le HMC comme on dit dans le métier ; à savoir Habillage, Maquillage, Coiffure. Situé dans une salle communale, c’est le centre névralgique où se croisent techniciens, équipe de réalisation et comédiens.

J’y retrouve une dizaine d’autres figurants, dont deux qui comme moi, feront office de silhouettes. L’habilleuse vérifie que mes vêtements apportés conviendront bien pour mon rôle, et on me fait passer au maquillage, indispensable avant de passer devant la caméra. Surtout lorsque, comme moi, on a un crâne chauve qui peut facilement avoir tendance à briller sous les projecteurs.

Devant moi, Sandrine Quétier est elle aussi en train de se faire maquiller, alors que dans un coin de la pièce, Pierre-Yves Bon et Philippe Gougler vaquent à leurs occupations avant d’aller sur le plateau.

Vers 8 h 45, les comédiens accompagnés de quelques techniciens et des sept figurants du jour se rendent en navette à la centrale hydroélectrique, située à quelque 2 km du HMC. Mes deux camarades silhouettes et moi restons sur place, alors qu’on nous fait savoir que notre scène viendra plus tard dans la matinée.

Il y a Claude, le retraité et membre très actif d’un ensemble folklorique populaire jurassien, et Ève, la comédienne de théâtre locale. Durant près de deux heures, nous faisons connaissance autour d’un café en attendant que l’on vienne nous chercher pour aller sur le plateau.

Et à 11h : « les silhouettes, c’est à vous ! » Un technicien nous emmène à notre tour sur le lieu du tournage. Arrivés sur place, Sandrine Quétier et Pierre-Yves Bon tournent ce qui sera la fin de la scène.

Bien sûr, si vous ne le saviez pas, au cinéma aucune scène n’est tournée dans l’ordre, et ce, en fonction des contraintes techniques ou climatiques. L’après-midi s’annonçant orageuse, l’équipe de réalisation a préféré tourner la scène d’extérieur le matin.

Une, deux, trois fois…

Alors que deux des sept figurants partis plus tôt dans la matinée sont déjà en train de tourner, nous discutons avec ceux qui attendent patiemment. « Ils font et refont la scène depuis plus d’une heure », m’explique l’un deux, déconcerté.

Devant la centrale hydroélectrique, Sandrine Quétier et Pierre-Yves Bon sortent effectivement du bâtiment pour rentrer dans une Mercedes d’époque. Une fois, deux fois, trois fois…

Derrière eux, un figurant passe le balai et l’autre accroche une banderole sur laquelle on peut lire : « Rétrospective du barrage de Vouglans – 50 ans ». Vient alors le moment de tourner les scènes en intérieur.

Devant la centrale hydroélectrique, les comédiens attendent de tourner la suite de leur scène.

Devant la centrale hydroélectrique, les comédiens attendent de tourner la suite de leur scène. (©Joffrey Fodimbi)

L’équipe s’affaire pour mettre en place les moyens techniques au tournage de ce nouveau plan, les cinq autres figurants sont appelés, et nous, silhouettes, restons encore sur la touche. J’avais conscience qu’un tournage induisait de longues heures d’attente, et je l’ai vérifié. Mais qu’importe, les heures passent vite lorsqu’on est curieux. À regarder l’équipe de réalisation encadrer les comédiens, les techniciens aménager les décors, j’ai de quoi observer.

Entre les prises, les trois comédiens professionnels sont à nos côtés. Certes, la place n’est pas au copinage, mais les sourires sympathiques et les quelques échanges nous prouvent qu’ils n’ont pas la grosse tête ; ce que d’aucuns pourraient croire de personnes issues d’un milieu qui nous est méconnu.

À midi, un membre de l’équipe vient à notre rencontre.

« Ève, Claude, Joffrey, vous ne tournerez finalement que cette après-midi, donc vous allez retourner au HMC pour manger. »

Bon… et bien retour à la case départ.

Sur la place du village, un camion faisant office de cantine permet à chacun de prendre une pause bien méritée, avant de retourner sur le plateau pour une longue après-midi de tournage.

Et c’est sur les coups de 14h que nous y retournons. Je ne vais pas vous cacher que je commençais à trépigner d’impatience à l’idée de pouvoir enfin tourner, car depuis le matin même, je n’avais aucune idée de ce que j’allais réellement devoir faire.

Nicolas, le journaliste

C’est alors que ma scène arrive enfin. On m’explique que je serai Nicolas, un journaliste local, qui est en train de prendre Dédé en photo lors d’une exposition sur les 50 ans du barrage de Vouglans. Dédé, joué par Claude, le retraité, est censé être la mémoire du barrage, que les enquêteurs joués par Sandrine Quétier et Pierre-Yves Bon sont venus interroger dans le cadre de leur enquête. Guidés au sein de la centrale hydroélectrique par Philippe Gougler, qui joue lui le rôle du maire du village, on me fait alors comprendre que je dois sortir de la salle des commandes où je suis en train de photographier le Dédé, pour laisser les enquêteurs faire leur travail.

Dans l’attente de ma scène, j’observe l’équipe de tournage en pleine réalisation.

Dans l’attente de ma scène, j’observe l’équipe de tournage en pleine réalisation. (©Joffrey Fodimbi)

Mais la scène, encore une fois, va être tournée dans le sens inverse. D’abord la sortie des enquêteurs de la salle des commandes. Lorraine David-Pidoux, 1er assistante réalisation, vient alors m’expliquer où me mettre et quoi faire. « Tu te mets à côté de la porte et tu photographies les photos de l’exposition. Lorsque les deux comédiens sont sortis de la pièce, tu y retournes pour voir Dédé. »

On répète alors la scène plusieurs fois, puis les trois mots magiques arrivent enfin : « Moteur, ça tourne, action ! » Une prise, deux prises, trois prises… Jusqu’à dix prises seront nécessaires pour ce simple plan.

Je photographie, laisse passer les comédiens, et me dirige vers la salle des commandes. « Coupez ! » Je retourne immédiatement à ma place, et je recommence. Photo, comédiens, salle des commandes ; photo, comédiens, salle des commandes ; photo, comédiens, salle des commandes… Inlassablement.

Le plan terminé, nous passons au début de la scène ; l’entrée des enquêteurs dans la salle des commandes, guidés par le maire du village et venus interroger Dédé.

« Alors Joffrey, tu le photographies en rafales jusqu’à ce que le maire te dise de partir, et là tu sors de la pièce. »

Là encore, plusieurs répétitions, et « Action ! ».

Sur le script est écrit : « Ils se dirigent vers l’ancienne cabine des commandes où un vieil ouvrier discute avec un jeune journaliste de la presse locale » ; et là le maire dit, en me tapant sur l’épaule : « Allez Nicolas, tu finiras après. Dédé, tu peux répondre à leurs questions. » Je sors de la pièce et la scène se poursuit pendant quelques minutes.

Là encore, nous la tournons en une dizaine de prises. Et ma présence à l’écran ne durera pas plus de 5 secondes. Quelques derniers plans de coupe sont tournés par l’équipe de réalisation et vers 17h la journée se termine sous les applaudissements.

Nous sommes tous reconduits au HMC en navette, et l’on nous remercie pour notre participation. Je repars direction Lons-le-Saunier, des images plein la tête et ce plaisir de me dire que j’ai joué mon propre rôle dans une série.

 

Le synopsis
Rose Tournaut, une guérisseuse est retrouvée morte à son domicile, recouverte de pétales blancs, pétales qui évoquent la Dame Blanche, une légende de fantôme supposé hanter les abords du lac de Vouglans… Pour les deux enquêteurs, Anna Buisson, capitaine de gendarmerie à Moirans dans le Jura et Eymeric Massoni-Tournanult, vedette de la Section de Recherches de la gendarmerie de Lyon, et surtout petit-fils de la victime, l’enquête s’annonce électrique… D’autant qu’un second meurtre se produit… Pour tirer cette affaire au clair, les enquêteurs doivent plonger au cœur des secrets de famille et des trésors enfouis au fond du lac…

 

Le tournage
> Une équipe de 50 techniciens et 25 comédiens
> Un tournage du 5 juin au 2 juillet, soit 21 jours de tournage
> De nombreux lieux : La Tour-du-Meix, le château de Marigna, Charchilla, Maisod, Orgelet, Clairvaux-les-Lacs, le port de la Mercantine et l’ancienne mairie d’Arinthod refaite en gendarmerie
> Une livraison à France 3 prévue en octobre pour une diffusion d’ici la fin de l’année

Canicule : un gros pic de pollution à l'ozone, ce samedi, en Normandie

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A Caen, on cherche les endroits où se rafraîchir.

A Caen, on cherche les endroits où se rafraîchir. (©Côté Caen/Instagram)

L’air vous a semblé irrespirable, aujourd’hui ? C’est normal, il l’était ! Ce samedi 29 juin 2019, il a atteint son plus haut niveau de pollution à l’ozone à Caen et Lisieux dans le Calvados mais aussi à Alençon dans l’Orne, ainsi qu’à Evreux, Le Havre et Rouen en Seine-Maritime. L’indice de la qualité de l’air, qui se calcule à partir des mesures de la journée enregistrées sur 4 polluants différents, a atteint le niveau 8, autrement dit une très mauvaise qualité de l’air. Atmo Normandie, l’organisme en charge de l’étude de la qualité de l’air l’explique par les températures très élevées de ces derniers jours et particulièrement celles d’aujourd’hui mais pas seulement. 

Les températures maximales de la canicule devraient être atteintes aujourd’hui. De plus, les masses d’air sont en provenance de la région parisienne.

Dans le Calvados et la Seine-Maritime, les températures ont atteint les 37 degrés dans la journée. Sur la côte l’air était un peu plus respirable mais restait chaud tout de même. Des pics à 38 degrés ont été enregistrés dans l’Orne.

Dans la Manche, la qualité de l’air est mauvaise ou médiocre mais n’a pas atteint le pic des trois autres départements. 

Lire aussi : Canicule, chaleur, pluie : tous les records à Caen de la météo en été

Demain, changement de programme

Dimanche 30 juin 2019, la qualité de l’air devrait s’améliorer, Atmo Normandie. L’indice redescend à 5, c’est-à-dire une qualité d’air moyenne. 

Une nette amélioration est prévue demain avec l’arrivée de vents d’ouest à nord-ouest et des températures en baisse. 

De 23 à 25 degrés dans le Calvados et 27 degrés dans l’Orne sont annoncés par Météo France

Lire aussi : Canicule : il va faire (un peu) moins chaud dimanche

Un violent incendie à l'usine Evergreen à Bourth dans l'Eure

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La chaleur a provoqué l'explosion d'une cuve

La chaleur a provoqué l’explosion d’une cuve (©Le Réveil Normand)

Onze centres de secours de l’Orne et de l’Eure étaient mobilisés à Bourth (Eure) sur le site de l’entreprise Evergreen, ex-Scotts, où un violent incendie s’est déclaré vers 17 h 15 ce samedi 29 juin 2019. Le samedi, personne ne travaille sur le site.

Evergreen est spécialisé dans la production d’engrais pour plantes, amendements, désherbants, anti-nuisibles, entretien du gazon, paillages, produits de traitement et semences florales. 

Départ de feu dans les déchets

Selon nos informations, la chaleur très importante en cette période de canicule serait à l’origine d’un départ de feu dans les déchets plastique et carton entreposés à l’extérieur, entre deux bâtiments. Directeur d’Evergreen Bourth, Freddy Henet détaille les circonstances de l’incendie.

« Sur les caméras de surveillance du site, on voit très bien le départ de feu dans les conteneurs à déchets. Un instant, on pense que le feu s’éteint mais, probablement à cause d’un coup de vent, il a repris avec davantage de force. Le sinistre s’est d’abord propagé aux palettes de bois puis à l’intérieur du bâtiments. C’est à ce moment que l’alarme incendie s’est déclenchée ».

300 palettes de bouteilles en plastique

Les flammes ont attaqué un stock de 300 palettes de bouteilles en plastique vides et des cartons d’emballage. C’est la combustion de ces bouteilles qui a provoqué l’épaisse fumée noire visible à des kilomètres à la ronde.

« A l’intérieur de ce bâtiment de 1 500 m2, il y avait également des cuves de produit dangereux posées sur béton, mais elle sont restées intègres. Cela veut dire que le sinistre n’a pas provoqué de fuite. Nous avons analysé les eaux d’écoulement suite à l’intervention des pompiers et il n’y a aucune trace de produits chimiques ».

Ces eaux ont été collectées dans un bassin de rétention, elles seront pompées avant d’être évacuées vers un site de traitement spécialisé.

Pas de fermeture du site

Maîtrisé vers 21 heures, l’incendie a totalement détruit la charpente du bâtiment. « Cela va impacter notre activité en début de semaine mais nous verrons avec le personnel comment nous allons nous organiser ». Il n’y a pas de fermeture de l’usine au programme.

La Dreal (Direction régionale de l’environnement) sera rapidement sur le site pour poursuivre les analyses et les investigations. Viendra ensuite de l’expertise des assurances, puis celui de la reconstruction.

Les nouvelles aventures du Joueur du grenier, le youtubeur de Fougères, sont en ligne

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Un épisode tourné avec la participation de Dynamite Games.

Un épisode tourné avec la participation de Dynamite Games. (©Capture d’écran-Chronique républicaine)

A Fougères, les épisodes sur YouTube du Joueur du grenier sont toujours aussi attendus.

Frédéric Molas, Sébastien Rassiat et Karim Debbache viennent de livrer leur nouvel opus, Des jeux et du metal !

Aerosmith for ever

Un film mis en ligne ce samedi 29 juin, juste avec quelques jours de retard. Mais le Joueur du grenier explique pourquoi sur sa page Facebook :

On a voulu faire quelque chose d’un peu plus chargé que d’habitude en terme d’histoire ! J’espère que ça vous plaira ! On part donc sur un Joueur du grenier sur les jeux basés sur la musique ! Alors pas question de Guitar hero ou Just dance évidemment, c’est des trucs bien plus vieux ! Je parle du jeu Wayne’s World et de Revolution X, le jeu du groupe Aerosmith ! »

Voilà pour l’intrigue (enfin, c’est un peu plus nourri encore).

L’Aumaillerie, Saint-Sulpice…

Les fans du Joueur du grenier qui connaissent Fougères auront plaisir à retrouver quelques sites locaux, comme l’ancien marché aux bestiaux de l’Aumaillerie, l’église Saint-Sulpice. Une habitude chez le Joueur du grenier, qui a aussi transformé le centre hospitalier de Fougères et le club libertin Le Double Jeu en studios de tournage, il n’y a pas si longtemps !

L'église Saint-Sulpice, dans le quartier historique de Fougères, comme décor..

L’église Saint-Sulpice, dans le quartier historique de Fougères, comme décor.. (©Capture d’écran-Chronique républicaine)

Une vidéo tournée aussi avec la participation de deux commerces de Fougères : le Café Geek et Dynamite Games.

Lire aussi : VIDEO. Quand le Joueur du Grenier fait tourner Harry Potter au château de Fougères

Retrouvez la nouvelle vidéo :

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