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Débat à Crécy-la-Chapelle : où implanter la future maison de santé ?

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Le site d’implantation de la future maison médicale fait débat

Le site d’implantation de la future maison médicale fait débat (©Illustration / Fotolia)

« C’est un projet mûrement réfléchi, auquel on pense depuis des années », présente le maire de Crécy-la-Chapelle, Bernard Carouge. « Nous sommes venus à la conclusion que le moyen le plus adapté pour accueillir et conserver nos médecins, c’est une maison de santé ».

Seulement, son emplacement ne plaît pas à tout monde : elle sera située entre la route départementale 934 et les Promenades de Crécy.

Lire aussi : Crécy-la-Chapelle. Le projet de maison médicale verra bien le jour

Sur les Promenades ou non ?

Le président de ADR (association pour un développement raisonné) de Crécy-la-Chapelle, Jacques Christian Ségouffin, estime que ce projet met « en péril le poumon vert de la ville ». 

Il y a un attachement sentimental des Créçois à cet espace, et c’est un atout touristique.

Loin d’être contre l’implantation d’une maison médicale, l’association voudrait qu’elle s’installe ailleurs, pour « éviter le bétonnage d’espaces naturels ». Une pétition a été lancée en ligne.

Le maire de la ville assure de son côté qu’il « n’est pas question d’urbaniser les Promenades ». Les accès à la maison de santé ne se feront que par la RD 934, et le poumon vert de Crécy restera piéton.

Nous avons aussi décidé de créer un espace paysager protégé, ainsi qu’une aire de jeux, entre la maison et l’espace piéton.

« Aucun autre site valable »

Pour le maire de Crécy-la-Chapelle, « il n’y avait aucun autre site valable ». Il estime que la maison de santé a besoin « d’être visible et accessible au plus grand monde possible, aussi bien aux habitants du centre-ville qu’à ceux qui viennent de plus loin grâce à la RD 934 ».

Lire aussi : Santé : SOS Médecins s’installe à Crécy-la-Chapelle

Bernard Carouge poursuit :

On ne pouvait pas implanter le bâtiment dans une zone industrielle, où ni les clients ni les médecins ne seraient venus. S’est aussi posée la question du bâtiment du conseil communautaire, mais il ne nous appartient pas. Et l’étage composé de bureaux pourrait, à terme, plutôt devenir une extension de la crèche, dont l’accueil se fait au rez-de-chaussée. 

23 logements sociaux en vue

L’association ADR et son président Jacques Christian Ségouffin pointent également du doigt un projet qui « s’apparente un vaste complexe immobilier ». En plus de la maison médicale, le bâtiment qui sortira de terre a en effet pour ambition de faire naître 23 logements sociaux. « Nous en avons assez de la densification du centre-bourg. On ne veut pas ressembler à une ville comme Serris à ce niveau-là. Les Créçois ont choisi de vivre ici pour les écrins de verdure et de campagne ».

Le maire de Crécy, Bernard Carouge, pense quant à lui qu’il en va « de l’intérêt des Créçois » : « c’est à eux que nous donnerons la priorité pour les logements ou à des gens du territoire. Beaucoup ont besoin de se rapprocher du centre-ville, mais n’en ont pas forcément des moyens ».


Sablé-sur-Sarthe : l'Atelier Malicot inaugure son « photomobile » le samedi 29 juin

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Le photomobile de l'Atelier Malicot sera inauguré ce samedi 29 juin.

Le photomobile de l’Atelier Malicot sera inauguré le samedi 29 juin 2019. (©Les Nouvelles de Sablé)

Samedi 29 juin 2019, l’Atelier Malicot inaugure son nouveau musée mobile à la boutique éphémère de la rue de l’Île, à Sablé-sur-Sarthe.

Deux ans et 3 000 heures de travail ont été nécessaires, mais ils y sont arrivés ! L’Atelier Malicot dispose désormais d’un musée mobile dédié à la photographie de la fin du XIXe. 

Unique en France le musée de la rue Carnot, dédié au photographe sabolien Joseph Malicot, compte quelques milliers de photographies, de la documentation, et un millier d’appareils et objectifs anciens. Des trésors provenant des collections des membres mais aussi de dons.

Patrick Salètes, membre de l’association de l’Atelier Malicot revient sur l’origine du projet.

L’idée du photomobile est partie d’un constat. Quand on fait des expositions, c’est toujours très long à installer. Nous voulions que ce soit un musée interactif qui puisse être installé rapidement ».

Des modules sécurisés

L’exposition itinérante tient dans un ensemble de sept modules sécurisés, « des caisses comme celles qui servent à transporter le matériel des musiciens », précise le passionné qui expose régulièrement des appareils anciens. « Je savais comment les fabriquer ».

Elles ont été pensées pour être rapides d’exécution, la caisse de transport peut ensuite servir de support à l’exposition.

Il fallait qu’elles puissent passer les ralentisseurs sans faire de casse. Les appareils sont visés sur les étagères contenues dans les vitrines. Un énorme travail, avec le choix des appareils, les options techniques. J’ai dû faire des maquettes, puis refaire autrement ».

La résistance du photomobile a été testée à l’occasion de Phot’Expo qui s’est déroulée à Asnières-sur-Vègre début juin.

Lire aussi : VIDEO. Chèvres, âne, cochons, cygnes… Cette mairie possède sa mini-ferme !

« Exporter nos collections »

Pour Jean Distel, président de l’association, ce photomobile permettra d’aller voir plus facilement ceux qui ne peuvent pas venir à l’atelier.

Il servira pour de la médiation, pourra partir dans les écoles par exemple. On intéresse des gens qui viennent de loin, d’où la nécessité d’exporter nos collections au-delà de la région. »

Chaque vitrine est accompagnée d’un roll-up explicatif. Le photomobile dévoile des appareils datant des années 1860, « ce sont les premiers, les plus gros. D’un modèle à l’autre, aucun n’est identique, les fournisseurs étaient à chaque fois différents ».

L’exposition comprend aussi des modèles fabriqués entre 1920 et 1940. Plus petits, ces appareils de l’entre-deux-guerres sont manufacturés et pratiquement identiques jusqu’en 1950.

Un projet à 10 000 €

Ce projet à 10 000 € a été financé par le fonds Leader Vallée de la Sarthe, le département, la communauté de communes et la ville de Sablé-sur-Sarthe.

Lire aussi : A Sablé, tous les services du Département sont regroupés dans un nouveau bâtiment du quartier des serres

Le photomobile sera inauguré le samedi 29 juin à la boutique éphémère de la rue de l’Île, où il restera jusqu’au 15 août.

L’idée, proposer des visites guidées sur les traces du photographe Joseph Malicot, deux fois par semaine au départ de l’Office de Tourisme de Sablé-sur-Sarthe.

Les visiteurs découvriront le photomobile, puis se rendront à l’atelier en observant à l’aide de photos anciennes ce que Joseph Malicot a photographié dans la ville ».

L’Atelier Malicot proposera un stage d’été en août.

Pratique :

Inauguration le samedi 29 juin 2019, à 18 h, boutique éphémère, 24, rue de l’Île, Sablé-sur-Sarthe. Prochaines visites guidées : samedi 13, vendredi 19, samedi 20 juillet, 15h, office de tourisme de Sablé, 18, rue Léon-Legludic, 72300 Sablé, Sablé-sur-Sarthe. Tarif 3.50€, réduit 2€.

EN IMAGES. Canicule : pause fraîcheur et baignade à volonté au zoo de Jurques

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Mathias Letouzey, soigneur au zoo de Jurques, fait la distribution de glaces aux animaux ce vendredi 28 juin 2019.

Mathias Letouzey, soigneur au zoo de Jurques, fait la distribution de glaces maison aux animaux ce vendredi 28 juin 2019. (©La Voix Le Bocage)

Le thermomètre a beau grimper en flèche depuis quelques jours, les animaux de Jurques s’en sortent plutôt bien. Il faut dire qu’ils sont chouchoutés par l’équipe de soigneurs du zoo.

Les pandas roux sont régulièrement vaporisés d’eau, « ils sortent très peu quand il fait chaud », détaille le directeur, Guillaume Ourry. Du côté des loups blancs, la sensation de chaleur est plus légère puisqu’ils sont situés dans la zone la plus fraîche du parc, « côté nord, toujours à l’ombre ».

Lire aussi : Zoo de Jurques : Mohan, Raja et Rani enfin installés dans la Forêt des tigres blancs

Au contraire des suricates, placés plein nord, où le temps est au farniente, car « ils adorent le soleil ».

Plus loin, les tigres blancs, arrivés en avril dernier, ont la chance d’avoir leur piscine privative : un bassin en bas de l’enclos, à l’ombre, idéalement situé pour que les visiteurs ne ratent rien de leur baignade quotidienne.

Tandis que pour les moutons l’heure était à la coupe d’été, « ils ont été tondus mercredi, ils en avaient bien besoin ».

Pour beaucoup aussi distribution de glaces maison, fabriquées à base de fruits de saison, aromatisées pour certains à la grenadine, pour d’autres aux poissons.

Lire aussi : Vidéo. Au zoo de Jurques, les animaux profitent de la neige

Autre astuce pour que les animaux soient moins affectés par la chaleur, ils dorment à la belle étoile :

On les rentre pour les repas puis, contrairement à d’habitude, on les ressort la nuit ».

Un micro climat à Jurques

La canicule n’a pas encore vraiment frappé au zoo de Jurques car il faut dire que le parc est relativement épargné par ces montées de chaleur intempestives. « On a une sorte de micro climat ici », raconte Guillaume Ourry.

On est à 350 mètres d’altitude, on est donc moins touché qu’ailleurs grâce notamment à un petit vent frais. Autre avantage, 80 % du site est à l’ombre ».

Les soigneurs s’adaptent

Si pour les animaux tout se passe comme sur un nuage, les soigneurs, eux, marchent un peu sur les braises. Pour les 5 soigneurs et 2 techniciens (un jardinier et un menuisier), la tâche est plus difficile que d’habitude.

On a dû adapter le travail ».

Les gros travaux ont été mis en attente ainsi que la manipulation de charges lourdes. Le travail en intérieur, comme la préparation des repas, est favorisé.

Lire aussi : Pic de chaleur en Normandie : à quoi doit-on s’attendre ce week-end ?

Côté public, il est peu nombreux en cette fin de semaine au zoo de Jurques. À cause d’un arrêté préfectoral, les classes scolaires qui devaient venir ont dû annuler ou repousser leur venue du fait de la chaleur. Les peu de visiteurs ont donc tout un parc rien qu’à eux et en profitent.

Pour les autres, ce n’est que partie remise. Ce weekend des 29 et 30 juin 2019 l’entrée au parc est gratuite pour les enfants (détail ici).

 

 

Football - SM Caen. Jessy Deminguet : "Il y aura beaucoup d'attentes, c'est normal"

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Jessy Deminguet et Anthony Gonçalves laissent déjà promettre une belle association au milieu du terrain.

Jessy Deminguet et Anthony Gonçalves laissent déjà promettre une belle association au milieu du terrain. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Sa prolongation de contrat, annoncée au cœur de l’intersaison, a envoyé un signal. Jessy Deminguet sera un joueur du Stade Malherbe Caen la saison prochaine, malgré la descente en Ligue 2, et cela atteste des ambitions du club. Le milieu de terrain de 21 ans, qui a prolongé jusqu’en 2023, va être amené à changer de statut – même s’il le réfute – après une fin de saison durant laquelle il a rappelé toute la pertinence des attentes qu’il avait soulevées. Entretien.

Sport à Caen : Jessy, on t’a vu aux avant-postes dès le premier entraînement. Déjà en jambes ?

Jessy Deminguet : J’ai bien bossé pendant les vacances, je me sens en forme. Le travail est réparti en groupes de VMA. Il y a ceux qui courent à 19 km/h, 18 km/h, 17 km/h… Je suis dans le groupe à 19 km/h. On fait beaucoup de tests physiques. C’est le début, c’est dur, mais il va falloir l’encaisser pour bien préparer ce championnat. 

Est-ce que cela a été dur de vous remettre de la descente et du scénario que vous avez vécu ?

Au début oui, ça a été dur à encaisser. Après, il faut savoir l’avaler et passer à autre chose. Il y a une nouvelle saison qui va débuter, un nouveau coach, de nouveaux joueurs… Il va vite falloir tourner la page, et pour ma part c’est fait.

Lire aussi : INFOGRAPHIE. Jessy Deminguet, le joueur clé du SM Caen ?

Quel goût te laisse cette saison ? Sur un plan personnel, elle a été assez particulière…

J’ai vécu beaucoup de choses. J’ai connu deux maladies, une blessure, cinq matchs en-dehors du groupe. C’était dur à encaisser mais je suis jeune et j’ai beaucoup appris de cette saison. Je suis content d’avoir rejoué à la fin. J’ai essayé d’apporter tout ce que je pouvais mais cela n’a pas suffi. Maintenant, il faut vite passer à autre chose. 

As-tu eu le sentiment de confirmer ta saison précédente malgré une première partie compliquée ?

Je pense qu’on est dans la continuité. Il faut continuer de progresser quand on vient de signer son premier contrat pro. Je sais qu’il y a des gens qui attendent beaucoup de moi. Il faut constamment se remettre en question et ne jamais croire que les choses sont acquises. En tout cas, c’est ma philosophie.

Jessy Deminguet montre la voie à suivre dans une équipe du Stade Malherbe où il prend du galon.

Jessy Deminguet montre la voie à suivre dans une équipe du Stade Malherbe où il prend du galon. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

« Il y a un vrai projet »

Comment s’est faite ta réflexion autour de ta prolongation de contrat ?

Dans un premier temps, j’ai dit au président et à Yohan (Eudeline) que je voulais d’abord me reposer. Il fallait encaisser cette saison et oublier tout ça. Ils sont vite revenus vers moi. Ça m’a un peu choqué (sourire). J’ai réfléchi quelques temps mais cela a vite conclu sur une prolongation. C’est important pour ma progression.

Lire aussi : Football. Jessy Deminguet prolonge à Caen jusqu’en 2023

Caen est ton club de toujours ou presque (il y a joué dès l’âge de 11 ans). Cela compte dans ce genre de décision ?

Bien sûr, il y a toujours un penchant pour ce club. Cela a pesé dans la balance pour prolonger.

Après deux années en Ligue 1, d’autres auraient pu penser qu’il fallait y rester…

On aurait pu penser ça, oui. Je sais que certaines personnes m’ont fait la réflexion, mais moi je suis bien ici. J’ai parlé avec le président. Il y a un vrai et bon projet. Ligue 1 ou Ligue 2, ça ne change pas grand-chose. Il faut que je continue de progresser. J’espère faire le plus de matchs possible en Ligue 2 et réaliser une belle saison.

Ton statut va-t-il changer ? Ta prolongation a suscité beaucoup d’enthousiasme…

C’est possible. Il y aura un peu d’attentes, c’est normal d’un côté. Je ne vais pas changer de philosophie, je ne vais pas me mettre plus de pression que ça. Je vais tout donner comme d’hab’. 

« Travailler pour le collectif, ça m’intéresse »

Continuer ta progression passe par quoi ?

Enchaîner beaucoup de matchs, dans un championnat que je ne connais pas. Cela passe aussi par une belle saison sur le plan collectif. Pourquoi pas soigner les stats, comme on dit, mais la priorité est de penser collectif. Travailler pour le collectif, ça m’intéresse beaucoup. Les statistiques, je n’y pense pas trop. 

Lire aussi : EN IMAGES. Les joueurs du SM Caen ont repris l’entraînement avec leur recrue Anthony Gonçalves

Jessy Deminguet a connu une première partie de saison 2017-2018 très délicate avant d'être incontournable sur la fin de saison.

Jessy Deminguet a connu une première partie de saison 2017-2018 très délicate avant d’être incontournable sur la fin de saison. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Il y a eu beaucoup de changements après la relégation, est-ce une bonne chose dans l’optique de reconstruction ?

Oui, c’est une bonne chose. On apprend à se connaître. Ce n’est pas seulement un nouveau coach, ce sont aussi des nouveaux joueurs qui arrivent. Il faut qu’on les intègre rapidement, qu’on trouve très vite une nouvelle âme. La préparation sert aussi à cela. 

Rui Almeida sera ton troisième coach en trois ans. On devine que c’est à la fois enrichissant pour un jeune joueur, et à la fois une nécessité de refaire ses preuves…

Même quand le coach reste, il faut toujours être dans l’optique de faire ses preuves et de montrer de belles choses. Effectivement, j’ai connu trois coachs en l’espace de trois ans. C’est enrichissant parce qu’il n’y a pas forcément le même projet pour chaque coach, ni la même approche. 

« Dans un coin de notre tête, on pense tous à la remontée

Qu’est-ce que Fabrice Garande et Fabien Mercadal t’ont-ils apporté ?

Le coach Garande m’a apporté beaucoup de confiance. J’étais jeune, je venais de débuter, ça a été très formateur. Il me disait de ne pas me mettre de pression. Le fait qu’un coach vienne me parler souvent, me dise de belles choses, a été très important dans ma progression. Le coach Mercadal était un peu comme ça aussi. Il aimait bien être proche de ses joueurs, discuter beaucoup avec eux. Sur ce plan, ils étaient assez similaires. En revanche, leur philosophie de jeu était différente.

Lire aussi : Orages à Lisieux : le footballeur Jessy Deminguet lance une cagnotte pour un ami sinistré

Quelles vont être les attentes du club à ton égard ?

On n’a pas trop évoqué le sujet mais je sais bien que s’ils m’ont prolongé, c’est avec l’envie que je sois le plus performant possible. On verra par la suite si les attentes se précisent, mais en tout cas je sais quelles sont les miennes. 

La remontée doit-elle être l’objectif évident de l’année à venir ?

Le président parlait d’abord de reconstruire quelque chose de vrai. Bien sûr, dans un coin de notre tête, on pense à la remontée. Il va falloir mettre beaucoup d’ingrédients pour cela. Une saison, c’est long. C’est un marathon, comme l’a dit le coach. 

Jessy Deminguet entend "rester à [sa] place".

Jessy Deminguet entend « rester à [sa] place ». (©Aline Chatel / Sport à Caen)

« C’est important d’avoir une identité locale »

Beaucoup se réjouissent déjà de ta possible future association avec Anthony Gonçalves au milieu. Comment vois-tu les choses ?

Je n’anticipe rien. Ma place n’est pas acquise et celle d’Antho non plus. J’ai déjà parlé quelques fois avec lui, c’est quelqu’un de très bien, de très mature mais qui parle aussi très, très bien aux jeunes. J’ai évoqué deux, trois sujets avec lui. J’ai bien aimé son approche avec nous, les jeunes, et avec l’ensemble du groupe. On l’a bien accueilli et il nous le rend bien.

Lire aussi : Football. La « dalle » et des valeurs : Anthony Gonçalves est prêt au combat pour le SM Caen

La perspective d’être encadré par un joueur comme lui est importante à ton âge ?

Que ce soit moi ou n’importe quel autre jeune, c’est important d’être encadré par ce genre d’homme, d’abord, et de joueur. On apprend beaucoup d’eux. Je disais déjà cela de Julien Féret. C’est la réalité : il faut apprendre de ces joueurs qui ont un grand vécu, une belle carrière, et essayer de faire pareil. 

N’es-tu pas un cadre pour ceux qui sont encore plus jeunes et qui arrivent dans l’équipe ?

J’ai un peu plus de vécu qu’eux, c’est vrai, mais je ne suis pas quelqu’un qui va prendre la parole dans le vestiaire, être agressif, etc. Par contre, si j’ai quelque chose à dire, j’irai vers la personne. Mais être cadre, c’est un très grand mot. J’ai lu des choses dans ce sens mais je ne déroge pas à ma philosophie. Je reste comme je suis.

On a beaucoup parlé de l’identité Malherbe ces derniers temps. T’inscris-tu là-dedans ?

C’est quelque chose qui me parle beaucoup et qui semble parler au président. Il l’a mis en avant dans les interviews qu’il a faites. C’est important d’avoir une identité locale. J’ai vu l’arrivée de Cédric Hengbart chez les jeunes, je pense que ça va leur apporter beaucoup. C’est bien ce que fait le club. 

Ploërmel : Pascal Aunai tire le portrait de pilotes automobiles aux 24 Heures du Mans

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Pascal Aunai suit les aventures de l'équipage Sausset sur les circuits. ©Pascal Aunai.

Pascal Aunai de Ploërmel (Morbihan) suit les aventures de l’équipage Sausset sur les circuits comme ici, aux 24 Heures du Mans. ©Pascal Aunai.

Il a vécu les 24 Heures du Mans aux premières loges. Pascal Aunai, pharmacien à Ploërmel, n’était pas dans les gradins ni même au volant d’un bolide à quatre roues. C’est armé de son appareil photo qu’il a arpenté le mythique circuit sarthois.

Lire aussi : Championnat de France de Barbe : Un barbier de Ploërmel parmi les jurés

Un rêve d’enfant

Dans son viseur, la team de Frédéric Sausset. Il est le photographe attitré de l’équipage du premier pilote quadri-amputé de l’histoire du sport automobile qui a bouclé les 24 Heures du Mans en 2016.

« Je l’ai rencontré sur le circuit de Magny-Cours en 2015. Il s’était mis en tête de participer à la course mancelle en pilotant à la force des genoux. Je dois admettre qu’à l’époque, j’étais sceptique. Mais nous sommes restés en contact, et deux jours avant ses essais au Mans, il m’a sollicité pour immortaliser sa première participation. J’étais comme un gamin devant les pistes. »

Pascal Aunai s'est glissé dans les coulisses des 24 Heures du Mans.

Pascal Aunai s’est glissé dans les coulisses des 24 Heures du Mans. (©Pascal Aunai)

Mordu de sport automobile depuis l’enfance, photographe autodidacte, Pascal Aunai vit son rêve de gosse.

« Il est de ceux qui forcent l’admiration. Le suivre sur la plus belle épreuve d’endurance au monde, c’était grandiose. »

Un équipage de trois pilotes handicapés

Depuis, le Ploërmelais n’a jamais vraiment quitté les circuits. Son appareil photo en bandoulière, il accompagne l’écurie Sausset sur les grilles de départ. Car Frédéric devenu manager, a formé une équipe de trois pilotes handicapés pour les emmener à leur tour, jusqu’aux 24 heures du Mans à l’horizon 2020.

« Cette année, ils ont participé à la course Road to Le Mans, considérée comme l’antichambre de l’épreuve sarthoise pour se familiariser avec le circuit. Cela devrait aboutir sur une participation à la 88e édition de la classique mancelle, l’année prochaine, si les budgets sont bouclés. »

Promis , je poste des photos de voitures plus tard .

Publiée par Pascal Aunai sur Samedi 15 juin 2019

Rapidité et minutie

En attendant, le Ploërmelais garde l’œil dans le viseur pendant que les pilotes font chauffer les pneus. Ce qu’il aime aussi photographier, c’est l’atmosphère du stand. Se faufilant entre les techniciens, il scrute les visages, à l’affût de la moindre émotion.

Jamais rassasié, il continue de trimbaler son objectif aux quatre coins des circuits. Prochain arrêt ? « A Mugello, en Italie, le week-end prochain », annonce-t-il tout sourire. Le graal ?

« Suivre une course de Formule 1. Mais être accrédité pour les 24 Heures du Mans, cela relevait déjà de l’exploit ! »

Dans les stands des 24 Heures du Mans, Pascal Aunai capte les instants de rush.

Dans les stands des 24 Heures du Mans, Pascal Aunai capte les instants de rush. (©Pascal Aunai.)

A noter
Pour retrouver les photos de Pascal Aunai, rendez-vous sur www.pascalphotos.net
Le photographe amateur fait aussi partie, localement, de l’association Couverture Photo, avec Jean-Michel Jarry et Isabelle Dufil. Ensemble, ils couvrent les événements sportifs et culturels du territoire.

Réchauffement climatique : la récolte du miel en grand danger, seule la Bretagne est épargnée

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Confrontée à des aléas climatiques depuis le début de l'année, la production de miel pourrait ne pas atteindre les 10 000 tonnes en 2019.

Confrontée à des aléas climatiques depuis le début de l’année, la production de miel pourrait ne pas atteindre les 10 000 tonnes en 2019. (©Illustration / Adobe Stock)

La production de miel s’annonce « catastrophique » en France cette année, en partie à cause des dérèglements climatiques observés ces derniers mois par les apiculteurs. Un bouleversement qui profite pourtant à une région, la Bretagne, épargnée par cette crise. 

Dans un communiqué de presse, la Confédération syndicale agricole des exploitants familiaux (Modef) a tiré la sonnette d’alarme cette semaine : « Les abeilles ne récoltent rien ! Dans les ruches, il n’y a pas à manger, les apiculteurs sont obligés de les nourrir avec du sirop car elles risquent de mourir de faim », s’inquiète le syndicat.

Les causes sont multiples : un hiver très doux a facilité une bonne reprise de ponte, les colonies très populeuses se sont trouvées sans fleurs ni miellée à cause des vents du Nord et des gelées tardives, et se sont effondrées en peu de temps. Ce nouveau coup dur est d’autant plus critique pour les apiculteurs qu’il intervient après plusieurs saisons difficiles.

Contacté par actu.fr, le président de la section départementale du Modef en Lozère, Robert Aigoin, redoute aussi les effets de la canicule sur le travail des abeilles : « Avec ce coup de chaud, le risque est que la floraison ne dure pas. Avec comme conséquence une petite production. »

Les abeilles produisent plus de miel quand elles butinent bio
Les chercheurs du CNRS, de l’Inra et de La Rochelle Université ont étudié le comportement de 180 ruches dans le centre-ouest de la France, pendant six ans. Ils ont ainsi découvert que les parcelles cultivées en agriculture biologique auraient un effet bénéfique pour les abeilles, au-delà du fait qu’elles sont préservées des ravages de l’agriculture industrielle. Cette étude est parue dans Journal of Applied Ecology le 26 juin 2019.

« Chez nous, les abeilles ont encore de quoi se nourrir »

L’année 2018 avait pourtant été relativement bonne avec une production entre 18 000 et 20 000 tonnes de miel. Le premier semestre 2019 n’augure rien de bon pour la suite. D’après l’Union nationale de l’apiculture française, les récoltes sur les trois quarts du territoire ont été quasiment nulles pour le moment, excepté en Bretagne.

Ce que confirme à actu.fr Gilles Lanio, le président : « La récolte est correcte dans notre région. Même avec les chaleurs, la végétation ne dessèche pas grâce à un taux d’humidité important. Chez nous, les abeilles ont encore de quoi se nourrir. » 

Les Français veulent plus de transparence
Si la baisse de la production de miel est avérée, les consommateurs se tourneront vers des produits importés, qui représentent déjà les trois quarts du marché. D’après Robert Aigoin, du Modef, « près de la moitié des miels proposés aux consommateurs français seraient de la fraude à l’importation ». Comme l’Unaf, le syndicat réclame un étiquetage plus précis sur les origines géographiques. 94% des Français seraient d’ailleurs favorables à une transparence totale sur les pays d’origine des miels composant les pots de miel (étrangers surtout) selon un sondage Ifop. A ce jour, la réglementation n’oblige pas les négociants de miels à renseigner les consommateurs sur l’origine des miels issus de mélange. Ce qui selon les associations de producteurs créeraient une concurrence déloyale. 

Lire aussi : Ces apiculteurs envoient des graines pour sauver les abeilles… ils ont reçu 15 000 lettres

« Il y a 15 ans, on ne faisait pas de miel au printemps »

Ce bouleversement climatique, désastreux pour certains territoires comme l’Occitanie, serait une aubaine pour la Bretagne. « Pour nous c’est presque bénéfique, justifie l’apiculteur du Morbihan. Il y a 15 ans, on ne faisait pas de miel au printemps. Aujourd’hui, les abeilles viennent butiner les fleurs d’arbres comme les aubépines ou les saules. »

On arrive à « attraper » le climat de Bordeaux, avec une hausse des températures de 2 degrés environ. L’impact n’est pas négatif en soi, mais les choses ne sont pas à leur place. 

Si la Bretagne ne souffre donc pas des aléas climatiques pour l’instant, une campagne de démoustication pour lutter contre le moustique tigre aurait décimé involontairement des colonies d’abeilles ces dernières semaines. Sur le bord de côte en Sud-Bretagne notamment. 

Lire aussi : Pour sauver les abeilles, un apiculteur du sud de Toulouse vous envoie gratuitement des graines

Pas-de-Calais. 55 chats laissés sans soin dans une maison à Esquerdes

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55 chats laissés sans soin ont été sauvés par la SPA à Esquerdes (Pas-de-Calais).

55 chats laissés sans soin ont été sauvés par la SPA à Esquerdes (Pas-de-Calais). (©SPA)

L’affaire remonte au 14 juin 2019. Ce jour-là, le refuge de Saint-Omer de la Société Protectrice des Animaux (SPA) est intervenu à Esquerdes (Pas-de-Calais) chez une personne détenant de nombreux chats en mauvais état, livrés à eux-mêmes.

Sans soin ni contrôle de leur reproduction, la propriétaire s’est laissée submerger par les multiples naissances », souffle-t-on du côté de la SPA.

55 félins, malades, craintifs et affaiblis, ont été découverts. La femme a confié aux enquêteurs qu’elle ne possédait que deux chats à l’origine…

Lire aussi : Canicule : comment protéger les animaux domestiques des grosses chaleurs ?

Détresse humaine et détresse animale

Certains animaux étaient amaigris et affamés. De tout âge, les plus petits n’avaient que quelques jours. D’autres n’étaient pas sevrés, ils vivaient tous mélangés et se transmettaient des maladies (coryza…) », enchaîne la SPA.

Aucun animal n’était stérilisé. La propriétaire, en grande détresse, a reconnu ne plus s’en sortir et a préféré céder la plupart de ses animaux à la SPA..

Elle a souhaité garder cinq de ses chats, qui seront stérilisés et suivis par la SPA ».

Sur les cinquante chats recueillis par le refuge de St-Omer, nombreux sont ceux qui attendent une famille. Quelques chatons ont déjà été adoptés, d’autres ont encore besoin de soins.

Lire aussi : Un nouveau refuge pour la SPA de Quimper

Les chats étaient livrés à eux-mêmes.

Les chats étaient livrés à eux-mêmes. (©SPA)

Metz : un homme retrouvé mort dans le plan d'eau, une enquête ouverte

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Le corps d'un homme a été découvert dans le plan d'eau de Metz (Moselle), vendredi 28 juin 2019.

Le corps d’un homme a été découvert dans le plan d’eau de Metz (Moselle), vendredi 28 juin 2019. (©Wikimédia)

Macabre découverte dans le plan d’eau de Metz (Moselle), vendredi 28 juin 2019.

Le corps d’un homme a été repêché dans l’après-midi à proximité du quai des Régates par les sapeurs pompiers a appris Lorraine Actu de source policière. Pour le moment, la victime n’a pas pu être identifiée formellement.

Selon une source policière, une enquête judiciaire sera prochainement ouverte pour tenter de déterminer les causes du décès. Les enquêteurs étaient encore sur place vendredi en fin d’après-midi et peu d’éléments sont connus pour le moment.

Plus d’informations à suivre…

Lire aussi : Metz : une femme retrouvée morte près du plan d’eau, enquête ouverte


Pollution et canicule : les bus et Mettis gratuits ce samedi à Metz Métropole

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Le réseau de transports en commun de la métropole de Metz sera gratuit ce samedi 29 juin 2019.

Le réseau de transports en commun de la métropole de Metz sera gratuit ce samedi 29 juin 2019. (©Ville de Metz)

L’exploitant du réseau a d’abord lancé, ce vendredi, un billet illimité permettant de voyager sur tout le réseau au prix d’un billet classique. Ce samedi, il n’y aura pas besoin de ticket pour voyager dans les bus et les Mettis de la métropole de Metz. 

« Afin de limiter les effets néfastes de cette pollution et revenir au plus vite à des taux acceptables, Metz Métropole et le réseau Le Met’ déclenchent le « Seuil de persistance Alerte NIVEAU 3 » du plan Pollution le samedi 29 juin 2019. Exceptionnellement, ce jour-là, les déplacements seront gratuits sur l’ensemble des lignes du réseau Le Met’ », explique la ville dans un communiqué.

Afin de limiter la pollution atmosphérique, nous invitons les habitants de Metz Métropole à éviter d’utiliser leur voiture personnelle et à utiliser les transports en commun ou d’autres modes de déplacements alternatifs (marche à pied, vélo…).

Lire aussi : Pollution : les 20 km/h en moins obligatoires maintenus en Lorraine ce samedi

Parkings-relais gratuits

En période de seuil de persistance Niveau 3 et uniquement pendant cette période, les bus et les Mettis sont en accès libre, sans titre de transport. Les valideurs sont bloqués, rendant impossible toute validation de titre de transport (carte sans contact ou billet sans contact).

Par ailleurs, les parkings-relais (P+R) seront gratuits pour les clients, les barrières seront levées. La mesure est valable jusqu’à la fin de l’alerte pollution qui pourrait se poursuivre dimanche.

Lire aussi : Canicule : réseau de bus et de trams gratuit ce samedi à Nancy, jour de grève massive

Val-d'Oise. Tennis (Excellence) : Les Ermontois au bout du suspense

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Avec le soutien de leurs nombreux supporters, les messieurs de l'Act Ermont sont allés remporter à l'arrachéele Championnat du Val-d'Oise par équipes seniors sur les terres (battues) du Cct Taverny.

Avec le soutien de leurs nombreux supporters, les messieurs de l’Act Ermont sont allés remporter à l’arrachée le Championnat du Val-d’Oise par équipes seniors sur les terres (battues) du Cct Taverny. (©D.R.)

Coup dur pour le Cosmopolitan club de tennis de Taverny (Cctt) qui avait réussi l’exploit de qualifier ses deux équipes – féminine et masculine – en finale de la division Excellence des Championnats par équipes du Val-d’Oise seniors. Deux finales mais aucun titre et donc, pas de montée en Pré-Nationale Île-de-France...

Pas de regrets pour les dames qui ont été largement dominées par les joueuses de l’équipe 2 du Club sportif municipal d’Eaubonne (Csme). Ces dernières ont joliment suivi l’exemple de leurs partenaires de l’équipe première qui sont dans le même temps montées en Nationale 1a. Ainsi la messe était dite au terme des quatre matchs de simple qui ont vu les victoires de Marie Rivillon (2/6) aux dépens de Stéphanie Lancelot (4/6) sur le score de 3/6, 6/2, 6/3, Claudia Orsini (3/6) face à Séverine Beaussart (5/6) 2/6, 7/5, 6/4, Magali Ballard (4/6) contre Laure Laffite (15/1) 6/1, 6/0 et Fleur Rupp (4/6) contre Christine Gravil (15/2) 6/2, 6/3. On le voit, les Tabernaciennes se sont bien défendues mais la logique des classements a été respectée.

Le Tennis club Jocxassien (Jouy-le-Moutier) a participé aux deux divisions Excellence des Championnats du Val-d'Oise par équipes seniors grâce à ses équipes féminine et masculine.

Le Tennis club Jocxassien (Jouy-le-Moutier) a participé aux deux divisions Excellence des Championnats du Val-d’Oise par équipes seniors grâce à ses équipes féminine et masculine. (©D.R.)

Les Eaubonnaises encore championnes

Les messieurs aussi se sont bien battus. Jusqu’à un irrespirable maxi tie-break venu départager les deux finalistes, à égalité 1-1 puis 2-2 après les simples et 3-3 après les doubles ! L’Ermontois Morgan Rei (2/6) est tout d’abord difficilement venu à bout de Paul Roucaute (4/6) 7/6, 6/7, 6/0, pendant que Vincent Cosson (0) égalisait pour le Cctt en dominant Pierre-Yves Georgelin (1/6) 4/6, 6/2, 6/3. Adam Briant (1/6) redonnait l’avantage à l’Association des clubs de tennis d’Ermont (Acte) avec une victoire 7/6, 6/2 face à Erwan Martin (4/6) avant que l’ancien Adamois Jonathan Aremon (0) ne domine Clément Honoré-Rouge (0) 7/6, 6/3 dans le match des numéros uns. Deux partout, balle au centre, pause repas (offert par le Cctt, club hôte de cette finale) avant les doubles.

Deux nouveaux joueurs font alors leur entrée, Messina Brahimi (4/6) pour Taverny et Aurélien Lucchini-Sepieter (3/6) pour Ermont. Associé à Vincent Cosson, le premier s’impose sans soucis 6/2, 6/2 contre Pierre-Yves Georgelin et Adam Briant. Au côté de Clément Honoré-Rouge, le second apporte, lui aussi, sa contribution en dominant plus difficilement Erwan Martin et Jonathan Aremon, 6/2, 1/6 et 11-9 au super tie-break. Les deux joueurs vont ensuite remporter le dernier acte pour l’Acte, le maxi tie-break final, dix points à huit cette fois-ci face à Cosson et Brahimi (après avoir été menés 6-2). Le titre et la montée se seront donc joués à deux points ! Bravo messieurs, belle finale.

Sylvain PETIT

Les résultats

DAMES

Poule A : Taverny remporte la poule devant Sarcelles 2, Gonesse, Jouy, Cormeilles 2 et Saint-Brice.

Poule B : Eaubonne 2 remporte la poule devant Deuil, Argenteuil, Plessis-Bouchard, Villiers-le-Bel 2 et La Frette.

Finale : Eaubonne 2 bat Taverny (6/0).

MESSIEURS

Poule A : Taverny remporte la poule devant Sannois 3, Franconville, Ermont 2, Deuil 2 et Goussainville.

Poule B : Ermont remporte la poule devant Herblay, Taverny 2, Montmorency, Éragny et Jouy.

Finale : Ermont bat Taverny (4/3).

Surf : le Cotentin est (sans doute) candidat à l'accueil des Jeux Olympiques de Paris 2024

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Le Cotentin pourrait finalement décider de présenter une candidature pour organiser les épreuves de surf lors des Jeux Olympiques de Paris 2024.

Le Cotentin pourrait finalement décider de présenter une candidature pour organiser les épreuves de surf lors des Jeux Olympiques de Paris 2024. (©La Presse de la Manche)

Le Cotentin devrait déposer une candidature pour organiser les épreuves de surf des Jeux Olympiques de Paris 2024.

Lire aussi : Surf : Siouville-Hague n’est pas candidat aux Jeux olympiques de Paris 2024

La phrase lâchée par le président de la Fédération Française de Surf, Jean-Luc Arassus, lors de sa visite le 15 juin 2019 dans la Manche n’est donc pas tombée dans l’oreille d’un sourd.

Siouville a tous les atouts pour accueillir des épreuves de surf lors des Jeux Olympiques de Paris 2024.

Les élus de la communauté d’agglomération du Cotentin ont, en effet, décidé de relever le défi. Enfin, peut-être puisque le terme « sans doute » est tout de même employé dans le communiqué de la collectivité.

Les spécialistes s’interrogent

 Même si les spécialistes locaux de la discipline ne sont pas convaincus de la pertinence d’une telle candidature, le Cotentin pense avoir les atouts nécessaires pour décrocher la timbale.

Le président de la Fédération française de Surf nous a fortement incités à candidater, le Cotentin Surf Club faisant partie des dix principaux clubs de France en termes de pratiquants à l’année. Il est aussi au plus haut niveau en termes de qualités sportives, étant labellisé « Club Or » depuis 2016.

La CAC entend également miser sur ses plages « reconnues par les pratiquants » et son environnement « unique par nature ».

Lire aussi : Siouville-Hague futur spot des épreuves de surf des JO de Paris 2024 ?

Reste maintenant à franchir le pas. Pour cela, il faudra mettre tout le monde d’accord, ce qui ne semble pas encore le cas…

Les sites intéressés ont, désormais, jusqu’au 15 juillet prochain pour se manifester officiellement, en renvoyant une lettre d’intérêt et des premiers éléments techniques.

Le temps presse et le dossier est encore loin d’être ficelé... Affaire à suivre.

Lire aussi : Siouville-Hague toujours dans le Top 10 national des spots de surf

Périers-en-Auge : les sapeurs pompiers interviennent pour un feu d'engin agricole

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Ce vendredi 28 juin 2019, les pompiers sont intervenus pour un feu d'engin agricole à Périers-en-Auge (Calvados).

Ce vendredi 28 juin 2019, les pompiers sont intervenus pour un feu d’engin agricole à Périers-en-Auge (Calvados). (©Le Pays d’Auge)

Ce vendredi 28 juin 2019, à Périers-en-Auge (Calvados), les sapeurs-pompiers sont intervenus pour un feu d’engin agricole. L’incendie s’est déclaré dans un champ, au niveau du lieu-dit La Goderie

Le brasier a été éteint au moyen d’une lance. 

Manche : le record de chaleur pour un mois de juin est battu !

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Un grand soleil est attendu ce mercredi en région.

Le record de chaleur dans pour un mois de juin dans la Manche a été battu. Il est désormais de 36,3 degrés. (©Photo d’illustration )

Un véritable coup de chaud ! La canicule s’est fait attendre dans la Manche, elle est désormais bel et bien présente. Météo-France avait annoncé un probable record de chaleur pour un mois de juin hier dans la Manche. Cela n’a pas manqué. 

Ce vendredi 28 juin 2019, un record de chaleur pour le mois de juin a même été battu ! 

Vers 17 h 50, la plus haute température de l’histoire du département en juin a été enregistré du côté de Saint-Jean-de-la-Haize, près d’Avranches. Il faisait alors 36,3 degrés ! 

Lire aussi : Canicule : la Manche joue la carte de la fraîcheur

Le précédent record de chaleur de Saint-Hilaire-du-Harcouët 

Ce nouveau record vient effacer des tablettes les 35,9 degrés enregistrés à Saint-Hilaire-du-Harcouët le 20 juin 2017. Et ce n’est peut-être pas fini puisque ce samedi 29 juin devrait être la plus belle journée de la semaine pour notre département. La barre des 37 degrés pourrait être atteinte par endroits.

Cette chaleur suffocante qui règne actuellement dans le Sud-Manche (45 degrés ressentis !) contraste avec la fraîcheur du Nord-Cotentin où l’on a relevé aujourd’hui « seulement » 21,1 degrés à la station de Gonneville-Maupertus et 19,3 degrés au Cap de la Hague.

Lire aussi : Alerte enlèvement dans le Cotentin : malgré la canicule, le soleil demeure introuvable !

Toulouse. Nocturnes, concerts gratuits... Voici ce qui vous attend à la Halle de La Machine, cet été

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Durant tout l'été, La Halle de la Machine propose des nocturnes, des concerts gratuits et des ateliers.

Durant tout l’été, La Halle de la Machine propose des nocturnes, des concerts gratuits et des ateliers. (©Halle de la Machine)

Plusieurs mois après avoir fait le show à Toulouse, devant des centaines de milliers de spectateurs, à l’occasion du spectacle Le Gardien du Temple, que deviennent Ariane et Astérion ?

Lire aussi : Près de 900 000 personnes ont assisté au spectacle des machines géantes, à Toulouse

La Halle ouverte pendant tout l’été

La célèbre araignée géante et le gigantesque Minotaure ont élu domicile en novembre 2018, dans leur nouvelle tanière, La Halle de La Machine.  Cet été, les deux emblèmes de la Halle, située dans le quartier Montaudran, réservent quelques surprises au public. 

Voyages à dos de minotaure, visite de la halle, tour de manège, projections, concerts gratuits, nocturnes… Les mois de juillet et août 2019, la Halle de la Machine s’anime. Voici ce qui vous attend cet été dans ce nouveau lieu culturel de la Ville rose. 

Lire aussi : Toulouse : en deux mois, plus de 60 000 personnes ont déjà visité la Halle de La Machine

Des nocturnes et des concerts gratuits…

Du vendredi 5 juillet au samedi 31 août 2019, la Halle de La Machine ouvrira ses portes jusqu’à 22h les vendredis et samedis. L’occasion de prolonger les journées estivales en compagnie des Véritables Machinistes pour découvrir le bestiaire des machines de spectacle dans la Halle, de voyager à 10 mètres de haut sur le dos du Minotaure et de profiter d’un concert dans un décor insolite en plein air. 

Car pour son premier été à Montaudran, la Halle de La Machine investit la Piste des Géants et propose une série de concerts gratuits en plein air.

Le programme des concerts : 

  • 5 et 6 juillet : Les Madeleines (chansons à guincher)
  • 12 et 13 juillet : Djuke Boxe Pirate (élucubration phoniques)
  • 19-20 juillet : KatCross (électro synthpop music)
  • 26 juillet : DJ Pento
  • 27 juillet : Les Roger’s (brass band de poche)
  • 2-3 août : Lakdhar Hanou ensemble (fusion orientale et méditerranéenne)
  • 9-10 août : DJ Bax
  • 16 août : Astaffort Mod’s (hip-hop local)
  • 17 août : DJ Pento
  • 23-24 août : Toulouse Hot Club (quintet swing multiforme)
  • 30 août : Georges Profonde (rock nuptial)
  • 31 août : The Flibustier (fanfare new orleans & surf music)

Une expo qui retrace la saga de La Machine 

Durant les mois de juillet et août, une exposition de photographies signée Jordi Bover sera également à voir. À l’occasion des 20 ans de La Machine, cette exposition retrace deux décennies de créations, de spectacles et de villes transformées en théâtre. Une expo qui emmène les visiteurs de Toulouse à Nantes, de Yokohama à Santiago du Chili… 

Lire aussi : Macklemore, ZZ Top, Nekfeu… Les Déferlantes, un festival dans « un cadre de fou » à 2h de Toulouse

Des ateliers pour les enfants 

La Halle de La Machine propose également des ateliers d’environ une heure aux familles (accessible dès 6 ans). Une façon de prolonger l’immersion dans l’univers de la compagnie avec une médiatrice de la Halle de La Machine, sur une thématique autour du processus de création, des matériaux et procédés utilisés, des spectacles… 

Lire aussi : The Black Eyed Peas, Chris, Shaka Ponk et Orelsan à l’affiche du festival de Carcassonne

Infos pratiques
La Halle de La Machine
Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 19h et jusqu’à 22h les vendredis et samedis de juillet et août.
Plus d’infos sur le site de La Halle de La Machine 

Seine-et-Marne. A Veneux-les-Sablons, le cambrioleur se cachait sous le lit

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Le cambrioleur a été interpellé dans une maison de l'avenue de la Gare © Google street view

Le cambrioleur a été interpellé dans une maison de l’avenue de la Gare © Google street view

Dans la nuit du jeudi 27 au vendredi 28 juin, vers 1 h 20, un riverain de l’avenue de la Gare, à Veneux-les-Sablons, a prévenu le commissariat que l’alarme de ses voisins absents venait de se déclencher.

Les policiers sont rapidement intervenus dans le pavillon et ont découvert une vitre brisée. Ils ont fouillé la demeure mais n’ont trouvé personne. Ils sont repartis après avoir effectué des prélèvements de sang.

Une heure plus tard, le voisin vigilant rappelle la police pour prévenir qu’il y a de la lumière dans la maison. La brigade anticriminalité décide alors de progresser discrètement dans l’habitation et finit par tomber sur le cambrioleur… caché sous un lit.

SDF et sans papier

L’interpellation a été houleuse car ce dernier a tenté de prendre la fuite. Il a été attrapé par un pied.

Le suspect a été placé en garde à vue et a reconnu les faits. Il s’agit d’un Algérien de 23 ans, en séjour irrégulier sur le territoire français. Sans domicile fixe, il est basé à Paris, tout comme les sans papiers qui avaient été appréhendés dernièrement lors d’un cambriolage à Montigny-sur-Loing.

Le jeune majeur, qui est sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français, est défavorablement connu de la police pour des cambriolages. Le 18 juin dernier, il était déjà en garde à vue pour un vol par effraction en Île-de-France.


Un mineur interpellé pour vol de parfums à Brest

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Un mineur a été placé en garde à vue au commissariat central de Bret suite à quatre vols dans une parfumerie

Un mineur a été placé en garde à vue au commissariat central de Brest suite à quatre vols dans une parfumerie (©Côté Brest).

Depuis plusieurs semaines, il avait été constaté plusieurs vols dans une parfumerie du centre-ville de Brest, rue Jean-Jaurès. La vidéosurveillance montrait à chaque fois le même individu agir en mettant des bouteilles de parfum dans son sac à dos. Mais il n’avait pas été identifié. Son signalement a cependant permis à une patrouille de policiers de l’interpeller dans la rue jeudi 27 juin 2019.

Placé en garde à vue, il s’est dit mineur isolé et a reconnu les faits, indiquant avoir commis quatre vols en mai et en juin, prenant à chaque fois une seule bouteille au hasard. Il aurait précisé qu’il les revendait ensuite pour se faire un peu d’argent et se nourrir. Il a été présenté au parquet vendredi 28 juin.

Lire aussi : Vols dans des voitures à Brest : deux hommes interpellés

Yvelines. Neuf employés syndicalistes de l'usine PSA Poissy condamnés en cour d'appel

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L'an dernier, les militants CGT avaient manifesté pour soutenir leurs collègues.

L’an dernier, les militants CGT avaient manifesté à Versailles (Yvelines) pour soutenir leurs collègues de Poissy. (©78 Actu)

Ce vendredi 28 juin, la cour d’appel de Versailles (Yvelines) a confirmé une partie de la condamnation de neuf salariés de l’usine PSA de Poissy (Yvelines).

Le jugement en première instance remontait au 17 février 2017.

Ces employés avait été condamnés à cinq mois d’emprisonnement avec sursis et 11 000 € d’amende pour séquestration et violences en réunion envers un cadre de Peugeot. Ils avaient fait appel de la décision.

Les faits de séquestration abandonnés

Cette fois, la cour d’appel n’a pas retenu les faits de séquestration.

Au moment des faits, les salariés étant restés dans le bureau « 17 minutes », selon l’avocate. L’amende a elle été maintenue et trois mois de prison avec sursis ont été prononcés. Les faits de violence en réunion ont été confirmés par la cour d’appel.

Un jugement inadmissible pour l’avocate des neuf prévenus, Marie-Laure Dufresne-Castets.

Les employeurs sont puissants et la justice a penché en faveur des puissants. Trois mois de prison avec sursis ce n’est pas anodin pour des pères de famille »

Continuer la lutte

Farid Borsali, syndicaliste CGT, lui aussi en attente d’un autre jugement qui sera rendu le 4 septembre par la cour d’appel pour des faits de violence envers un cadre, annonce :

C’est un jugement contre la force ouvrière mais on va continuer la lutte. »

Après s’être réunis avec leur avocate, les salariés ont décidé de renvoyer l’affaire en Cour de cassation.

Top 14. Notre podium des meilleurs demis de mêlée de la saison 2018-2019

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Sebastien Bezy, très performant cette saison, va-t-il être préféré à Antoine Dupont en n°9 pour affronter La Rochelle en demie ?

Sebastien Bezy, très performant cette saison, termine en tête de notre classement des meilleurs n°9 en Top 14. (©Icon Sport)

Après le titre du champion de France glané par le Stade Toulousain le samedi 15 juin 2019, Actu Rugby vous a présenté son XV de la saison de Top 14, le XV 100% français ainsi que le XV des étrangers. A compter de ce lundi, on vous présente notre podium poste par poste. Zoom sur les demis de mêlée. Vous auriez fait le même choix ? N’hésitez pas à voter.

Lire aussi : Top 14. Notre podium des meilleurs flankers de la saison 2018-2019

1. Sébastien Bézy (Stade Toulousain)

Prime à la régularité. Sébastien Bézy, qui a disputé 24 matches sur 28 possibles (16 titularisations), a été un élément-clé du Stade Toulousain. Encore plus quand les Rouge et Noir avaient besoin de se réveiller. À Bordeaux, et contre le Stade Rochelais par exemple. Sa vitesse d’exécution, ses jambes et son coup d’œil ont souvent permis à Toulouse d’aller vers l’avant.

Lire aussi : Top 14. Notre podium des meilleurs deuxième ligne de la saison 2018-2019

Mené 36-7 à la pause sur le terrain de l’UBB, Toulouse a ait une remontada d’anthologie, dictée par la très bonne rentrée de Sébastien Bézy, qui a offert l’essai de la gagne à Bonneval. Contre le Stade Rochelais en demi-finale, le numéro 9 a remplacé Thomas Ramos et endossa à nouveau le costume de « Super sub » en marquant le deuxième essai toulousain. Un joker de luxe en fin d’exercice qui ne doit pas faire oublier que le demi de mêlée titulaire cette saison à Toulouse, ce fut plus souvent lui. Et il a définitivement relevé la tête après un passage compliqué…

2. Greig Laidlaw (Clermont)

Pour sa deuxième saison avec les Jaunards, l’Ecossais a joué quasiment deux fois plus de temps (1071 min), et a inscrit plus du triple de son total de points enquillés (213) à la fin du premier exercice dans le camp clermontois. En concurrence avec Morgan Parra (14 matches, 721 min), le demi de mêlée a parfaitement répondu présent quand Franck Azema l’a aligné (21 matches, 12 titularisations).

Lire aussi : Top 14. Notre podium des meilleurs demis d’ouverture de la saison 2018-2019

Buteur fiable, Greig Laidlaw s’est aussi imposé comme un joueur clé ballon en main, en Challenge Cup comme en Top 14. Avec 269 points inscrits cette saison toutes compétitions confondues, il a terminé l’exercice en tant que meilleur réalisateur du club. Rien que ça.

Le demi de mêlée du Stade Toulousain, Antoine Dupont, face à Toulon.

Le demi de mêlée du Stade Toulousain, Antoine Dupont, a encore été éblouissant cette saison. (©Icon Sport)

3. Antoine Dupont (Stade Toulousain)

Piet Van Zyl (Stade Français) et Benoit Paillaugue (Montpellier) ont aussi réalisé des saisons de bonne facture. Ils ont également joué plus de temps qu’Antoine Dupont (13 matches, 11 titularisations). Mais le Toulousain (5 essais), âgé de seulement 22 ans, a tout simplement été auteur d’enchaînements phénoménaux pendant sa deuxième saison en Rouge et Noir.

Lire aussi : Top 14. Notre podium des meilleurs ailiers de la saison 2018-2019

Son triplé fantastique à Aimé-Giral avait prouvé que le numéro 9 du Stade Toulousain était grandiose. Un statut amplifié lorsque le protégé d’Ugo Mola a affiché une polyvalence extrêmement précieuse. Il a disputé l’intégralité de la finale face à Clermont, match durant lequel il a rendu une excellente copie. Physiquement, il est hors-norme, franchit souvent, bat énormément de défenseurs. Et il a amélioré son jeu au pied. Un gros talent.

 

 

Fête du cinéma : 4 euros la place pour toutes les séances durant 4 jours

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Toy Story 4 est au cinéma depuis mercredi 26 juin 2019.

Toy Story 4 est au cinéma depuis mercredi 26 juin 2019. (©Disney/Pixar)

Pour échapper à la chaleur, on a la solution : aller au cinéma et profiter d’un espace climatisée ! Et à 4 euros la séance, c’est presque aussi rafraîchissant que des longueurs à la piscine ! En effet, du dimanche 30 juin au mercredi 3 juillet 2019 inclus, la Fête du cinéma est organisée partout en France.

A voir : Toy Story 4, Yves, Made in China

Créée en 1985, cet événement est toujours très attendu par les spectateurs et permet aux cinémas d’augmenter significativement la fréquentation sur la période. Elle succède au Printemps du cinéma organisée en mars

Sur les écrans actuellement : 

  • Toy Story 4,
  • Yves,
  • Made in China,
  • The Moutain,
  • Golden Glove,
  • Beau joueur,
  • The Doors…

En 2019, c’est à Anne Le Ny que la Fédération nationale des cinémas français (FNCF) a confié la réalisation du film annonce de La Fête du Cinéma. Elle succède ainsi à Eric Lartigau et Cédric Klapisch qui se sont prêtés à l’exercice en 2017 et 2018.

Vidéo. La bande annonce de la Fête du cinéma 2019 :

Infos pratiques : Fête du cinéma, du dimanche 30 juin au mercredi 3 juillet 2019 inclus. Durant ces quatre jours, le tarif sera unique dans tous les cinémas participants : 4 euros la séance. Hors majoration pour les films en 3D, en Imax, séances spéciales et prestations complémentaires. Offre non cumulable avec d’autres avantages tarifaires.

Sarthe : un rendez-vous hippique en semi-nocturne

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Attelées ou montées, les courses hippiques de Montmirail attirent chaque année un large public (photo d'archives).

Attelées ou montées, les courses hippiques de Montmirail (Sarthe) attirent chaque année un large public de parieurs mais aussi de promeneurs (Echo sarthois – Carine Robinault – photo d’archives).

Ce samedi 29 juin 2019, la société de courses de Montmirail (Sarthe) organise la première de ses deux réunions estivales, à savoir le Grand prix de La Ferté-Bernard.

Il aura lieu en semi-nocturne, à partir de 16 heures, sur l‘hippodrome du Perche sarthois, et sera suivi d’un repas champêtre sur site.

Des courses attelées et une montée

Avant un second rendez-vous fixé au samedi 13 juillet, le Grand prix de Montmirail.

Pour ces deux dates, des courses attelées et une course montée sont disponibles aux parieurs, mises sur pied par la société hippique, présidée par Patrice Joubert.

Piste enherbée de 1000 mètres

Une société hippique qui bichonne sa piste enherbée de 1000 mètres. Mais pas seulement…

Chaque année, la société complète les infrastructures après l’inauguration de la piste en 2008 et l’instauration de ces deux rendez-vous de juillet. En 2009, box de passage ou encore vestiaires hommes et femmes ont vu le jour.

Lire aussi : L’Armée de l’air lance « Mission cobra », une application pour recruter plus de 3500 jeunes

Puis, en 2010, un hall couvert de 400 m2 était réalisé pour la restauration. Le bâtiment d’accueil du secrétariat, la salle des commissaires, ainsi qu’un espace de réception en terrasse et une infirmerie voyaient le jour.

Sans compter l’entretien permanent du site par les fidèles bénévoles de la société hippique.

À noter que chaque année, durant les deux journées, des animations gratuites sont mises en place pour occuper les enfants.

 

Pratique : Grand prix de La Ferté-Bernard, ce samedi 29 juin 2019 à partir de 16 heures à l’hippodrome de Montmirail. Restauration à partir de 20 heures. Entrée payante.

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