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Val-d'Oise. Cinq nouvelles bornes de covoiturage dans le Vexin

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Début juillet, cinq nouvelles stations Covoit'Ici ont fleuri dans le Vexin.

Début juillet, cinq nouvelles stations Covoit’Ici ont fleuri dans le Vexin.

Chars (Val-d’Oise) a été la première ville vexinoise, en mars 2016, à inaugurer le dispositif de transport collaboratif.

Trois ans après le lancement des premières bornes de covoiturage sur le territoire, Covoit’Ici, en partenariat avec le Parc naturel régional, le Département et la Communauté de communes Sausseron Impressionnistes passe la seconde.

Cinq nouvelles stations sont sorties de terre au début du mois de juillet et desserviront sur la RD14 Cléry-en-Vexin (Val-d’Oise), Vigny et deux quartiers d’Ableiges, ainsi que la zone d’activités Les Portes du Vexin à Ennery. Leur mise en service est prévue en septembre.

Cinq bornes

Et ce n’est pas tout. D’autres bornes verront le jour d’ici là à Vallangoujard et à Valmondois. 

« Nous cherchons par tous les moyens à trouver une solution au déficit de transports publics dans les zones rurales », explique Marc Giroud, président de la Communauté de communes Sausseron Impressionnistes.

Lorsqu’ils ne disposent pas d’une gare ou d’une ligne de bus à proximité, les Vexinois n’ont d’autre choix que d’avoir recours à la voiture pour se déplacer, faire des courses ou se rendre sur leur lieu de travail. 

« L’autosolisme y est devenu majoritaire mais pourrait trouver une alternative économique et écoresponsable avec le développement du covoiturage », souligne celui qui est également maire de Vallangoujard. Un parfait terrain de jeu pour Covoit’Ici.

Covoiturage vs autosolisme

Certaines communes comme Magny-en-Vexin ou encore Ableiges sont traversées par de grands axes qui viennent de l’extérieur de la région. 

« La plupart du temps, les sièges des voitures y circulant sont inoccupés », insiste Marc Giroud. Une situation comparable selon lui à « un train aux wagons vides et aux fréquences de passage régulières. L’idée est de faire de ce dispositif un service public », annonce-t-il soulignant que le projet nécessite une organisation logistique et financière afin de mettre en contact les automobilistes et les demandeurs.

À l’inverse du concept Blablacar qui assure de longs trajets, ce dispositif cible les trajets pendulaires des travailleurs de la région. « C’est un autostop amélioré qui se fait sur le moment », souligne Marc Giroud.

Pas besoin de lever le pousse avec Covoit’Ici, des panneaux d’affichages lumineux au-dessus des bornes renseignent les conducteurs sur la destination demandée par l’usager. Antoine, 28 ans, n’a pas encore le permis de conduire mais ne le vit pas trop mal étant adepte du vélo et des transports en commun. 

« Je serais susceptible de passer par le covoiturage, avec ou sans permis d’ailleurs, c’est du bon sens et une bonne façon de casser l’image de la voiture ultra-personnelle.

Leur nombre pourrait être grandement réduit et, si ça peut redynamiser et reconnecter les villages et leurs habitants, c’est encore mieux car tout le monde y gagne : les gens, la planète, les portefeuilles. »

Afin de fluidifier le dispositif et mettre en confiance les demandeurs, un réseau de volontaires grandit actuellement via le site https://www.covoitici.fr/. Les personnes intéressées peuvent s’y préréférencer selon leurs déplacements récurrents et rentabiliser de cette manière une partie de leur plein d’essence (9 centimes par kilomètre).

Coup d’pouce, Tad Vexin… L’offre se diversifie
En plus des nouvelles bornes de covoiturage, d’autres alternatives à la voiture apparaissent dans le paysage vexinois. Lancé il y a deux ans, Coup d’pouce propose du covoiturage gratuit entre les communes de Nucourt et de Cléry-enVexin. Le passager appuie sur le bouton de la borne, l’automobiliste voit le signal, s’arrête pour prendre l’usager et le dépose dans l’autre commune. En parallèle de ce dispositif, Île-de-France Mobilités vient de lancer Tad Vexin, un service de transport public sur réservation du lundi au vendredi (toute l’année hors jours fériés), après avoir adhéré au service. Le principe est simple : la navette prend en charge les demandeurs à un arrêt de bus de leur commune à un horaire prédéfini et les dépose à un arrêt de rabattement (l’Oseraie à Osny ou l’hôpital René-Dubos à Pontoise) où une correspondance avec les lignes 95-05 ou 95-08 pour se rendre à Cergy-Pontoise est possible. Ce service est accessible avec un
titre de transport francilien ou un ticket à 2€ acheté auprès du conducteur.

B.N.


Un Hallencourtois à la recherche de son père, un ancien GI américain

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Jean-Claude Soyez entouré d'une photo du cycliste Jacques Anquetil et de sa grand-mère maternelle qui l'a élevée.

Jean-Claude Soyez entouré d’une photo du cycliste Jacques Anquetil et de sa grand-mère maternelle qui l’a élevée. (©L’Éclaireur)

Le premier choc quand on rencontre Jean-Claude Soyez, c’est de voir la date de naissance qui est inscrite sur sa carte d’identité, il est né le 4 mai 1946, il a donc 73 ans, rien d’exceptionnel sauf quand on lève les yeux pour découvrir le visage et la silhouette d’un homme qui paraît vingt ans de moins.

« Je fais moins que mon âge, généralement, les gens pensent que j’ai 50, 55 ans au maximum, j’ai beau répéter mon âge, ils ne me croient pas souvent, je dois leur mettre mes papiers d’identité sous le nez », sourit-il.

L’habitant d’Hallencourt (Somme) aurait-il trouvé un moyen d’arrêter le temps ? Non, il doit juste cette apparence jeunesse à une hygiène de vie saine et sportive. « Je cours trois fois par semaine et j’ai longtemps fait de la boxe, ça aide », confie-t-il.

Lire aussi : Oisemont : Une première année réussie pour l’école des jeunes sapeurs-pompiers

« Je sais que c’était un GI américain »

Jean-Claude Soyez n’a jamais connu son père biologique. Il n’est au courant que de peu de choses à propos de son géniteur :

Je sais que c’était un GI américain qui est venu après le Débarquement, c’était un officier ou un sous-officier car apparemment, il se promenait toujours en compagnie d’une ordonnance (un grade américain). Il était stationné à Vieux-sur-Bresle, à 20 km à vol d’oiseau d’ici, il gardait les prisonniers allemands là-bas.

Comment ce soldat venu de l’autre côté de l’Atlantique a-t-il croisé le chemin de sa mère ?

Il n’a que peu d’indices mais selon lui « ils se sont croisés et se sont plu ». Après, pendant plusieurs mois, ils vont se côtoyer,

mon père se déplaçait jusque chez elle en jeep, elle habitait à deux kilomètres du camp.

Une relation franco-américaine stoppée

Pourtant, la relation n’est pas simple, Marcelle ne parlant pas la même langue que son amoureux, en témoigne les lettres qu’elle a reçues par la suite et qu’elle a dû faire traduire pour en comprendre le contenu.

Après plusieurs mois, les Américains repartent et le père biologique de Jean-Claude Soyez tente de faire venir son amoureuse avec lui mais la jeune fille de 17 ans ne sera pas du voyage. « Ils sont arrivés au Havre mais ma mère ne voulait pas abandonner ses parents ».

Jean-Claude comprend pourquoi sa mère n’a pas souhaité embarquer :

Elle avait 17 ans et à l’époque, les États-Unis, c’était le bout du monde.

Même une fois loin de son amant, Marcelle continue de recevoir des nouvelles grâce à des lettres qu’il lui envoie mais elle, n’en renverra aucune.

L’Américain ne saura donc jamais qu’il est père.

En 1946, Jean-Claude naît et sera rapidement confié aux soins de sa grand-mère à laquelle il restera profondément attaché, il se rend sur sa tombe régulièrement.

La recherche de ses origines, il ne l’entreprendra que vers 25 ans.

À ce moment-là, il se heurte à un mur, sa mère est hermétique à ses supplications. « Je ne suis pas sûr qu’on ait parlé de lui cinq minutes », regrette-t-il aujourd’hui.

Les quelques infos qu’il a pu glaner, c’est auprès de sa cousine plus âgée que lui qui a rencontré son père dont il connaît à peine le prénom, d’habitants du village ou grâce à des papiers de l’administration américaine.

Jean-Claude sait simplement que son géniteur était calme, contrairement à son fils, extrêmement nerveux, il est pourtant fier de ce père dont il ne connaît pas le visage :

J’aurai adoré suivre ses traces, être soldat moi aussi, quoi qu’il arrive, je suis très fier de lui, c’était tout de même un GI.

Top 14. Vers une pluie de cartons tout au long de la saison ?

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Les arbitres, à l'image d'Adrien Descottes, ont décidé d'être plus sévères sur le jeu dangereux.

Les arbitres, à l’image d’Adrien Descottes, ont décidé d’être plus sévères sur le jeu dangereux. (©Icon Sport)

À l’occasion de cette 1ère journée de Top 14, l’attitude des arbitres a été scrutée de près. Dans quel domaine seront-ils indulgents ? Plus sévères ? Quelles nouvelles consignes ? S’il est trop tôt pour en tirer des conclusions définitives, une tendance semble toutefois se dessiner : le jeu dur va se payer au prix fort.

Lire aussi : Top 14. Toulon, cartons rouges, Stade Français… Nos Tops et Flops de la 1ère journée

Ce n’est pas un record, mais pas moins de trois cartons rouges ont été sortis lors d’une même journée. Deux concernent une charge coude en avant dans le visage de l’adversaire (Ugena pour Pau, Jurand pour Brive), et un autre pour un plaquage très haut et dangereux (Puafisi pour La Rochelle). 

Tête ou cou touchés ? Carton rouge…

Alors que les chocs sont de plus en plus forts, le corps arbitral a reçu la consigne de sanctionner sévèrement tout acte au niveau de la tête de l’adversaire. « Dès que la tête et le cou seront touchés, ce sera carton rouge », avait prévenu Franck Maciello, le patron de la Direction Nationale de l’arbitrage. Le message est bien passé auprès des troupes, qui ont sorti ce week-end en Top 14 pas moins de sept cartons pour des plaquages hauts.

Lire aussi : Top 14. Voici pourquoi Mathieu Raynal n’arbitrera finalement pas Agen – Toulon !

La santé des joueurs est au cœur de l’actualité, et les instances fédérales, mais aussi mondiales, ont décidé d’agir afin de les protéger. Les zones de ruck vont être aussi strictement surveillées, secteur où trop de laxisme avait été observé les années précédentes. À l’heure où les physiques sont toujours de plus en plus impressionnants, et les chocs plus appuyés, il est nécessaire d’agir.

Le pilier rochelais Sila Puafisi a été exclu face à Clermont pour un plaquage très haut.

Le pilier rochelais Sila Puafisi a été exclu face à Clermont pour un plaquage très haut. (©Icon Sport)

Gommer au plus vite les mauvaises habitudes

À Pierre-Fabre, l’arbitre Thomas Charabas a sorti un carton jaune au deuxième ligne Jacques Du Plessis pour un déblayage aussi inutile que dangereux. Quel intérêt pour le Sud-Africain de faire cela ? « C’est stupide », appuyait l’entraîneur Xavier Garbajosa. On ne peut que lui donner raison.

En Pro D2, Flavien Hourquet n’a pas hésité à expulser après sept minutes de jeu le Biterrois Maxime Veau pour avoir bêtement plongé sur un adversaire au sol dans un ruck. Ces sanctions vont commencer à faire réfléchir certains. La Commission de discipline, elle, risque d’avoir bien plus de travail dans les semaines à venir.

Pour l’heure, on peut juste dire que les joueurs ont tout intérêt à gommer leurs mauvaises habitudes. Il faudra faire l’effort de se baisser davantage pour plaquer par exemple. Mais aussi éviter les impacts inutiles dans les rucks. Les arbitres ont décidé de hausser le ton, c’est clair. On verra dans les deux ou trois prochaines journées si les joueurs du Top 14 ont, eux, bien imprégné le message…

Bourseul, près de Dinan : un incendie dans une dépendance

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Photo d'illustration.

Photo d’illustration.

Ce lundi 26 août, vers 11h, les pompiers sont intervenus dans une propriété, au lieu-dit, La Landelle, à Bourseul (Côtes d’Armor), pour un incendie qui s’était déclaré dans une dépendance.

Les pompiers de Plancoët, Dinan et Emeraude (Saint-Cast, Matignon) ont éteint le feu qui a détruit une centaine de mètres carrés de cette dépendance servant de lieu de stockage.

L’intervention et la sécurisation des lieux ont duré jusqu’aux alentours de 16h.

Sarthe : un jeune conducteur contrôlé à 184 km/h au lieu de 110

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Un automobiliste a été interpellé à 184 km/h au lieu de 110 à Joué-en-Charnie (Sarthe) le dimanche 25 août 2019.

Un automobiliste a été interpellé à 184 km/h au lieu de 110 à Joué-en-Charnie (Sarthe) le dimanche 25 août 2019. (©Maxime Davoust / Les Nouvelles de Sablé)

Les gendarmes de différentes brigades de la Sarthe ont procédé à plusieurs interpellations les samedi 24 et dimanche 25 août 2019.

A Spay, le samedi 24 août, les gendarmes de la brigade de Cérans-Foulletourte ont contrôlé un véhicule à 158 km/h au lieu de 90. Le Sarthois de 34 ans s’est vu retirer son permis de conduire et son véhicule a été immobilisé.

37 infractions à la vitesse

Ce même jour, de 15 h à 19 h, les gendarmes de l’Escadron Départemental de Sécurité Routière ont relevé 37 infractions à la vitesse grâce aux véhicules équipés de radars automatiques embarqués.

6 personnes ont été verbalisées pour conduite sous l’empire de l’alcool, dont quatre ayant entraîné la rétention immédiate du permis de conduire.

Le dimanche 25 août, les gendarmes de Joué-en-Charnie, ont interpellé un automobiliste, détenteur du permis probatoire, à 184 km/h au lieu de 110 sur l’A81 à hauteur de Saint-Denis d’Orques.

Âgé de 23 ans et demeurant dans les Yvelines, il s’est vu notifier une rétention immédiate de son permis de conduire et l’immobilisation administrative de son véhicule.

Où stationner en camping-car autour de Lisieux

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Pour Johnny Briard, conseiller délégué aux hébergements touristiques à l'agglo de Lisieux (Calvados), le parking situé près de la basilique n'est pas une solution satisfaisante pour les camping-cars : "C'est un parking de stationnement. Il n'y a pas de confort pour eux : pas de vidange, pas de recharge de l'électricité, pas de point d'eau, rien.".

Pour Johnny Briard, conseiller délégué aux hébergements touristiques à l’agglo de Lisieux (Calvados), le parking situé près de la basilique n’est pas une solution satisfaisante pour les camping-cars : « C’est un parking de stationnement. Il n’y a pas de confort pour eux : pas de vidange, pas de recharge de l’électricité, pas de point d’eau, rien. ». (©Le Pays d’Auge)

Pourquoi est-ce important d’avoir des espaces pour les camping-cars ? 

Johnny Briard : Il faut savoir accueillir les touristes. Entre 30 000 et 40 000 camping-cars se vendent tous les ans, c’est pour ça qu’il faut être prêt à les recevoir. Il y a des dizaines voire des centaines de milliers de camping-caristes qui se promènent en France, c’est l’occasion qu’ils puissent rester quelques jours sur notre territoire. Si on n’a pas ces aires, ils s’en vont sur la côte ou ils continuent leur chemin. L’idée, c’est aussi qu’ils aillent consommer dans les boutiques, et qu’ils visitent les caves cidricoles, les fromageries, tout le patrimoine…

 

Ces aires ont-elles vraiment un effet sur les commerces ?

C’est un plus pour le commerce local et la vie d’un village. J’ai parlé avec le boucher de Saint-Cyr-du-Ronceray qui m’a confirmé que l’aire apportait une clientèle. Ils consomment dans sa boutique. Selon une étude menée pour l’agglomération, chaque camping-cariste dépense une trentaine d’euros par jour.

Les endroits où stationner en camping-car dans l'agglomération de Lisieux (Calvados).

Les endroits où stationner en camping-car dans l’agglomération de Lisieux (Calvados). (©Le Pays d’Auge)

Quels sont les projets en cours ?

Depuis trois ans, nous avons travaillé sur le projet de Courtonne-la-Meurdrac, qui était déjà engagé par la commune et que nous avons finalisé. Même chose pour Saint-Cyr-du-Ronceray. Ensuite, nous avons travaillé sur des projets nouveaux comme Saint-Julien-le-Faucon, qui va aboutir. Notre-Dame-de-Courson va doubler de capacité, les travaux seront engagés en septembre. Et nous allons finir sur le camping de Livarot, qui va être transformé pour donner l’accès aux camping-caristes, avec la création de 4 ou 5 places ouvertes à l’année. Après, il y aura une belle toile de tissée sur le territoire. Le manque principal, c’est Lisieux.

 

Où en est-on à Lisieux ?

Malheureusement, à Lisieux, nous n’avons pas encore réussi à trouver la solution pour les camping-caristes, mis à part le camping de Lisieux qui en accueille beaucoup, mais qui se trouve à 2 km du centre-ville. Nous avions trouvé un emplacement boulevard Pompidou, mais nous sommes dans une ville qui est en grande partie en zone inondable, et les services de l’État ne nous ont pas autorisés à faire ces travaux. Il faut absolument trouver un emplacement confortable, placé à 500-600 mètres du centre-ville de Lisieux. Ce sera un des prochains défis sur le tourisme à Lisieux. Et que fait-on du futur camping de Lisieux ? Est-ce qu’on le modernise ? On le déplace ? C’est un vrai projet ambitieux qu’il faut avoir pour la prochaine mandature.

 

Une nouvelle aire, à Saint-Julien-le-Faucon

L’agglomération vient de créer une nouvelle aire à Saint-Julien-le-Faucon : « C’est un beau projet, avec un accès à l’entrée du village, à proximité des commerces, se réjouit Johnny Briard. Il y a une boulangerie, une pharmacie, un restaurant, tous ces commerces qui sont vraiment les services demandés par les camping-caristes. Généralement, ce sont des gens qui ont entre 50 et 70 ans, et qui aiment bien avoir tout ce qu’il faut à portée de main. C’est à proximité de lieux touristiques comme le château de Grandchamp, le manoir de Coupesarte… L’aire est aux abords de la voie verte ». Pour le conseiller communautaire, la création de cette aire était une nécessité : « C’est vraiment un lieu qui manquait sur le secteur de Mézidon Vallée d’Auge, parce qu’il n’y avait rien ».
L’agglomération débourse cette année 200 000 € pour la création de cette aire, les travaux sur celle de Notre-Damede-Courson et au camping de Livarot.

Pour rejoindre sa petite-fille, elle va parcourir 1200 kilomètres... à pied !

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Équipée de son chariot, Joëlle est prête à affronter les 1 200 km qui l'attendent.

Équipée de son chariot, Joëlle est prête à affronter les 1 200 km qui l’attendent de Solesmes (Sarthe) à Lille. Départ le 28 août 2019.

Tous les ans, et cela depuis une quinzaine d’années, Joëlle Delorme, passionnée de marche à pied, se lance un défi.

Cette année, cette habitante de Solesmes (Sarthe) a prévu de rejoindre sa petite-fille qui réside à Lille, puis de revenir dans la Sarthe. Soit un parcours total de 1 200 km… à pied. Départ ce mercredi 28 août 2019.

Lire aussi : Tour de l’Atlantique : bientôt le départ pour Alexandre, atteint de la mucoviscidose

« Un défi qui ne me fait pas peur »

Une épreuve qui est loin d’effrayer cette infirmière à la retraite :

Je marche et je cours tous les jours. Je ne fais aucun entraînement particulier pour me préparer. J’ai déjà effectué cette distance par le passé.

La sportive a prévu de passer, à l’aller, par Mamers, Beauvais puis Roubaix ou encore Cambrai avant de rejoindre sa petite-fille à Lille mardi 17 septembre 2019.

Puis, au retour, elle change de parcours et rejoindra la côte de la Manche en gagnant Dieppe, Le Havre puis Argentan.

Un voyage source d’inspiration

Retour à Solesmes prévu dimanche 6 octobre « si tout va bien, rit-elle. Je ne connais absolument pas cette partie de la France. Je suis déjà passée par ces différentes villes sans jamais m’y arrêter. Cela sera une vraie découverte ».

Elle rejoindra également Solesmes Nord, commune jumelée avec le village sarthois homonyme.

Équipée de son appareil photo, cette passionnée de peinture compte bien immortaliser les différentes étapes de son périple et retranscrire sur la toile les plus beaux paysages.

Les œuvres seront exposées dans l’atelier que je tiens avec mon mari au 2, rue de la Halte.

Lire aussi : Il marche 662 kilomètres à travers la France pour tirer un trait sur l’armée

« Je suis totalement autonome »

Côté organisation, Joëlle est équipée d’un chariot clipsé par des mousquetons à sa ceinture pour être libre de ses mouvements.

« Cela me permet de ne pas avoir de charge sur le dos. Je dormirai en toile de tente. Je suis parfaitement autonome grâce à ce système et je m’arrête quand je veux », explique-t-elle.

Pour se restaurer, elle privilégie toujours les commerces des villes et villages qu’elle traverse, mais force est de constater que l’offre n’est pas toujours abondante.

De plus en plus, le milieu rural est délaissé. Il m’est arrivé de galérer avant de trouver un restaurant. C’est pourquoi, cette année, j’ai prévu d’emporter pour la première fois de la nourriture lyophilisée et un réchaud en cas de coup dur seulement.

Lire aussi : Ancien obèse, il perd 60 kilos et court des ultra-trails de plus de 200 kilomètres

35 km par jour

Durant son parcours, Joëlle sera totalement seule. « Mon mari fera l’intendance téléphonique en cas de problème », plaisante-elle.

Son portable lui servira de GPS.

Tous mes itinéraires jour après jour sont enregistrés. J’ai privilégié des petits chemins pour éviter les grandes villes. J’ai prévu de faire environ 35 km par jour.

Joëlle fait de la marche depuis aussi loin qu’elle s’en souvienne.

J’aime me retrouver seule en communion avec la nature, coupée de toutes technologies. Ça me permet de me ressourcer. Je vis ma retraite de façon très active, donc c’est bien de respirer un peu.

Lire aussi : 1 600 kilomètres à vélo : le nouveau défi de Steve en faveur des enfants en attente de greffe

Les intéressés invités à prendre le départ

Mais la Sarthoise de 64 ans espère un jour partager cette expérience avec l’un de ses petits-enfants.

En attendant, Joëlle Delorme donne rendez-vous aux plus motivés mercredi 28 août à 7 h 45 à Solesmes pour prendre avec elle le départ.

Je fais partie de différentes associations dont Jog 72, Promenade Nature, Retraite sportive ou encore les Amis de la Nature, et je sais que certains membres seront intéressés pour m’accompagner.

Cantal. Fermeture du tunnel du Lioran pendant une semaine

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Tunnel du Lioran fermé du 2 au 6 septembre 2019.

Tunnel du Lioran fermé du 2 au 6 septembre 2019. (©VDC)

En raison des opérations de maintenance semestrielle à l’intérieur du tunnel du Lioran et sous réserve de conditions climatiques favorables, celui-ci sera fermé à la circulation du lundi 2 septembre au vendredi 6 septembre 2019.

Fermeture de nuit

La nature des prestations, nécessitant l’intervention de personnels de travaux à l’intérieur de l’ouvrage impose la fermeture du tunnel ; la réouverture de l’ouvrage, de nuit, ne sera pas systématique. Pendant la durée de la fermeture, la circulation sera déviée par la RD 67 qui traverse la station du Lioran. La Dir Massif Central  l’attention des usagers sur la vigilance aux abords du chantier et le respect des limitations de vitesse.


Naval Group : le contrat australien se met en place

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Le 12 juillet, Emmanuel Macron avait lancé le Suffren. Une délégation australienne avait été invitée avec, notamment, la ministre de la Défense d'Australie.

Le 12 juillet, Emmanuel Macron avait lancé le Suffren. Une délégation australienne avait été invitée avec, notamment, la ministre de la Défense d’Australie. (©Pool images)

Dans un entretien accordé à The Australian Defense Magazine, John Davis, directeur de Naval Group Australia, évoque les avancées du groupe français sur le « Contrat du siècle » (12 sous-marins pour 37 milliards d’euros), quelques mois après la finalisation du partenariat stratégique.

Lire aussi : Cherbourg : Naval Group double ses commandes

Le directeur explique :

Des ingénieurs de Naval Group Australia sont arrivés en France pour travailler et apprendre auprès de leurs collègues français. Ils vont suivre une formation sur les spécifiés du design d’un sous-marin pour comprendre le pourquoi et le comment des futurs sous-marins australiens. Nous venons d’envoyer dix-sept nouvelles personnes en France. Nous ne sommes plus dans le temps de la mobilisation, mais bien dans l’exécution du programme.

17 nouvelles familles à Cherbourg

Pour ces 17 nouvelles familles, il s’agit de personnels de Naval Group. Lors d’une récente visite à Cherbourg, l’ambassadeur d’Australie en France, Brendan Berne, saluait l’accueil reçu à Cherbourg par la quarantaine de familles australiennes déjà arrivées, représentant le Commonwealth of Australia. 

Lire aussi : Cherbourg : les artistes australiens travailleront sur la fresque du commissariat jusqu’à mardi

En tout, une centaine de personnes travaillent aujourd’hui au bâtiment australien sur le site de Naval Group à Cherbourg. Le travail sur le design se déplacera vers l’Australie dans les années 2021-2022.

John Davis poursuit :

 Sur les activités de design, environ 500 personnes travaillent actuellement sur le programme en France et environ 100 en Australie.

Pour Emmanuel Macron, un enjeu stratégique

En marge du G7 à Biarritz, Emmanuel Macron, président de la République, a rencontré ce 26 août 2019 Scott Morrison, le Premier ministre australien.

Lire aussi : EN DIRECT. Suivez la cérémonie de lancement du sous-marin Suffren en présence d’Emmanuel Macron

A Cherbourg, en juillet, le président de la République avait mis en valeur l’importance de ce contrat pour la France et l’Australie :

De nos capacités et de notre savoir-faire dépend la sécurité de nos alliés. Je tiens à vous assurer que la France sera aux côtés de l’Australie, comme elle est aux côtés de Naval Group pour accompagner ce contrat. Ce contrat a scellé une alliance essentielle entre nos deux nations. L’axe indo-pacifique est pour nous stratégique.

Un violent orage a frappé les Côtes-d'Armor dans la nuit de lundi à mardi

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La foudre a frappé fortement la région de Guingamp dans la nuit de lundi à mardi.

La foudre a frappé fortement la région de Guingamp dans la nuit de lundi à mardi. (©Photo d’illustration Pixabay)

De nombreux habitants du pays de Guingamp et de toutes les Côtes-d’Armor ont été réveillés par l’orage qui a grondé dans la nuit du lundi 26 au mardi 27 août.

Un orage soudain et violent, qui a surpris et parfois effrayé les Costarmoricains, comme le prouvent ces quelques messages laissés sur Twitter.

197 éclairs à Bourbriac !

Ainsi les statistiques (prise sur le site spécialisé Keraunos) indiquent que Bourbriac a été frappé à 197 reprises par la foudre entre 2 heures et 7 heures du matin !

Lire aussi : Toulouse. Météo France place huit départements d’Occitanie en vigilance jaune pour les orages

Bégard a été frappé par 74 éclairs, Ploumagoar a subi 66 fois la foudre pendant la nuit.

Un orage que Météo France n’avait pas forcément prévu, du moins pas avec une si forte intensité, comme nous l’explique l’un de ses experts :

« Nous nous attendions à une activité orageuse, mais elle a été plus importante que prévu »

« Une petite cellule orageuse »

La foudre aurait été causée par « une petite cellule orageuse » qui aurait circulé pendant près d’une heure sur les Côtes-d’Armor, et également dans une partie du Finistère et du Morbihan.

Lire aussi : Risques d’orages : Météo France place la Nouvelle-Aquitaine en vigilance jaune

Un phénomène pas si rare pour la saison, mais qui provoque de fortes précipitations.

L’épisode orageux a débuté vers deux heures du matin (voir graphique ci-dessous) avec un pic du nombre d’éclairs situé entre 3h et 4h du matin.

La foudre a frappé durement plusieurs communes le département.

La foudre a frappé durement plusieurs communes le département. (©Keraunos)

Certains habitants touchés par les orages en Bretagne ont même pu réaliser quelques vidéos, partagés sur les réseaux sociaux :

Cette carte indique que les Côtes-dArmor ont été frappées à 1600 reprises par des éclairs.

Cette carte indique que les Côtes-dArmor ont été frappées à 1600 reprises par des éclairs dans la nuit du lundi 26 au mardi 27 août. (©Capture décran Keraunos)

Cherbourg : un chien empoisonné et les ailes d'une poule coupées au ciseau

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Philou quelques jours avant sa mort.

Philou quelques jours avant sa mort. (©DP)

Un couple de retraités résidant au hameau Digard, à Cherbourg-Octeville, a dû dire au revoir à son fidèle compagnon à quatre pattes, mystérieusement empoisonné à la mort-aux-rats il y a quelques jours dans son jardin.

Philou, un jack russel de 9 ans

Le décès de l’animal de compagnie a été constaté par le vétérinaire, comme l’explique Jean-Claude Piroux.

Philou était un jack russel de 9 ans d’une grande gentillesse. Nous l’avons emmené chez le vétérinaire dès les premiers symptômes visibles. Il a été mis sous perfusion et placé en observation. Son état s’est amélioré un temps, puis s’est de nouveau aggravé. Il n’a pas survécu. Aujourd’hui, son assassin court toujours…

Lire aussi : Manche : une ponette violée et laissée pour morte par ses agresseurs

Une poule également décédée

Et le malfaiteur ne s’est pas arrêté là dans ses actes de cruauté envers des animaux.

Le 31 juillet, il a aussi attrapé une de nos deux poules. Je l’ai retrouvée le lendemain avec des plumes arrachées et les ailes coupées au ciseau. Elle est morte ce lundi à 13 heures. Notre seconde poule est traumatisée et ne s’alimente plus.

Lire aussi : Manche : un second troupeau de brebis attaqué pendant la nuit

Dans la catégorie des problèmes de voisinage !

Une plainte pour sévices graves ou acte de cruauté envers un animal domestique, apprivoisé ou captif a été déposée auprès du parquet de Cherbourg pour l’ensemble de ces faits.

Quelques jours avant sa mort, nous avions déposé une main courante au commissariat de Cherbourg. Le policier a classé l’affaire dans la catégorie des problèmes de voisinage. Philou est depuis décédé. Nous espérons désormais que la police parviendra à identifier l’auteur de ce geste crapuleux.

45e festival du cinéma américain de Deauville : découvrez qui sont les membres du jury

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En 2018, le jury du festival américain de Deauville était présidé par Sandrine Kiberlain. Découvrez le jury de la 45e édition qui se déroule du 6 au 15 septembre 2019.

En 2018, le jury du festival américain de Deauville était présidé par Sandrine Kiberlain. Découvrez le jury de la 45e édition qui se déroule du 6 au 15 septembre 2019. (©Archives Le Pays d’Auge)

Du 6 au 15 septembre 2019, se déroule la 45e édition du festival du cinéma américain de Deauville (Calvados). A dix jours du début du festival, on vous présente le jury officiel de la compétition

Catherine Deneuve, présidente du jury

Catherine Deneuve sera présidente du jury de la 45e édition du festival du cinéma américain de Deauville.

Catherine Deneuve sera présidente du jury de la 45e édition du festival du cinéma américain de Deauville. (©Le Pays d’Auge)

Récompensée dans les trois plus grands festivals de cinéma internationaux (Cannes, Venise, Berlin), Catherine Deneuve succède à Sandrine Kiberlain à la présidence du jury du festival. Elle a tourné avec certains des plus grands réalisateurs tels Jacques Demy, François Truffaut, Luis Buñuel ou encore Roman Polanski. En plus de 60 ans de carrière et avec plus de 120 rôles, Catherine Deneuve est l’une des plus grandes actrices du cinéma français.

Lire aussi : Catherine Deneuve sera la présidente du jury de la 45e édition du festival du cinéma américain de Deauville

Antonin Baudry

Antonin Baudry, membre du jury du festival du cinéma américain de Deauville.

Antonin Baudry, membre du jury du festival du cinéma américain de Deauville. (©DR)

Diplomate (notamment conseiller culturel de l’ambassade de France aux États-Unis entre 2010 et 2014), Antonin Baudry est aussi scénariste de bandes dessinées (auteur de Quai d’Orsay) et de cinéma. En février 2019, il a dévoilé son premier long-métrage en tant que réalisateur et scénariste : Le Chant du loup. Un succès à la fois critique et public.

Claire Burger

Claire Burger, membre du jury du festival du cinéma américain de Deauville.

Claire Burger, membre du jury du festival du cinéma américain de Deauville. (©Smith )

Diplômée de la Fémis en 2008 dans la section « montage », Claire Burger décide rapidement de passer à la réalisation. Elle a été à l’origine de plusieurs courts-métrages, notamment C’est gratuit pour les filles, coréalisé avec Marie Amachoukeli, qui a remporté le César du meilleur court métrage. Sorti en 2018, son deuxième long-métrage C’est ça l’amour remporte aux Venice Days 2018 le Prix de la meilleure réalisation.

Jean-Pierre Duret

Jean-Pierre Duret, membre du jury du festival du cinéma américain de Deauville.

Jean-Pierre Duret, membre du jury du festival du cinéma américain de Deauville. (©DR)

Né de parents agriculteurs en Savoie, Jean-Pierre Duret travaille dans leur exploitation jusqu’à ses 20 ans. C’est la rencontre d’Armand Gatti qui le plonge dans le monde du théâtre et du cinéma. D’abord assistant son, puis ingénieur son dès la fin des années 1980, il se tourne vers la réalisation documentaire dès 1986. Depuis, il a réalisé avec Andrea Santana plusieurs documentaires tournés au Brésil. Puis Se battre, en France, avec des personnes qui ont des difficultés à terminer leurs fins de mois.

Valeria Golino

Valeria Golino, membre du jury du festival du cinéma américain de Deauville.

Valeria Golino, membre du jury du festival du cinéma américain de Deauville. (©Patrizia Cafiero and Partners Boostee GC)

Née à Naples, Valeria Golino se fait remarquée à 14 ans en devenant mannequin. Elle fait ses débuts au cinéma en 1983 et obtient seulement trois après le Prix de la meilleure actrice lors de la Mostra de Venise pour son rôle dans Storia d’amore de Francesco Maselli. On la connaît également pour ses rôles dans Rain Man de Barry Levinson, Eaux printanières de Jerzy Skolimovski ou encore dans Respiro d’Emanuele Crialese. Elle a également réalisé Miele et Euforia.

Vicky Krieps

Vicky Krieps, membre du jury du festival du cinéma américain de Deauville.

Vicky Krieps, membre du jury du festival du cinéma américain de Deauville. (©Puria Safary)

Vicky Krieps s’est tout particulièrement fait connaître dans deux films hollywoodiens : Hannah de Joe Wright et Anonymous de Roland Emmerich. En 2013, elle débute une carrière française, en apparaissant dans Une histoire d’amour d’Hélène Fillières et dans Möbius d’Éric Rochant. Elle multiplie ensuite les rôles, notamment dans Phantom Thread de Paul Thomas Anderson. Elle apparaîtra prochainement en tête d’affiche de plusieurs films internationaux : Bergman Island de Mia Hansen-Løve ou Serre moins fort de Mathieu Amalric.

Gaël Morel 

Gaël Morel, membre du jury du festival du cinéma américain de Deauville.

Gaël Morel, membre du jury du festival du cinéma américain de Deauville. (©Philippe Quaisse)

Au début des années 1990, Gaël Morel commence sa carrière en réalisant trois courts métrages. Après avoir joué dans Les Roseaux sauvages d’André Téchiné, il réalise son premier long-métrage À toute vitesse. Tantôt devant, tantôt derrière la caméra, il a notamment joué dans Loin avant de réaliser Les Chemins de l’oued, prix de la critique internationale au Festival de Toronto en 2002. Depuis, il s’est davantage consacré à son travail de réalisateur en réalisant notamment Notre paradis et Prendre le large.

Orelsan 

Orelsan, membre du jury du festival du cinéma américain de Deauville.

Orelsan, membre du jury du festival du cinéma américain de Deauville. (©NoLiTa Cinema-Les Canards Sauvages – Cinefrance-Orange Studio-Wagram-No Fear Prod)

Si le Normand est plus connu pour ses albums de rap que pour sa carrière dans le 7e art, ce touche-à-tout (musique, mode et cinéma) a pourtant touché à plusieurs reprises à ce milieu. Le déclencheur : en 2015 où il co-réalise avec Christophe Offenstein le film Comment c’est loin tourné à Caen dans lequel il est également acteur. Un film suivi de sa mini-série Bloqués pour Canal+. Il est également passé derrière la caméra dans Peur de rien de Danielle Arbid et Au poste ! de Quentin Dupieux.

Lire aussi : Festival du cinéma américain de Deauville : le rappeur et réalisateur caennais Orelsan dans le jury de la 45e édition

Nicolas Saada

Nicolas Saada, membre du jury du festival du cinéma américain de Deauville

Nicolas Saada, membre du jury du festival du cinéma américain de Deauville (©DR)

Nicolas Saada est un cinéphile touche-à-tout, passionné de musiques de films et féru de cinéma américain. Il commence sa carrière comme journaliste aux « Cahiers du cinéma » et anime « Nova fait son cinéma ». Il a participé à l’écriture de plusieurs scénarios. L’année 2004 est un tournant dans sa carrière : il réalise son premier court métrage Les Parallèles, nommé aux César. En 2008, il signe son premier long métrage, Espion(s), nommé au César du meilleur premier film. En février 2019, il réalise pour Arte Thanksgiving pour laquelle il obtient le prix du meilleur réalisateur au Festival des créations télévisuelles de Luchon.

Gaspard Ulliel 

Gaspard Ulliel, membre du jury du festival du cinéma américain de Deauville

Gaspard Ulliel, membre du jury du festival du cinéma américain de Deauville (©Jean-Baptiste Le Mercier)

Depuis son premier rôle en 2002 dans Embrassez qui vous voudrez, qui lui vaut notamment sa première nomination aux César, Gaspard Ulliel a fait du chemin. Il a ensuite joué dans Les Égarés, Un long dimanche de fiançailles ou encore Saint Laurent, film pour lequel il reçoit le Prix Lumière du meilleur acteur ainsi qu’une nomination aux César. En 2012, il se lance dans le théâtre avec Que faire de Mister Sloane ?. A l’affiche de Juste la fin du monde de Xavier Dolan en 2016, il reçoit le César du meilleur acteur. Depuis, on l’a vu dans Les Confins du monde de Guillaume Nicloux ou encore Un peuple et son roi de Pierre Schoeller.

Lire aussi : Pour sa 45e édition, le festival du cinéma américain de Deauville s’offre une superbe bande annonce

La réouverture de la piscine de Pont-Saint-Pierre (Eure) repoussée au 16 septembre

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Avant de franchir la porte d’entrée de la piscine de Pont-Saint-Pierre (Eure) le ton est donné. Fini la grande baie vitrée, place à la sobriété.

Avant de franchir la porte d’entrée de la piscine de Pont-Saint-Pierre (Eure) le ton est donné. Fini la grande baie vitrée, place à la sobriété. (©L’Impartial)

La nouvelle vient tout juste de tomber. La réouverture de la piscine de Pont-Saint-Pierre dans l’Eure aura finalement lieu le lundi 16 septembre 2019.

Pourtant, la semaine dernière, Pierre Dechoz, le président du Syndicat Intercommunal de l’Ensemble Aquatique et Ludique (SIDEAL) nous assurait bien d’une date de réouverture le lundi 2 septembre 2019.

Mais ce mardi 27 août 2019, il a pris la décision de la différer, pour des raisons techniques comme il l’explique : 

Les nouvelles installations de traitement d’air et d’eau devaient être testées en fin de semaine dernière ou en début de semaine. Mais comme cela n’a pas été le cas, nous avons décidé de repousser la date de réouverture de la piscine au lundi 16 septembre 2019.

En effet, pas question d’ouvrir la piscine, avant que les nouveaux équipements n’aient pu être testés.

Les nageurs devront donc être patients avant de venir piquer une tête dans les bassins de la piscine de Pont-Saint-Pierre.

Visite du chantier

En attendant, l’Impartial a pu se rendre sur le chantier de la piscine. 

Les horaires d’ouverture au public
Hors vacances scolaires : lundi de 9h à 11h et de 16h à 18h30, mercredi de 14h à 18h, vendredi de 12h à 13h30 et de 16h30 à 21h30, samedi de 10h40 à 12h30 et de 15h à 19h, dimanche de 8h30 à 12h.
Lors des petites vacances : du lundi au jeudi ainsi que le samedi de 10h à 12h et de 14h30 à 18h30, vendredi de 10h à 12h et de 14h30 à 21h30, dimanche de 8h30 à 12h.

Côtes d'Armor : Saison culturelle à Loudéac : faites votre choix !

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Triumph cirque russe sur glace, sera sur la scène du palais des congrès et de la culture de Loudéac (Côtes-d'Armor) le 22 novembre 2019.

Triumph cirque russe sur glace, sera sur la scène du palais des congrès et de la culture de Loudéac (Côtes-d’Armor) le 22 novembre 2019. (©D.R.)

Une tête d’affiche ? Non plusieurs pour cette nouvelle saison au palais des congrès et de la culture de Loudéac, en Centre-Bretagne.

Son directeur, Pascal Blévin cite ainsi : le Triumph Cirque russe sur glace ; le Grand ballet de Kiev qui revient avec « Casse-noisette » ; François Morel qui revient également avec un tout nouveau spectacle, ainsi que l‘Ensemble Matheus.

« Cette année nous avons vraiment souhaité faire une programmation généraliste qui plaira à toute la famille. Nous avons envie d’inviter les gens à la découverte, avec plusieurs styles de spectacles : de la danse classique, du chant, du théâtre de Boulevard ou encore du cirque », explique Pascal Blévin.

L'Ensemble Matheus interprétera  "Juditha Triumphans" de Vivaldi le 18 janvier 2020 à Loudéac.

L’Ensemble Matheus interprétera « Juditha Triumphans » de Vivaldi le 18 janvier 2020 à Loudéac. (©Julien Jourdes)

Humour toujours

Côté humour, en plus de François Morel, nous accueillerons le jeune humoriste qui rencontre de plus en plus de succès (et cartonne sur le net) Alex Ramires, ainsi que Roukiata Ouedraogo que les auditeurs de « Par jupiter ! » sur France Inter connaissent bien.

L'humoriste poète François Morel sera à Loudéac le  jeudi 7 mai 2020.

L’humoriste poète François Morel sera à Loudéac le jeudi 7 mai 2020. (©M.Toussaint)

La chanteuse Clarika (avec ses 25 années de carrière) présentera son dernier album en décembre ; de même pour le trio EDF bien connu en Bretagne en février sur la scène du PCC.

A noter également les deux rendez-vous jeune public de la saison : la 29e édition du Festival Mini-Mômes et Maxi-Mômes et la 23e édition du Printemps des livres.
Sans oublier les autres spectacles de danse, musique, théâtre à découvrir.

"Casse noisette" par le Grand Ballet de Kiev à découvrir le 25 janvier 2020 à Loudéac.

« Casse noisette » par le Grand Ballet de Kiev à découvrir le 25 janvier 2020 à Loudéac. (©D.R.)

Nous ouvrirons d’ailleurs la saison avec un spectacle particulier : un concert de magie mentale !

Le programme mois par mois

Octobre

  • Vendredi 4, concert de magie mentale avec Mathieu Pasero et Raquel Silva de la Cie Raoul Lambert. Tarif : de 7 à 14 €.
  • Du 10 au 31 octobre :  29 e édition du Festival Mini-Mômes & Maxi-Mômes sur différents sites de la Loudéac Communauté Bretagne Centre. A Collinée, mercredi 16 octobre, 9 h 30, 10 h 30, 17 h : Little Olimpia (théâtre d’objets) , l’histoire d’une petite poupée de tissus, à partir de 18 mois. A Loudéac, samedi 19 octobre à 14 h 30, Breizilou, bal breton pour petits et grands. A La Motte, mardi 22 octobre à 15 h, On a chanté sur la lune (théâtre musical) à partir de 5 ans. A Plémet, mercredi 23 octobre, à 11 h, 14 h 30 et 16 h 30, Le grand méchant renard (marionnettes), adapté de la BD de Benjamin Renner, à partir de 4 ans. A Loudéac, jeudi 24 octobre à 10 h 30 et 16 h 30, Sous la neige (poésie visuelle et sonore), à partir de un an. A Loudéac, lundi 28 octobre à 14 h 30 et 16 h  30, Un matin (théâtre gestuel), à partir de 5 ans. A Uzel, mercredi 30 octobre à 15 h, Là où vont danser les bêtes (marionnettes) à partir de 4 ans. A Loudéac, jeudi 31 octobre à 15 h, Dans ma ville (chanson) à partir de 3 ans. Tarifs de 5 à 7 €.

Novembre

  • Vendredi 22 novembre, à 20 h 45, Triumph, cirque russe sur glace, spectacle de 2 heures, avec 25 artistes. Tarif : de 20 à 27 €.

Décembre

  • Vendredi 20 décembre, à 20 h 45, Clarika, A la lisière (chanson). Tarif : de 13 à 20 €.

Janvier

  • Samedi 18 janvier, à 20 h 45, Judith triumphans de Vivaldi par l’Ensemble Mathéus (musique classique). Tarif : de 13 à 20 €.
  • Samedi 25 janvier, à 20 h 45, Casse Noisette de Tchaïkovski par le Grand ballet de Kiev (danse classique). Tarif : de 20 à 27 €. 

Février

  • Dimanche 2 février, à 17 h, En route pour la gloire par le trio EDF : Ewen, Delahaye, Favennec (musique et chansons). Tarif : de 7 à 14 €.
  • Vendredi 14 février, à 20 h 45, Salam, une création franco-palestinienne  (danse). Tarfi : de 7 à 11 €.
  • Vendredi 21 février, à 20 h 45, Sensiblement viril par Alex Ramirès (humour). Tarif : 15 à 22 €.

Mars

  • Jeudi 5 mars, à 20 h 45, Je demande la route par Roukiata Ouedraogo (humour). Tarif : de 7 à 14 €.
  • Du 11 au 14 mars, Printemps des livres, animations et salon de la littérature jeunesse la samedi 14.
  • Vendredi 27 mars, à 20 h 45, (Toujours) deux par David Delabrosse (chanson). Tarif : de 7 à 14 €.

Avril

  • Vendredi 10 avril, à 20 h 45, Le jeu de l’amour et du hasard par la Cie Instant(s). A partir de 13 ans. Tarif : de 7 à 14 €.

Mai

  • Jeudi 7 mai, à 20 h 45, Tous les marins sont des chanteurs (musique/humour). Une conférence chantée sur la vie et la mort de Yves-Marie Le Guilvinec par François Morel et Gérard Mordillat, accompagnés de Antoine Salher et Amos Mah. Tarif : de 20 à 27 €.

Juin

  • Mercredi 10 juin, à 20 h, Madame Butterfly de Puccini (opéra sur écran capté depuis l’opéra de Rennes) Durée : 2 h 45 avec entracte. Tarif : gratuit.

Des thèmes développés

Autour de Casse Noisette et du Jeu de l’amour et du hasard, médiathèque et cinéma proposeront rencontres et films.

Heureux abonnés

Les abonnés bénéficient de tarifs préférentiels sur les spectacles programmés au palais des congrès de Loudéac, à la salle Kastell d’Ô d’Uzel et au centre culturel Mosaïque de Collinée, grâce au réseau Voisins, Voisines. L’objectif étant de développer l’offre de spectacles sur le territoire.

Plusieurs formules sont proposées suivants que vous souhaitez assister à plus ou moins de quatre spectacles.

Des sorties spectacles en car

Réservées aux abonnés, ces sorties les emmèneront le samedi 12 octobre à Brest pour une représentation Ex anima du théâtre équestre Zingaro/Bartabas. Tarif : 33 €.

Suivra le jeudi 14 novembre, à Pontivy pour voir la pièce de théâtre Coup de griffe (20 €) ; le samedi 7 décembre à Collinée pour du théâtre : Western d’Achille Grimaud et François Lavallée (7 €) ; le samedi 4 avril à Uzel, pour un concert avec le duo Titi Robin & Roberto Saadna (15 €) ; le mardi 28 avril à Saint-Brieuc, pour Gravité par le ballet Preljocaj (19 € pour les plus de 30 ans et 12 € pour les plus jeunes).

Pratique
Palais des congrès et de la culture, tél. 02 96 28 65 50 ; courriel, pcc@ville-loudeac.fr ; site, www.pcc-loudeac.fr

Soirée de présentation de la saison
Vendredi 6 septembre à 20 h 45, une soirée gratuite accompagnée d’un verre et de friandises est organisée pour tous ceux qui veulent, par des visuels et des extraits sonores,  avoir un avant-goût de la saison et ainsi les aider à faire leur choix.

Top 14. David Gerard (Lyon) : "Si un Rouge et Noir doit gagner dimanche, j'espère que ça sera moi"

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A peine arrivé à Lyon, l'entraîneur des avants David Gérard va affronter le Stade Toulousain, où il a passé 15 ans.

A peine arrivé à Lyon, l’entraîneur des avants David Gérard va affronter le Stade Toulousain, où il a passé 15 ans. (©Icon Sport)

Actu Rugby : Un succès bonifié face au Stade Français, est-ce une entame idéale pour le LOU ?

David GERARD : « C’est un succès surprise entre guillemets, c’est sûr qu’on souhaitait réussir notre départ pour entamer la saison. Comptablement parlant, c’est une bonne chose, on s’est rassurés dès la première période en scorant à de nombreuses reprises, le groupe fut étonnant par la suite ».

A.R : Comment fonctionne votre duo avec Pierre Mignoni ?

D.G. : « Tout se passe bien, malgré nos différences on reste très complémentaires. Mais le staff est plus large que cet aspect, puisque David Attoub et Kendrick Lynn ajoutent leurs compétences. Le leadership de Pierre reste important tout de même pour donner le tempo au staff et aux joueurs durant la semaine ».

Lyon ? Un club qui a la tête sur les épaules

A.R : Vous êtes au club depuis près de deux mois. Quel regard portez-vous sur ce nouvel environnement ?

D.G. : « C’est un club ambitieux, qui a la tête sur les épaules. Avec de nombreux garçons travailleurs, qui ont la capacité de faire évoluer les choses. Les mecs arrivent à retranscrire, pour le moment, toute la souffrance de la préparation. Sur le premier match c’est bien, mais il y a un gros client qui va bientôt débarquer également ».

A.R : Battu d’entrée, le Stade Toulousain, champion en titre, aura très envie de rectifier le tir dimanche au Matmut Stadium de Gerland…

D.G. : « On s’attend à une réaction d’orgueil, leur prestation reste correcte à Bordeaux. Ils ramènent le bonus défensif et auraient pu souffler la victoire. Quelle que soit l’équipe alignée, c’est du solide malgré les absences. On les reçoit avec respect, mais aussi de la méfiance car il faudra être au niveau ».

Les amitiés, on verra après la rencontre…

Une quinzaine de saisons au Stade Toulousain à votre crédit, un moment forcément particulier ?

D.G. : « C’est la première fois que je les rejoue après mon départ en tant que joueur. J’essaye de prendre du recul par rapport à tout çà. Je dois préparer ce match comme contre n’importe quelle équipe. On se connaît bien, nous sommes liés mais dimanche, s’il y a un Rouge et Noir qui doit gagner, j’espère que ça sera moi. Les amitiés, on verra après la rencontre ».

10.000 personnes seulement face au Stade Français, un appel à lancer pour vous soutenir davantage dimanche ?

D.G. : « Recevoir le champion va attirer du monde. Avec l’appui des supporters, vu qu’il sera peut-être difficile pour les Toulousains de se déplacer une fin de week-end, les tribunes garnies et leur soutien seront importants. On aura aussi besoin d’une ferveur populaire pour pousser les garçons ».  

Guillaume PACO


Smermesnil, Saint-Pierre des Jonquières, Preuseville : vérifiez les horaires de car pour la rentrée

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Le SIVOS Smermesnil, Saint-Pierre des Jonquières, Preuseville a communiqué les horaires de car scoalrie valable à partir de la rentrée 2019.

Le SIVOS Smermesnil, Saint-Pierre des Jonquières, Preuseville a communiqué les horaires de car scoalrie valable à partir de la rentrée 2019. (©Photo d’illustration – Le réveil de Neufchâtel)

SIVOS Smermesnil, Saint-Pierre des Jonquières, Preuseville : 

Les horaires de car du SIVOS Smermesnil, Saint-Pierre des Jonquières, Preuseville

Les horaires de car du SIVOS Smermesnil, Saint-Pierre des Jonquières, Preuseville (©Le Réveil de Neufchâtel)

Pro D2. Grosse tuile pour Lionel Beauxis, sérieusement touché

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Lionel Beauxis sera absent un bon moment avec Oyonnax, victime d'une déchirure à un pied.

Lionel Beauxis sera absent un bon moment avec Oyonnax, victime d’une déchirure à un pied. (©Icon Sport)

Gros coup dur pour Oyonnax (Ain) dans la course à la montée. Ce mardi 27 août, le club annoncé sur ses réseaux sociaux la blessure de Lionel Beauxis. L’ouvreur international français était sorti blessé, à la 17e minute de la rencontre contre Valence-Romans (53-13), comptant pour la 1ère journée de Pro D2.

Une déchirure, et pas de durée d’indisponibilité 

Lionel Beauxis s’était arrêté après un plaquage effectué sur un joueur valencian, et avait immédiatement demandé à sortir. Le verdict est tombé quelques jours après la rencontre : il souffre d’une déchirure de la voûte plantaire. La durée d’indisponibilité n’a pas été communiquée. Mais pour ce genre de blessure, c’est au minimum un mois d’absence, voire bien plus.

Lire aussi : Pro D2. Tous les scores de la 1ere journée, avec des exploits retentissants

Un autre joueur d’Oyonnax, en la personne de Thibaut Tauleigne, est sorti sur blessure ce vendredi. Il souffre d’une fracture de la rotule. Pas sûr qu’on le revoit sur les terrains avant la fin de l’année 2019.

A Mesnois, un homme de 45 ans se noie dans l'Ain

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L'homme n'a pas été ranimé malgré la tentative des pompiers.

L’homme n’a pas été ranimé malgré la tentative des pompiers. (©DR)

Mardi 27 août 2019 vers 15 h 30 les sapeurs-pompiers du Jura se sont engagés pour une personne disparue dans la rivière l’Ain au lieu-dit le Sauget à Mesnois, près de Pont de Poitte.

Retrouvé à 3 mètres de profondeur

Vers 16h40, après une heure de recherche, un homme de 45 ans a été retrouvé à environ 3 mètres de profondeur. Il a été sorti de l’eau par l’équipe SAL des sapeurs-pompiers du Jura.

La personne a été déclarée décédée après une tentative de réanimation. L’hélicoptère de la sécurité civile Dragon 25 est arrivé sur zone. La prise en charge de 2 témoins a été assurée par les sapeurs-pompiers sur place.

Seine-et-Marne : la place du village de Presles-en-Brie accueillera le grand concert d'été du Val Briard

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Le public est attendu sur la place du village dès 18 h. ©Val Briard

Le public est attendu sur la place du village dès 18 h. ©Val Briard

Il marque comme chaque année la fin de l’été. Organisé tous les ans dans une commune différente de la communauté de communes du Val Briard, le concert d’été, festival de musique éclectique, convie une nouvelle fois les habitants avant la rentrée des classes. Après Mortcerf en 2015 pour la première édition, Les Chapelles-Bourbon en 2016, Liverdy-en-Brie en 2017, et La Chapelle-Iger l’an dernier, cette cinquième édition fera escale à Presles-en-Brie.

Le rendez-vous est donné le samedi 31 août dès 18 h sur la place de l’église.

Et chaque année, le public est de plus en plus nombreux pour cet événement champêtre devenu traditionnel.

Quatre groupes sur une scène en plein air

Au programme de cette soirée, accessible librement à tous les publics, quatre ensembles de musiciens seine-et-marnais aux influences variées se succéderont sur la scène : les Blue Toads, un groupe de jeunes musiciens de Faremoutiers programmé lors de la dernière fête de la musique de la commune, Chrystal, une jeune auteure compositrice de Chelles qui a remporté l’an dernier le prix départemental de la chanson et qui sera en première partie de Gauvain Sers le 1er décembre à la Sucrerie de Coulommiers, Sous la lune, un groupe de jazz de Villeparisis qui était également en finale pour ce prix, et enfin P.I (principe instable), évoluant entre performances musicales individuelles et plages mélodiques aériennes.

Un vrai mélange des genres sera donc proposé au public, habituellement familial.

Favoriser les groupes amateurs

Cette programmation, concoctée par Christophe Thiry, le directeur des affaires culturelles du Val Briard, en partenariat avec Franck Abellard et son association Betterave Prod basée à Pommeuse, a entre autres pour objectif de permettre à des groupes régionaux de jouer en public et favoriser l’accès à la scène aux groupes amateurs. L’occasion pour les riverains de découvrir des artistes locaux.

L’association AudioStage 77, elle aussi seine-et-marnaise, sera une nouvelle fois en charge de la régie technique tout au long de l’événement. L’occasion de créer du lien sur le territoire de la communauté de communes du Val Briard.

 

Concert d’été du Val Briard, samedi 31 août, de 18 h 30 à 23 h, sur la place de l’église de Presles-en-Brie. Entrée libre et gratuite. Restauration et boissons sur place. Plus d’informations : 01 64 51 33 24.

Val-d'Oise. Les faux policiers demandaient à leurs victimes de payer leur contravention en cash

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Les faux policiers ont été interpellés à leur domicile situé rue des Champs-Guillaume, à Cormeilles-en-Parisis (Val-d'Oise).

Les faux policiers ont été interpellés à leur domicile situé rue des Champs-Guillaume, à Cormeilles-en-Parisis (Val-d’Oise). (©La Gazette du Val-d’Oise)

Originaires de Cormeilles-en-Parisis (Val-d’Oise), ils se faisaient passer pour de vrais policiers afin d’arnaquer les automobilistes qu’ils arrêtaient. 

Mais leur méthode a été vite démasquée par… l’une de leurs victimes.

Les faits remontent au lundi 19 août. Ce jour-là, vers 17h30, les faux policiers arrêtent un automobiliste sur l’A15, prétendant une infraction routière.

Seul hic : le duo exige de leur victime le versement d’une somme d’argent en espèces… au lieu de lui dresser une contravention. Ils l’emmènent alors à un distributeur et la victime leur remet 90 euros.

Plainte déposée par la victime

Une curieuse manière de procéder qui surprend la victime. Elle décide alors de porter plainte au commissariat en donnant la plaque d’immatriculation du véhicule ainsi qu’une description précise des deux faux policiers.

Grâce aux éléments recueillis, les membres des forces de l’ordre localisent rapidement le propriétaire de la voiture, qui se trouve être son véhicule personnel. Il s’agit d’une Ford Focus, utilisée par les policiers de brigade anticriminalité (Bac) il y a plusieurs années.

Les surveillances opérées par les agents de police et les vidéos du Centre de supervision urbain (Csu) permettent de confirmer les premiers indices découverts.

Les deux auteurs des faits sont alors interpellés sans difficulté jeudi 22 août, alors qu’il partaient à bord de la Ford Focus. 

Nombreux insignes découverts

Et les agents ne sont pas au bout de surprise puisque lorsque les deux suspects sont fouillées, ils découvrent un porte-carte contenant des insignes Sécurité et Police. De plus, un autre insigne, Sécurité intervention, est retrouvé fixé sur le pare-soleil de la Ford Focus.

À l’intérieur du domicile, d’autres insignes similaires sont retrouvés, mais également une lampe mag-lite, des pin’s bleu-blanc-rouge et une facture de commande de talkie-walkie.

De plus, l’exploitation de leurs téléphones portables et des ordinateurs portables permettent de découvrir que le duo s’était concerté sur le mode opératoire à suivre et les sommes d’argent à soutirer à leurs victimes.

Lors de leur audition, les deux individus, âgées de 16 et 61 ans, ont reconnu cinq faits similaires. Pour l’instant, seulement deux victimes ont été identifées. La mineure a été déférée devant le juge pour enfants tandis que l’autre individu, un homme âgé de 61 ans, sera jugé le 22 novembre prochain.

La police invite toute personne victime du même type d’escroquerie à se manifester auprès de la sûreté urbaine de Cergy. Soit par téléphone, au 01.34.43.20.74 ou 01.34.43.26.03/04, soit en se présentant à l’hôtel de police de Cergy.

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