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Près de Montpellier : décès de Simon Leccia, ancien maire de Baillargues

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Simon Leccia était directeur des services funéraires de Montpellier

Simon Leccia était directeur des services funéraires de Montpellier (©Montpellier 3M)

L’ancien maire de Baillargues, commune située entre Montpellier et Lunel, Simon Leccia est décédé ce dimanche. Il avait été maire de 1977 à 2001.

Depuis, c’est Jean-Luc Meissonnier qui lui a succédé et qui brigue un nouveau mandat en mars, dans une campagne pimentée par l’irruption d’un candidat fantôme ! 

Lire aussi : Près de Montpellier : à Baillargues, un faux candidat s’invite dans la campagne des municipales

Simon Leccia, père de deux enfants, a été vice-président de l’Agglomération de Montpellier, avant de devenir métropole. Il  était à cette époque le directeur des services funéraires du complexe de Grammont.

L’actuel délégué au complexe funéraire de la métropole est Laurent Jaoul, maire de Saint-Brès, vice-président de la métropole.


Municipales 2020. A Saint-Claude, Frédéric Poncet a présenté sa liste "Ma ville, demain"

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La photo officielle présentant toute la liste, prise montée Saint-Romain, à côté du local de la permanence de campagne.

La photo officielle présentant toute la liste, prise montée Saint-Romain, à côté du local de la permanence de campagne. (©Voix du Jura/Monique Henriet)

Ce samedi 8 février 2020, le conseiller régional Frédéric Poncet, candidat pour les prochaines élections municipales à Saint-Claude a présenté ses colistiers à la presse, aux proches et sympathisants de l’équipe, mais aussi aux passants interpellés par l’animation inhabituelle au pied de la montée Saint-Romain

Dans un propos liminaire, Frédéric Poncet a tenu à rappeler qu’il s’agissait d‘une candidature qui n’est pas marquée politiquement.

Et il a bien ajouté que la liste n’avait l’appui tant politique que financier d’aucun appareil politique.

Nous financerons notre campagne entre nous. 

Le candidat a rappelé qu’il se plaçait en « rassembleur« .

Les uns avec les autres

Notre objectif est de rassembler des femmes et des hommes de toutes générations, aux parcours différents, de différentes origines et de sensibilités politique pour agir les uns avec les autres. 

Quant au programme, il sera « le plus réaliste et le plus opérationnel possible« . 

Nous sommes très préoccupés notamment par la situation budgétaire et financière qui va être laissée à la prochaine mandature, mais plus encore par l’état actuel de désespérance des personnels de la commune. 

Et l’hôpital ?

Non, trois fois non ! Nous n’avons jamais abandonné la défense de l’hôpital. Mais, oui, trois fois oui, nous voulons apporter du changement en profondeur sur la manière d’agir. 

Notre hôpital, comme notre cité scolaire du Pré Saint-Sauveur, trop souvent oubliée n’a d’avenir que s’il s’appuie sur une ville forte, en proposant un vrai projet de changement pour sortie la ville de l’isolement et lui redonner de l’attractivité.

Une moyenne d’âge de 52 ans 

Ensemble, faisons battre à nouveau le coeur de Saint-Claude !

Et pour cela, l’équipe de « Ma ville, demain », mise sur la jeunesse, avec plusieurs jeunes colistiers bien déterminés, au sein d’une liste dont la moyenne d’âge est de 52 ans. 

Une réunion publique « spéciale santé »

Parmi les temps forts de cette campagne, une réunion publique dédiée à la santé sera organisée jeudi 27 février 2020 à 20 h à la salle des fêtes. 

Voici la liste des colistiers : Frédéric Poncet (conseiller régional), Christine Sophoclis (conseillère départementale), Olivier Brocard, Joëlle Guy, Marc Capelli, Nelly Vaufrey, Michaël Lefel, Selma Unatelkin, Bernard Grossiord, Agnès Delorme, Jean-Yves Jorez, Dominique Tournier, Jean-Pierre Beluardo, Alexiane Pesenti, Patrick Charbonnier, Chantal david, Charles Lecoq, Armelle Philippe, Guy Cottet-Emard, Florence Paulin, Jean Poisard, Stéphanie Ferrazzi, Alexander Hermanns, Lola Raymond, Kevin Barbosa, Nicole Gaillard, Florian Sculfort, Véronique Fleurot, Omar Saad, Dominique Gregis

Lire aussi : Municipales 2020. Christine Sophoclis : « J’ai envie de prendre soin de Saint-Claude »

Municipales. Plougras : Jean-Claude Quéniat présente sa liste

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De gauche à droite, au second plan : Daniel Le Roux, Pascale Le Roux, David Lirzin, Gwénaëlle Le Mat, Xavier Le Rolland. Au premier plan : Isabelle Briand, Nadine Goasdoué, Périg Le Corre, Jean-Claude Quéniat, Christelle Rolland, Grégoire Le Razer.

De gauche à droite, au second plan : Daniel Le Roux, Pascale Le Roux, David Lirzin, Gwénaëlle Le Mat, Xavier Le Rolland. Au premier plan : Isabelle Briand, Nadine Goasdoué, Périg Le Corre, Jean-Claude Quéniat, Christelle Rolland, Grégoire Le Razer. (©Marc Lhermenier-Plougras)

Maire sortant de Plougras, Jean-Claude Quéniat s’était déclaré depuis la cérémonie des vœux en fin d’année dernière, à sa succession pour les élections municipales des 15 et 22 mars prochain. Il a dévoilé ce samedi 8 février sa nouvelle liste intitulée Bien vivre à Plougras.

Cette nouvelle liste rajeunie, puisque la moyenne d’âge est de 43 ans, rassemble quatre élus sortants et sept nouveaux candidats. Elle respecte une parité, puisqu’elle sera composée de 5 femmes et 6 hommes venants tous d’horizons professionnels variés.

Jean-Claude Queniat, 61 ans, maréchal ferrant, conduira cette nouvelle liste avec Isabelle Briand, 49 ans, infirmière ; Nadine Goasdoué, 43 ans, comptable – conseil chargée de clientèle, conseillère sortante ; Périg Le Corre, 24 ans, maçon ; Gwénaëlle Le Mat, 46 ans, secrétaire de mairie ; Grégoire Le Razer, 23 ans, agriculteur ; Xavier Le Rolland, 30 ans, chauffeur en entreprise de travaux agricole ; Daniel Le Roux, 53 ans, agriculteur ; Pascale Le Roux, 58 ans, secrétaire;  David Lirzin, 44 ans, agriculteur, conseiller sortant ; Christelle Rolland, 43 ans, agent social, conseillère sortante.

C’est dans la campagne plougrasienne que toute l’équipe s’est retrouvée pour se présenter aux électeurs de la commune. Le projet de cette nouvelle équipe est en cours de finition et sera prochainement présenté.

Lire aussi : Autour de Lannion. Une cinquantaine de candidats déclarés pour les Municipales

Près de Dieppe, le talus s'affaisse sur la chaussée

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La terre du talus a glissé sur la chaussée, juste après la pisciculture de Saint-Germain-d’Etables.

La terre du talus a glissé sur la chaussée, juste après la pisciculture de Saint-Germain-d’Etables. (©F. D.)

Samedi 8 février 2020 aux alentours de 11 h, un éboulement de talus s’est produit sur l’axe qui relie Arques-la-Bataille et Torcy, à la hauteur de Saint-Germain-d’Etables, près de Dieppe (Seine-Maritime).

Juste après la pisciculture, sur une largeur d’une quinzaine de mètres, le talus gorgé d’eau s’est affaissé entraînant avec lui sur la chaussée jeunes noisetiers et buissons de ronces.

Pompiers et gendarmes sur place

Les sapeurs-pompiers d’Arques et les gendarmes de la brigade d’Offranville se sont rendus sur les lieux.

La circulation a été interrompue quelques minutes le temps que les forces de l’ordre gèrent la situation.

Automobile. Rallye de la Côte Fleurie : le calme avant les choses sérieuses

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Cette année, les concurrents du rallye de la Côte Fleurie 2020, pourront reconnaitre le parcours des Lais de mer le vendredi 21 février 2020 dès 16 heures avec leurs véhicules de course.

Cette année, les concurrents du rallye de la Côte Fleurie 2020, pourront reconnaître le parcours des Lais de mer le vendredi 21 février 2020 dès 16 heures avec leurs véhicules de course. (©Le Pays d’Auge)

Contrairement aux années présentes, le rallye de la Côte Fleurie 2020, les 21, 22 et 23 février 2020 à et autour de Deauville, ne vit pas au rythme de sa liste des engagés. En effet, complet depuis une bonne quinzaine de jours, le rallye de la Côte Fleurie avance dans le calme.  « C’est un record absolu d’engagés » ne cache pas Jean-Michel Guégan, le patron du rallye : « Nous n’avons jamais eu autant d’inscrits. Malgré les forfaits, nous avons encore 22 noms sur la liste d’attente. C’est une belle satisfaction pour tout le monde. »

« Les concurrents pourront reconnitre dès 16 heures sur les Lais de mer »

150 concurrents dans la version moderne et 30 dans la version des véhicules historiques s’élanceront sur les Lais de mer le vendredi 21 février… et, cette soirée, toujours très attendue débutera encore plus tôt pour les 50 ans du rallye. « Cette année, les concurrents pourront reconnaître dès 16 heures avec leurs autos de course » reprend Jean-Michel Guégan : « Cela offrira encore plus de spectacle au public qui devrait être nombreux autour du circuit. » Les festivités débuteront officiellement : « avec le premier concurrent dans la catégorie des véhicules historiques le vendredi à 20 heures » poursuit le patron du rallye : « le numéro 1 (Eric Brunson) dans la catégorie des véhicules modernes devrait s’élancer vers 20 h 45. »

Le programme avant la course

Délesté de la liste des inscrits, et à deux semaines désormais du rallye de la Côte Fleurie, le ciel est donc dégagé. En attendant, l’heure était plutôt à la sécurité jeudi 6 février 2020 : « Nous avançons aussi très bien dans ce domaine. Nous avons rencontré la commission et il n’y a plus que des détails à gérer aussi dans ce domaine ». Le 50e rallye de la Côte Fleurie, du coup, va vite basculer dans les choses sérieuses pas ce week-end mais celui d’après avec le début des reconnaissances (samedi 15 et dimanche 16 février 2020). Il ne restera le temps que de quelques séances d’essais à Saint-Germain-la-Campagne avant le début du rallye sur les lais de mer le vendredi 21 février 2020.

Pratique

Le rallye de la Côte Fleurie se déroulera les 21, 22 et 23 février 2020 à et autour de Deauville.

Lire aussi : Automobile. Rallye de la Côte Fleurie 2020 : les premiers mots du tenant du titre

Lire aussi : Automobile. Un plateau historique pour le 50e rallye de la Côte Fleurie

Lire aussi : Automobile. Une dérogation pour le rallye de la Côte Fleurie 2020

Lire aussi : Automobile : Toutes nos vidéos du rallye de la Côte Fleurie 2019

Lire aussi : Automobile. Le rallye de la Côte Fleurie 50e du nom se dévoile

Lire aussi : VIDEO. Rallye de Pont-l’Evêque 2019 : Les premières réactions

Lire aussi : Automobile. Sébastien Alémany remporte le rallye de Pont-l’Evêque 2019 (le classement)

 

 

Inouïs du Printemps de Bourges à Lille : rencontre avec le duo Scrtch

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Le duo Scrtch fait partie des groupes de musique sélectionnés pour les Inouïs du Printemps de Bourges du Nord - Pas-de-Calais, en 2020.

Le duo Scrtch fait partie des groupes de musique sélectionnés pour les Inouïs du Printemps de Bourges du Nord – Pas-de-Calais, en 2020. (©Scrtch)

Luc et Rouag forment le duo Scrtch. Ces deux musiciens originaires de Maubeuge (Nord) ont assuré un concert à l’Aéronef de Lille, le mercredi 22 janvier 2020, dans le cadre des Inouïs du Printemps de Bourges. Ils ont pris le temps de nous présenter leur projet musical, qui se résume en trois mots : rock très pêchu.

Complémentaires

Si Luc et Rouag ne se ressemblent pas – ils n’écoutent pas la même musique, n’ont pas le même caractère… – , ils sont complémentaires. « On s’entend bien, humainement et musicalement parlant », résume Rouag. Sur scène, Luc et à la basse et au chant, et Rouag à la batterie. Il fait aussi les chœurs. Les deux amis se sont lancés dans le projet « Scrtch » (non, non, nous n’avons pas oublié de lettre) en 2015. 

On faisait de la musique ensemble, au lycée. En 2015, on a eu envie de jouer de nouveau à deux », nous explique Luc.

Depuis un peu plus d’un an, leur projet se concrétise. Ils sortent un EP et commencent à faire de belles scènes, comme le Main Square festival ou le En Nord Beat. Leur « souvenir de dingue » ? Le Supersonic festival. Ils y ont rencontré « Céline », leur fan numéro un. Rouag et Luc n’en reviennent toujours pas. « Elle était venue pour nous. Elle attendait que l’on passe. C’était fou ! », s’étonne le batteur.

Comment créent-ils ? Ensemble. Luc arrive avec des idées brutes pour des riffs et Rouag donne son avis, apporte sa patte. « On dégrossit tout ensemble, en répétition », résume Luc. 

Sur la scène de l’Aéronef, ils avaient 30 minutes pour convaincre le jury. Le choix des morceaux n’a pas été trop difficile. « On aime beaucoup jouer 30 minutes, c’est l’idéal. C’est tellement intense ! » Le temps de jouer les morceaux de leur EP et quelques autres. Bref, juste ce qu’il fallait pour montrer au public la palette générale de leur art.

Rouag et Luc se sont produits en concert à l'Aéronef de Lille (Nord), le 22 janvier 2020. Quelques heures avant de monter sur scène, ils nous ont accordé une interview.

Rouag et Luc se sont produits en concert à l’Aéronef de Lille (Nord), le 22 janvier 2020. Quelques heures avant de monter sur scène, ils nous ont accordé une interview. (©Amandine Vachez/Lille Actu)

Lire aussi : Agenda : les concerts du premier trimestre 2020, à l’Aéronef de Lille

L’indispensable de leur playlist
Pour Luc, le morceau coup de cœur du moment, c’est « War », de Brutus.
Pour Rouag, c’est « Strings of light », de Youssef Kamaal. « C’est spirituel. Ça me prend aux tripes ! » résume-t-il.

Suivez les actualités du duo Scrtch sur Facebook. Pour écouter leur musique, c’est par ici !

Municipales 2020 : le maire de Quelaines-Saint-Gault dévoile sa liste “Commune à l'horizon positif”

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Le maire de Quelaines-Saint-Gault (Mayenne) dévoile sa liste aux Municipales.

Le maire de Quelaines-Saint-Gault (Mayenne) dévoile sa liste aux Municipales. (©Haut Anjou)

Laurent Lefèvre, maire de Quelaines-Saint-Gault (Mayenne) dévoile sa liste “Commune à l’horizon positif” pour les élections municipales de mars 2020. Une dénomination qui veut tout dire.

Laurent Lefèvre, qui a annoncé sa candidature en novembre 2019, explique :

Notre positionnement est de voir loin, de se projeter dans l’avenir, et ’il y a encore beaucoup de choses à faire

La liste comprend vingt-et-un candidats, dix femmes et onze hommes, quatorze conseillers sortants et sept nouveaux membres dont deux supplémentaires.

Lire aussi : Laurent Lefèvre, nouveau maire de Quelaines Saint-Gault

La commune ayant environ 2 000 habitants, le scrutin de liste (impossible de rayer un nom) s’impose. Le choix a été fait d’une diversité professionnelle (tertiaire, social, agriculture, artisanat, enseignement, paramédical, commerce…), et sa moyenne d’âge est de 46 ans (29 à 61 ans).

Laurent Lefèvre : 

Notre but sera d’être proche des activités et à l’écoute des artisans et commerçants, des agriculteurs, des associations et des habitants, avec des élus sur le terrain. Nous souhaitons développer l’habitat en général. Dans la continuité et la finalisation des projets en cours, c’est la nouvelle équipe qui décidera de l’avenir

Les vingt-et-un noms de la liste “Commune à l’horizon positif”
Franck Gauteur, 44 ans, technicien de laboratoire, Emmanuelle Clairet, 45 ans, infirmière, Eric Petit, 42 ans, professeur, Christelle Fresnay, 45 ans, adjointe administrative, Virginie Foin, 40 ans, techncienne supports industriels, Priscilla Ferrand, 32 ans, secrétaire, Sandrine Hamon, 47 ans, assistante maternelle, Jean-Pierre Guais, 58 ans, agriculteurs, Marie-Françoise Bourgeais, 47 ans, agricultrice, Christine de Farcy de Pontfarcy, 59 ans, retraitée de l’enseignement, Thomas Jeanneau, 48 ans, exploitant flux transport, Thomas Rousseau, 36 ans, aide soignant, Isabelle Sauvé, 52 ans, magasinier-vendeuse, Yoann Pierrot, 43 ans, directeur de service technique, Emilie Béguin, 37 ans, commerçante indépendante, Hugues Gendry, 52 ans, agent de maintenance, Stéphane Lerouge, 45 ans, menuisier, Laurent Lefèvre, 52 ans, agriculteur, Jean-Paul Doudet, 61 ans, retraité, ex-capitaine sapeur-pompier professionnel, Alice Aubry, 29 ans, coiffeuse, Thierry Aubert, 52 ans, agriculteur.

Toutes les informations concernant les élections municipales de mars 2020 sur le territoire du Haut-Anjou sont à retrouver ICI.

Marche de la solidarité : une cinquantaine de personnes ont défilé dans les rues de Cherbourg

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Les manifestations se sont rassemblés devant le collège des Provinces.

Les manifestations se sont rassemblés devant le collège des Provinces. (©Ludovic AMELINE)

Une cinquantaine de personnes ont pris part hier matin à la première Marche pour l’égalité à l’initiative d’habitants du quartier des Provinces mais aussi de ceux qui y travaillent, notamment dans les établissements scolaires.

A travers cette marche, ils entendaient défendre notamment le droit à une éducation de qualité pour tous, comme le rappelait Emmanuel Demy, du collectif d’enseignants.

C’est la raison pour laquelle, avec les enseignants, nous avons occupé cette nuit le collège des Provinces pour protester contre la suppression de moyens attribués au réseau d’éducation prioritaire.

Les manifestants se sont arrêtés devant la permanence de Sonia Krimi.

Les manifestants se sont arrêtés devant la permanence de Sonia Krimi. (©Maxence DOURLEN)

Lire aussi : Cherbourg : des enseignants vont dormir au sein du collège pour faire entendre leurs revendications

Plusieurs revendications 

Ils entendaient défendre également le droit à une retraite digne fondée sur un principe de répartition et non pas soumise aux intérêts des fonds de pension, ou encore le droit au départ en vacances que les annonces de la CAF de la Manche semblent remettre en cause partiellement.

Sous escorte policière, le cortège constitué a quitté le quartier des Provinces vers 10h15 et s’est rendu à pied devant la permanence de la députée de la 4e circonscription Sonia Krimi pour y déposer un courrier.

Après une courte prise de parole, quelques sympathisants se sont ensuite rendus sur le marché de Cherbourg.

Lire aussi : Cherbourg : plus d’1 million d’euros pour réaménager le collège Bucaille-Charcot


Seine-et-Marne. Guérard : le nouveau Tennis club a été inauguré

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De gauche à droite : Steve La Richarderie, le président de Guérard En Sports, Julie Toth, directrice de l'agence du Crédit Agricole de Crécy-la-Chapelle, et Daniel Nalis, maire Guérard.

De gauche à droite : Steve La Richarderie, le président de Guérard En Sports, Julie Toth, directrice de l’agence du Crédit Agricole de Crécy-la-Chapelle, et Daniel Nalis, maire Guérard. (©LPB)

Guérard compte plus de 2 400 habitants, et pas moins de 80 sont adhérents au club de tennis de la commune. Les deux courts situés en contrebas, pas très loin des berges du Grand Morin, ont été inondés plusieurs fois, avec 40 cm dans le court couvert en 2016. Ce dernier était également vieillissant avec un revêtement dégradé et un vieil éclairage au tungstène ; il était temps de rénover l’édifice.

Ce club est important pour notre petite commune

Le 25 janvier fut le jour de l’inauguration des travaux réalisés par la société ProCourt en présence de la Fédération Française de Tennis, Bernard Joanny, secrétaire général du comité de Seine-et-Marne. « Ce club est important pour notre petite commune et sa notoriété va bien au-delà du plan local. Merci à nos partenaires et à la banque » souligne le maire, Daniel Nalis. « Les lumières datant des années 90 ont été remplacées par un éclairage de jour à LED, donnant une luminosité neutre blanche, beaucoup plus économique », explique Christophe Gille le vice-président du club « Guérard en sports ».

Sans travaux, le club aurait perdu son agrément à la FFT

Son président, Steve La Richarderie, explique dans son accueil son historique et son évolution depuis trois ans, en donnant une dimension omnisports à l’association avec une section Cross Training que dirige Damien Gille : « Le club a doublé son effectif depuis 2017. Seul l’état des installations portait une ombre au tableau. Le court extérieur était proche de la non-conformité » précise Steve et enchaîne « si des travaux n’avaient pas été entrepris, cela aurait signifié la perte de son agrément à la FFT, la mort du club, et des installations à la charge de la commune pour son entretien… Pour un petit village nous sommes très bien équipés ».

C’est Alain Moisy, conseiller en développement au sein du comité Seine-et-Marnais, qui avait fait un audit et monté un dossier pour les remises en état « On soutient les clubs, nous pouvons les subventionner avec des projets de développement. Celui-ci est exemplaire » dit-il. La réhabilitation des installations a été soutenue par la Commune, la Région, la Caisse locale du Crédit Agricole, par le Comité de Seine-et-Marne et de la FFT.

De la terre battue articielle

Le sol était à la base en acrylique, trop glissant, avec un manque d’adhérence et son usure plus rapide. Il a donc été remplacé par un sol en résine de polyuréthane. Pour l’extérieur, le béton étant poreux avec de l’entretien, il a été choisi de la « terre pilée prisonnière d’une moquette ». C’est de la terre battue artificielle, du quick ayant la propriété de pouvoir jouer 10 à 15 minutes après la pluie, un avantage certain pour les compétitions.

L’association poursuit son engagement et son enthousiasme pour soutenir le développement du tennis, du Cross Training et l’ensemble des activités physiques et sportives de la commune.

Fontainebleau. Julien Colboc, artiste du bois, signe les bancs du nouveau siège social de Picard

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Les bancs de Picard sont taillés directement dans des fûts de séquoias, châtaigniers ou cèdres

Les bancs de Picard sont taillés directement dans des fûts de séquoias, châtaigniers ou cèdres (©La Rep 77)

Achèrois d’adoption, Julien Colboc est plus qu’un sculpteur. Ces œuvres, tantôt graphiques, tantôt brutes sont multiformes. Sa matière, c’est le bois, qu’il a commencé à travailler pendant ses études d’art-déco.
C’est en Normandie, sa région d’origine, que Julien a débuté sa carrière en travaillant sur son propre terrain et en créant un jardin de cultures et de sculptures sur 10 ans : « il y avait une partie jardin potager bio et une partie art où se mélangeaient des hôtels à insectes et des sculptures. Il y avait un côté éphémère puisqu’une partie de mes œuvres étaient destinées à la décoration urbaine dans des éco-quartiers ».

Il se qualifie lui-même de valorisateur du bois : « je ne plie pas le bois pour lui donner la forme que je désire, je m’inspire de sa forme pour créer mon œuvre ». Ensuite, Julien n’a plus qu’à utiliser ses outils et laisser libre cours à son imagination : « Je reste très traditionnel, j’utilise des outils peu mécanisés à part la tronçonneuse, bien sûr. Avec le bois tout est question de toucher et de sensibilité ».

100 trophées pour l’INSEAD

Sa récompense aux Talents d’entrepreneurs du Pays de Fontainebleau lui a donné une reconnaissance auprès d’autres entreprises. L’Insead lui a commandé 100 trophées pour une future promotion et il a réalisé 7 bancs, taillés directement dans des fûts de séquoias, châtaigniers ou cèdres qui iront embellir le parc du futur siège de la société Picard.

Julien a un emploi du temps plutôt chargé, donnant des cours au château de Courances notamment. La forêt de Fontainebleau a suffisamment de ressources pour donner toute la matière première à ses œuvres de Julien : « J’ai l’avantage de pouvoir travailler en local et en collaboration avec tous ceux qui ont un rapport professionnel ou de loisirs avec la forêt, des chasseurs aux bûcherons en passant par les randonneurs et l’ONF. J’ai choisi une région ou le dynamisme économique va de pair avec la superficie de la zone forestière »

Renseignements
Infos sur www.colbosc.com, par mail : julien@colbosc.com ou au 06 60 98 89 28

Plufur. La liste d'Hervé Guélou pour les municipales

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 La liste Agir ensemble pour Plufur, de gauche à droite : 1er rang : Michel Riou, Sabrina Le Guyader, Erwan Le Gall, Françoise Roche, Hervé Guélou, Françoise Le Page-Dubois, Marie Laure Tanguy, Severine  Capra, Isabelle Tanguy
2e rang : Michel Le Calvez, Marie Chevenier, Jean-Yves Le Corre, Jean-Luc Pichouron, Marie Kiffer, Rémy Morvan.

La liste Agir ensemble pour Plufur, de gauche à droite : 1er rang : Michel Riou, Sabrina Le Guyader, Erwan Le Gall, Françoise Roche, Hervé Guélou, Françoise Le Page-Dubois, Marie Laure Tanguy, Severine Capra, Isabelle Tanguy
2e rang : Michel Le Calvez, Marie Chevenier, Jean-Yves Le Corre, Jean-Luc Pichouron, Marie Kiffer, Rémy Morvan. (©Cécile Auriac – Le Trégor)

Agir ensemble pour Plufur, tel sera le slogan de la liste conduite par Hervé Guélou pour les élections municipales.

Le maire sortant de Plufur est rejoint par ses 14 colistiers, 8 femmes 7 hommes dont la moyenne d’âge est de 54 ans.

Tous se sont rejoints pour porter différents projets dans l’optique constante d’améliorer le quotidien des Plufuriens.

La résidence partagée servira de marqueur à ce mandat en cas d’élection. « Le logement inclusif doit permettre de venir vivre au bourg », rappelle Hervé Guélou.

Des travaux de voirie nécessaires sont prévus comme la sécurisation du bourg aux abords de l’église ou l’assainissement à Plufur Gare.

Le souhait de cette équipe est de mettre également l’accent sur le réaménagement de la partie Nord du bourg en proposant un emplacement commercial en lieu et place de l’ancienne mairie. Dans cet esprit, les bâtiments communaux seront suivis dans l’entretien notamment le commerce, poumon du village.

Des partenariats avec des associations comme Hentou treuz pour l’entretien des chemins communaux seront renforcés. L’arrivée de la fibre devrait permettre le développement d’activité économique.

Hervé Guélou accueille positivement la seconde liste et souhaite un débat serein.

Lire aussi : Autour de Lannion. Une cinquantaine de candidats déclarés pour les Municipales

Le Pellerin : une voiture tombe à l'eau, près du bac

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L'accident est survenu au niveau du bac, place du commandant L'Herminier, au Pellerin.

L’accident est survenu au niveau du bac, place du commandant L’Herminier, au Pellerin. (©Hervé Pinson – illustration)

Il était environ 17 h 20, samedi 8 février 2020, lorsqu’une voiture est tombée dans la Loire, place du commandant L’Herminier, au Pellerin (Loire-Atlantique), à proximité du bac qui assure la liaison avec Couëron.

Son conducteur, qui aurait délibérément dirigé sa voiture dans le fleuve, s’est d’abord réfugié sur le toit du véhicule avant de regagner le bord par ses propres moyens. Des passants ont aussi tenté de l’aider.

Onze sapeurs-pompiers ont été mobilisés, notamment des plongeurs qui n’ont pas pu localiser le véhicule, une Citroën C3, lequel a coulé.

Lire aussi : Alerte enlèvement : la mère retrouvée à Nantes, pas la petite Vanille

Manche : les 10 articles les plus consultés cette semaine

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Le combat d'un jeune couple, une habitation insolite, fdsf... Voici les articles les plus consultés de la semaine dans la Manche.

Le combat d’un jeune couple suite au deuil de leurs enfants, une habitation insolite, l’histoire de Didier qui se rend au travail en auto-stop depuis 30 ans… Voici les articles les plus consultés de la semaine dans la Manche. (©DP )

Congé pour deuil d’un enfant. Choqué, ce jeune couple témoigne : « on nie notre douleur »
L’Assemblée a voté contre l’allongement du congé de 5 à 12 jours pour le deuil d’un enfant. Dans la Manche, Betty et James ont perdu deux enfants à naître. Ils témoignent.

Cherbourg : que vient faire le navire saoudien spécialisé dans le chargement de matériel militaire ?
Ce jeudi 6 février, un navire saoudien est attendu sur le port de Cherbourg. Mais que vient-il faire ? Plusieurs ONG dénoncent d’ores et déjà cette escale.

Manche : depuis plus de 30 ans, Didier se rend au travail en auto-stop
Il n’a jamais passé le permis de conduire, et apprécie les échanges quotidiens avec les automobilistes. Didier, de Valognes, se déplace depuis plus de 30 ans en auto-stop.

Un habitant de la Manche achète un château d’eau pour en faire son habitation !
Un habitant de Denneville (Manche) est « tombé amoureux » d’un château d’eau, situé près de l’axe Nord-Sud à Tourlaville (Cherbourg-en-Cotentin). Il l’aménagera pour y habiter.

VIDÉO. Le Cotentin sublimé dans un clip promotionnel présenté au monde entier
Un clip de trois minutes a été publié pour vanter les mérites du Cotentin. Un clip visant à séduire les compagnies de croisières à travers le monde.

Brexit : après la décision de Guernesey, les pêcheurs de Cherbourg menacent de bloquer la débarque
À l’annonce du Brexit, Guernesey a suspendu l’accès aux zones de pêches situées dans le périmètre des 6-12 milles autour de l’île. Les pêcheurs de Cherbourg contre-attaquent !

La cure de Siouville va déménager à Cherbourg en 2023
Korian a confirmé ce lundi 3 février 2020 une implantation de la clinique de l’Estran à Cherbourg-en-Cotentin, à deux pas du centre hospitalier public du Cotentin.

Cotentin : c’est toujours l’impasse pour les habitants de ce lotissement inachevé
Alors qu’ils manifestent leur colère depuis des mois, les riverains de l’Ouvroir, à Martinvast, n’ont toujours pas eu gain de cause. Un accord est en passe d’être trouvé

Tempête Ciara : la Manche sera le département le plus touché !
A partir de samedi, la tempête Ciara est annoncée sur la façade atlantique de la France. Selon les dernières prévisions, le département de la Manche sera le plus impacté !

Cotentin : une pâtisserie laissée à l’abandon après le départ à la retraite des propriétaires
A Saint-Sauveur-le-Vicomte, Marie Françoise et Philippe Letemplier ont pris leur retraite sans trouver de repreneur pour leur pâtisserie qu’ils tenaient depuis 32 ans…

Montpellier. Exposition à la Panacée MoCo : Permafrost, les formes du désastre

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Permafrost réalisées par onze artistes contemporains.

Permafrost réalisées par onze artistes contemporains.

« Permafrost, les formes du désastre », une exposition entre reliques improbables et objets hybrides, grâce à onze artistes sélectionnés, qui nous donnent à voir leurs interprétations du monde en proie aux changements. 

Restes de nos consommations intensifs transformés en déchets, squelette posé sur une dalle de béton, céleris raves et assiette pleines évoluants avec le temps : les oeuvres proposées mettent en lumière les pensées créatives des artistes contemporains internationaux Deniz Aktaş, Ozan Atalan, Nina Beier, Dora Budor, Rochelle Goldberg, Eloise Hawser, Max Hooper Schneider, Nicolas Lamas, Pakui Hardware, Michael E. Smith, Laure Vigna.

nouvelle exposition « Permafrost- les formes du désastres » à la Panacée Moco du er février au 3 mai

nouvelle exposition « Permafrost- les formes du désastres » à la Panacée Moco du er février au 3 mai (©NB)

Vulnérabilité d’un monde en mutation

Qu’ils soient naturels, sociaux ou politiques, les désastres liés au changement climatique sont multiples et évolutifs.  Réalisée en partenariat avec IKSV Istanbul Fondation for Culture and Arts Biennal – 16ème Biennale d’art d’Istanbul, cette exposition invite le visiteur à se promener autour d’oeuvres posées à même le sol, suspendu, ou accroché montrant la vulnérabilité d’un monde en mutation. 

nouvelle exposition « Permafrost- les formes du désastres » à la Panacée Moco du er février au 3 mai

nouvelle exposition « Permafrost- les formes du désastres » à la Panacée Moco du er février au 3 mai (©NB)

Une scénographie évolutive

Grâce à une scénographie évolutive, l’espace des expositions plongé dans une lumière évolutive permet au visiteur de passer d’un ton glacier à celui de brasier. Une mise en scène inspiré de la fonte du Permafrost due au réchauffement climatique. 

Cette transformation du monde met à jour des restes d’humains, d’animaux et de végétaux conservés dans le permafrost, parfois depuis des centaines de milliers d’années. Beaucoup de ce que l’on pensait mort a été scientifiquement révélé comme seulement endormis…

nouvelle exposition « Permafrost- les formes du désastres » à la Panacée Moco

Nouvelle exposition « Permafrost- les formes du désastres » à la Panacée Moco (©NB)

Un point d’ancrage 

Comme l’explique Vincent Honoré, le directeur des expositions « la fonte du permafrost sert de point d’ancrage à l’exposition. Elle permet  expérience immersive explorant plus particulièrement comment les systèmes actuels (écosystèmes, capitalo-systèmes et systèmes symboliques) évoluent et se transforment dans un mouvement permanent et incontrôlable de morphogenèse.

Les oeuvres participent à la création du présent comme de l’avenir, produisent la réalité comme la science-fiction, et posent la question : quels symboles, formes et mythologies peuvent encore apparaître quand les systèmes connus s’effondrent, les paysages se délitent, les cycles se dérangent ? »

En grande partie co-produites par MO.CO. Panacée et la Biennale d’Istanbul, cette exposition sera également accompagnée par un riche programme de rencontres et de symposiums.

Lire aussi : Montpellier : les grandes ambitions du MOCO avec l’art contemporain

Permafrost : reliques improbables et objets hybrides, liés aux désastres naturels, sociaux ou politiques issus du changement climatique global

Permafrost : reliques improbables et objets hybrides, liés aux désastres naturels, sociaux ou politiques issus du changement climatique global (©NB)

> Pratique : « Permafrost- les formes du désastre » à la Panacée Moco, jusqu’au 3 mai. Avec Deniz Aktaş, Ozan Atalan, Nina Beier, Dora Budor, Rochelle Goldberg, Eloise Hawser, Max Hooper Schneider, Nicolas Lamas, Pakui Hardware, Michael E. Smith, Laure Vigna. Site internet 

Municipales 2020 : la liste d'Olivier Barbette se dévoile à Mézières-sur-Couesnon

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De gauche à droite : Florent Beauvisage, Patricia Dupetitpré, Rozenn Turni, Sébastien Marchand, Yvonne Vannier, Joël Féon, Christophe Halloux, Romain Drouet, Sébastien Baguet, David Badier, Hélène Joulaud, Pierre Godard, Olivier Barbette, Céline Vergne, Jean-Yves Cosnier, Aurélie Bodin, Karine Courtois, Sarah Chyra

De gauche à droite : Florent Beauvisage, Patricia Dupetitpré, Rozenn Turni, Sébastien Marchand, Yvonne Vannier, Joël Féon, Christophe Halloux, Romain Drouet, Sébastien Baguet, David Badier, Hélène Joulaud, Pierre Godard, Olivier Barbette, Céline Vergne, Jean-Yves Cosnier, Aurélie Bodin, Karine Courtois, Sarah Chyra (©Chronique Républicaine).

À Mézières-sur-Couesnon, une nouvelle équipe est constituée autour de l’actuel maire, Olivier Barbette et comporte 19 membres. Son nom : « Ensemble, contribuons à notre avenir ».

Lire aussi : MUNICIPALES 2020. Olivier Barbette repart à Mézières-sur-Couesnon

Sur les onze personnes qui faisaient partie de la liste aux dernières élections, deux hommes ont souhaité arrêter pour des raisons personnelles. Suite à l’augmentation de la population dans la commune, le nombre de conseillers est passé de 15 à 19.

Pour atteindre ce chiffre, 10 personnes issues des forces vives de la commune et qui travaillent déjà pour beaucoup, dans des associations, sont venues en renfort. Olivier Barbette apprécie :

Nous possédons une commune très dynamique et très agréable. Nous avons beaucoup d’atouts en termes de développement démographique, d’environnement avec la forêt, la vallée du Couesnon… mais aussi la proximité de l’A84 qui font de notre commune une localité très attirante ».

Ce dernier trouve le bilan finissant très positif avec plusieurs gros dossiers tel que l’aménagement et la sécurisation du bourg, la mise en conformité des bâtiments et des cheminements pour les personnes à mobilité réduite, la mise en place des 4,5 jours puis le retour aux 4 jours de classe avec, en parallèle, l’adaptation des services du périscolaire, la révision du PLU et l’ouverture, dans un bâtiment communal, d’une boulangerie.

Les priorités du prochain mandat

Définissant les priorités pour le prochain mandat, Olivier Barbette les projette sur plusieurs axes.

Un conseil des jeunes sera mis en place et un espace jeune pour nos adolescents sera organisé. La vitalité de notre centre bourg, les commerces, les services sont des axes majeurs de travail ».

Les membres d’« Ensemble, contribuons à notre venir » disent s’engager dans une démarche pour le respect de la planète avec des actions qu’ils vont décliner au niveau communal, en corrélation avec le PCAET que la commune a déjà voté. Olivier Barbette conclut :

Beaucoup d’idées et d’axes de travail sont encore à l’étude avec toute la nouvelle équipe ».

Les candidats

Florent Beauvisage, 38 ans, professeur d’anglais. Patricia Dupetitpré, 45 ans, agricultrice. Rozenn Turni, 43 ans, conseil régional Bretagne-communication. Sébastien Marchand, 42 ans, psychologue. Yvonne Vannier, 76 ans, retraitée. Joël Féon, 63 ans, kinésithérapeute. Christophe Halloux, 47 ans, commercial. Romain Drouet, coordinateur service informatique, 37 ans. Sébastien Baguet, 35 ans, ingénieur Ret D Informatique.

David Badier, 52 ans, ouvrier agroalimentaire. Hélène Joulaud, 67 ans, retraitée. Pierre Godard, 62 ans, pré retraité. Olivier Barbette, 57 ans, cadre DIR Ouest. Céline Vergne, 32 ans, juriste. Jean-Yves Cosnier, 62 ans, retraité. Aurélie Bodin, 37 ans, employée de banque. Karine Courtois, 44 ans, technicienne DDTM. Sarah Chyra, 48 ans, agent administratif ville de Rennes.


Yvelines. Mobilisation à Poissy contre les violences faites aux femmes

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Le comité local Nous Toutes 78 a organisé une opération de sensibilisation ce dimanche 9 février à Poissy.

Le comité local Nous Toutes 78 a organisé une opération de sensibilisation ce dimanche 9 février à Poissy. (©Le Courrier des Yvelines / Florian Dacheux)

A l’approche de la Saint-Valentin, le comité local Nous Toutes 78 n’a pas l’intention de faire semblant. Face au déni qui perdure quant aux violences sexistes et sexuelles faites aux femmes, une trentaine de membres de ce collectif national était ce week-end sur le terrain à Poissy (Yvelines), ainsi qu’à Rambouillet, Saint-Germain-en-Laye, Houilles, Sartrouville ou encore Versailles.

A Poissy, elles ont choisi d’organiser ce dimanche matin une opération de sensibilisation en direct du marché, place de la République. Pour ce faire, elles ont innové dans leur démarche en distribuant des « violentomètres ».

Lire aussi : Nous toutes Yvelines : une association veut mobiliser contre les violences sexistes et sexuelles à Poissy et à Trappes

Elaboré par le Centre francilien pour l’égalité femmes-hommes Hubertine Auclert, cet outil, qui se présente sous la forme d’un flyer gradué, comprend 23 questions permettant de sensibiliser les jeunes femmes aux violences conjugales et de « mesurer » si la relation amoureuse est basée sur le consentement et ne comporte pas de violences.

C’est un bon outil pour faire passer des messages et entamer la discussion avec un couple ou une personne qui aurait déjà été victime de violence, explique Justine Mauron, la référente de l’action pisciacaise. On veut surtout s’adresser aux jeunes qui entrent dans les relations sentimentales et sexuelles. J’ai 19 ans et je trouve que nous sommes très peu sensibilisés. Moi-même, j’ai été victime de violences et je m’en suis rendu compte bien longtemps après. Il faut savoir que les violences faites aux femmes commencent souvent par des violences psychologiques. »

« Il y a trop de femmes qui souffrent »

Au milieu de différents militants munis de tracts pour les élections municipales, leur mission n’était pas simple en ce dimanche matin sur un marché déserté par ses habitués, la faute à une météo venteuse et sans doute au début des vacances scolaires. Cela n’a pas empêché Annie Lonjon-Rozière de se déplacer depuis la commune voisine de Carrières-sous-Poissy :

Nous sommes là pour sensibiliser les gens. On n’a rien à vendre. On s’engage pour les femmes bénévolement afin qu’elles s’en sortent. Il y a trop de femmes qui souffrent en France. Il faut enlever la culpabilité des victimes, car souvent elles se sentent très seules. Deux mamies m’ont dit qu’elles en parleront à leurs enfants et petits-enfants. »

But de l'opération ? Impulser un bouche-à-oreille pour libérer la parole.

But de l’opération ? Impulser un bouche-à-oreille pour libérer la parole. (©Le Courrier des Yvelines / Florian Dacheux)

Au tour d’une maman, venue avec sa fille, de témoigner : « Je m’engage car c’est important d’en parler. On le fait car on en a conscience. Le but est de produire un bouche-à-oreille ».

« Un féminicide n’est pas un fait divers mais un fait de société »

Dans un contexte national particulièrement tendu, de la mise en examen de Saïd Chabane à l’ouverture d’une enquête préliminaire pour viols et agressions sexuelles sur mineurs dans le milieu du patinage artistique, les bénévoles de Nous Toutes 78 sont bien décidés à libérer la parole. Surtout après le récent assassinat d’une mère de famille à Ecquevilly.

Un féminicide n’est pas un fait divers mais un fait de société, affirme Fabienne. Il y a encore beaucoup trop de non-dits. Nous sommes là aussi pour prévenir la violence qui se cache dans des détails. Le problème, c’est qu’il y a des choses ancrées dans les mentalités. Cela commence dès tout petit, quand les filles doivent rester sages et les garçons être forts. Il faut aider les victimes à trouver les mots pour en parler. »

Lire aussi : Yvelines. Des messages chocs contre les féminicides sur les murs du Mantois

A l’aube de la journée internationale des droits des femmes du 8 mars, le comité Nous Toutes 78 va poursuivre ses actions en distribuant des « violentomètres » dans les écoles, les centres d’hébergement ou encore les commissariats. Des collages sur les murs contre les féminicides ont par ailleurs régulièrement lieu à Mantes-la-Jolie.

Florian Dacheux

« WOMAN » A ACHERES LE 6 MARS
Dans le cadre de la journée internationale pour les droits des femmes, le cinéma Pandora d’Achères diffuse « Woman » de Yann Arthus-Bertrand le 6 mars à 20h30. La projection sera suivie d’un débat avec Nous Toutes 78 en présence de membres du dispositif FLORA (Femmes logement Réseau d’Accompagnement) et avec le soutien d’ATTAC 78 Nord.

EN CHIFFRES
En 2019, 150 femmes sont mortes assassinées par leur conjoint ou leur ex-conjoint. A ce jour, en 2020, déjà 11 femmes ont subi le même sort dont 1 dans les Yvelines. Le collectif Nous Toutes a notamment organisé la marche du 23 novembre 2019 qui a rassemblé 150 000 personnes dans toute la France.

Fontainebleau. Roseline Sarkissian candidate pour « concilier écologie et social »

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Roseline Sarkissian prévoit un vrai plan d’action pour faire de Fontainebleau une ville exemplaire au niveau environnemental

Roseline Sarkissian prévoit un vrai plan d’action pour faire de Fontainebleau une ville exemplaire au niveau environnemental (©DR)

Elle a pris le temps de préparer son projet et de constituer son équipe : la conseillère régionale Roseline Sarkissian sera bien candidate aux municipales de mars prochain.

La Rep : Pourquoi avoir choisi d’être candidate aux municipales de Fontainebleau ?
Roseline Sarkissian : Pour deux raisons : parce que je suis convaincue que les idées et les valeurs de sociales et écologiques doivent être défendues avec force et clarté et parce que les orientations que nous avons portées en tant qu’élus d’opposition avec Jean-Paul Dixméras, constituent une alternative ambitieuse et réaliste à celles de la majorité en place.

Votre liste est-elle bouclée ?
Il reste quelques réglages à effectuer mais elle le sera. Nous souhaitons créer une dynamique autour de notre liste. Un comité de soutien sera créé à cette fin.

Quel regard portez-vous sur ce début de campagne, avec cinq candidats déclarés ?
Je me réjouis que des sujets que nous défendons depuis des années comme la création des parkings périphériques, la réfection de la place de l’Etape ou encore l’urgence à réhabiliter plus de 1200 logements dans le centre-ville trouvent quelques échos y compris de la part des élus qui ont été en responsabilité. Je relève en revanche que la question de l’endettement avec une dette propre qui a remplacé celle de la géothermie est occultée. Nous continuons de demander un audit des comptes. Rien sur la situation nationale, sur la réforme des retraites, sur la situation de nos services publics… Localement je pense à l’hôpital, au tribunal judiciaire, au commissariat. Nous sommes clairs sur le sujet : nous désapprouvons le chemin pris par la majorité gouvernementale et entendons être une force d’interpellation.

« Une ville post-carbone »

Vous souhaitez mettre l’accent sur l’écologie, prônée également par les autres candidats. Qu’est-ce qui ferait de vous la candidate la plus « verte » ?
Je souhaite concilier l’écologie et le social. Ces valeurs, je les défends depuis que je suis élue, au conseil municipal comme au conseil régional où nous soutenons un plan d’aides à l’achat de véhicules propres, l’accompagnement à la sortie du glyphosate et l’application du principe de précaution pour les fongicides (SDHI). Au niveau municipal et communautaire, la question de la transition énergétique et de l’urgence climatique est fondamentale. Il faut faire de Fontainebleau une ville post-carbone. Nous avons élaboré un plan d’actions transversal. Je souhaite en confier la responsabilité à un adjoint avec une commission spécifique et mettre en place un comité associant nos concitoyens, des acteurs du territoire, des experts pour nous conseiller et évaluer nos avancées.

Reconnaissez-vous des points d’accord avec Mmes Machery et Olzenski et M.Thoma, et une alliance avec un autre candidat entre les deux tours est-elle envisageable ?
Il y a bien entendu des points de convergence avec nos différents concurrents, y compris avec Frédéric Valletoux sans doute. Je crois qu’un débat sur nos positions respectives serait éclairant pour les Bellifontains. Cédric Thoma a raison de le demander. Nous avons vocation à fédérer sur la base de nos valeurs et de notre projet mais nous n’envisageons pas d’accords de désistement.

Quelles seront les premières mesures que vous souhaiterez mettre en place une fois élue ?
Toutes celles qui relèvent de l’amélioration du fonctionnement démocratique : droits de l’opposition, participation citoyenne avec la création d’un budget participatif sur le modèle parisien. Et notre première décision modificative reprendra les mesures que nous avons annoncées lors du vote du budget 2020 en décembre : lancement des chantiers de la place de l’Etape, de la rue Grande et de la place d’Armes (véritable parking à ciel ouvert) et hausse des crédits en faveur de la transition énergétique.

Propos recueillis par Yoann VALLIER

Renseignements
Infos par mail : fontainebleaupassioncommune@gmail.com.

Le maire Roland Journet brigue un quatrième mandat à Saint-Jouin

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Roland Journet vise un 4e mandat à Saint-Jouin.

Roland Journet vise un 4e mandat à Saint-Jouin. (©Le Pays d’Auge)

À 75 ans, Roland Journet, responsable à la retraite du service tutelle au sein de l’Association Tutelaire des Majeurs Protégés du Calvados (ATMP 14), a été élu conseiller municipal de 1989 à 1995, puis adjoint de 1995 à 2001, avant de devenir maire de Saint-Jouin (Calvados) en 2001 et d’y rester jusqu’à ce jour. 

Fort de son expérience municipale, Roland Journet prend la tête de la liste sortante avec six nouveaux visages.

Je souhaite poursuivre mon engagement dans un esprit constructif, continuer à gérer la commune en bon père de famille et continuer ce qui a déjà été entrepris pour le bien-être et le cadre de vie des habitants.

Son objectif, « poursuite des travaux de sécurisation incendie, la numérotation des habitations et la signalétique des chemins, superviser l’installation de la fibre », détaille-t-il. Mais aussi, « préserver le patrimoine de la commune et son identité, garder la maîtrise de notre budget et des dossiers communaux, » de manière à « éviter de se retrouver dans une commune nouvelle, qui pourrait devenir la banlieue d’une commune plus importante, comme cela est déjà le cas depuis la nouvelle intercommunalité », se désole Roland Journet.

Si j’ai décidé de repartir, c’est aussi parce que je suis bien entouré et notamment par notre secrétaire de mairie qui est la véritable clé de voûte de la commune.

Feuquières-en-Vimeu. Le gymnase du collège va être rénové pour plus de confort

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Le gymnase Gaston-Vasseur est situé juste à côté du collége.

Le gymnase Gaston-Vasseur est situé juste à côté du collége. (©L’éclaireur)

Isolation, chauffage, extension… Autant de travaux qui vont être menés en 2021 par la municipalité de Feuquières-en-Vimeu (Somme) pour remettre en état le gymnase du collège Gaston-Vasseur.

Ce dernier a effectivement plus de 30 ans et a besoin d’une réhabilitation. « Nous devons remettre l’ensemble des bâtiments communaux aux normes. Pour cela, nous avons un échéancier », rapporte Bernard Davergne, maire de la commune.

Un agrandissement

Actuellement, pour accéder à la salle, il faut passer par les vestiaires. La présence des trois marches à l’extérieur empêche l’accessibilité aux personnes à mobilité réduite. À l’intérieur, les toilettes sont en mauvais état et les vestiaires manquent de rangements.

Ce qui est contraignant c’est que, dès lors que les élèves ont des activités à l’extérieur, ils doivent passer par les vestiaires. Nous allons corriger cela.

À la demande des enseignants, une extension du gymnase est prévue pour accueillir une nouvelle salle, qui servira à la pratique de la danse.

L’agrandissement permettra, de ce fait, d’ajouter des rangements. Mais aussi d’accueillir le CAJ du Vimeu [actuellement basé à Friville-Escarbotin] pendant les vacances scolaires. Ce nouveau gymnase servira de pôle.

Pour le moment, difficile de savoir si le bâtiment fera l’objet d’une réhabilitation ou d’une reconstruction. Un bureau d’études sera prochainement mandaté pour établir un projet et le budget. Mais l’élu vise davantage une réhabilitation, « parce que sinon qu’est-ce qu’on va en faire du gymnase actuel. » Ces travaux devraient tourner autour de 2,5 millions d’euros.

Actuellement, environ 500 élèves du collège fréquentent le gymnase. Sans compter les nombreuses associations sportives du secteur.

Un feu de voitures se propage à un garage, à Paulx

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Le centre opérationnel a reçu l'alerte vers 00 h 45, dans la nuit du samedi 8 au dimanche 9 février.

Le centre opérationnel a reçu l’alerte vers 00 h 45, dans la nuit du samedi 8 au dimanche 9 février. (©Hervé Pinson – illustration)

Un incendie s’est déclaré vers 00 h 45, dans la nuit du samedi 8 au dimanche 9 février 2020, grande rue, à Paulx (Loire-Atlantique). Deux véhicules ont pris feu, pour une raison que l’enquête de gendarmerie déterminera.

Ce sont les sapeurs-pompiers du tout nouveau centre de secours de La Choltière, issu de la fusion des centres de secours de Paulx et Saint-Etienne-de-Mer-Morte, qui ont procédé à l’extinction des flammes à l’aide de deux lances à d’incendies.

Lire aussi : Le Pellerin : une voiture tombe à l’eau, près du bac

Le feu, qui s’est propagé à un garage, a pu heureusement être contenu par les secours, lesquels ont évité son extension à la maison voisine.

Treize sapeurs-pompiers ont été engagés lors de cette opération.

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